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© AFP/PASCAL GUYOT
Le président François Hollande (d) félicite l'Irlandais Daniel Martin
, vainqueur de la 9e étape du TOUR DE FRANCE le 7 juillet 2013 à Bagnères-de-Bigorre
Le président de la République François Hollande, présent dimanche à Bagnères-de-Bigorre (Hautes-Pyrénées), à l'arrivée de la 9e étape du TOUR DE FRANCE cycliste, a dit vouloir "croire que le Tour est propre", alors que cette édition du centenaire avait été précédée de nouvelles accusations de dopage liées à des affaires passées.
"Il y a eu tout ce qu'on sait, mais aujourd'hui je veux croire que le Tour est propre, que toutes les mesures ont été prises, par l'organisation, la fédération, l'Etat aussi qui joue tout son rôle", a déclaré le chef de l'Etat, interrogé sur France 2.
"Il y a eu beaucoup de mesures qui ont été prises, qui nous permettent de penser que le Tour est maintenant une épreuve sportive à égalité", a encore insisté M. Hollande, pour qui "le cyclisme a payé un très lourd tribut par rapport à ce qui était demandé à des coureurs pendant une période, à ce qu'on leur a fait ingurgiter".
"Je veux que ce soit vraiment derrière nous", a conclu le président de la République, invité à rejoindre la route du TOUR DE FRANCE, et qui avait pris place dans la voiture du directeur du Tour Christian Prudhomme, peu après 15h, à hauteur de Saint-Lary-Soulan, à une cinquantaine de kilomètres de l'arrivée..
Les jours précédant le départ du Tour ont été rythmés par le rappel d'affaires de dopage remontant au passé. Laurent Jalabert a ainsi été accusé d'avoir pris de l'EPO sur le Tour 1998, puis l'Américain Lance Armstrong , déchu de ses sept victoires (1999 à 2005) pour dopage, a de nouveau suscité la polémique en disant qu'il était "impossible de gagner le TOUR DE FRANCE sans dopage", dans une interview au Monde.