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© AFP/PHILIPPE LOPEZ
Le parcours du TOUR DE FRANCE 2017 est présenté à Paris, le 18 octobre 2016
La moitié des étapes du TOUR DE FRANCE 2017 peuvent être des temps forts de la course l'été prochain. Revue de détail:
Düsseldorf (1re étape): le premier des deux chronos. A l'avantage des rouleurs puissants, sur un parcours entièrement plat.
Longwy (3e étape): le final de l'étape la plus internationale (trois pays) s'adresse aux puncheurs. Attention à Sagan... ou Alaphilippe.
La Planche des Belles Filles (5e étape): retour dans l'unique station de la Haute-Saône. La montée a déjà consacré Froome (2012) et Nibali (2014).
Les Rousses (8e étape): pour baroudeurs ou puncheurs. Le final de l'étape "made in Jura" a été un peu durci par rapport à 2010 (Chavanel).
Chambéry (9e étape): trois cols hors catégorie (Biche, Grand Colombier, Mont du Chat) au programme. Et des descentes très techniques...
Peyragudes (12e étape): l'étape-reine des Pyrénées. Le final, très pentu (avec une pointe à 16 %), conduit à l'altiport utilisé pour un James Bond.
Foix (13e étape): changement de format en Ariège pour une étape ultra-concentrée (100 km, trois cols) et probablement ultra-nerveuse.
Le Puy-en-Velay (15e étape): le parcours, casse-pattes, est aussi beau que piégeux. Attention danger, surtout si le vent souffle sur l'Aubrac.
Serre-Chevalier (17e étape): deux géants alpestres au programme. Après la Croix-de-Fer, le Galibier par son versant le plus dur.
Izoard (18e étape): les Hautes-Alpes méritent leur nom. Vars (2109 m) et Izoard (2360 m), mis en lumière par l'arrivée, sont les deux derniers cols.
Marseille (20e étape): le 2e chrono est plat pour l'essentiel. Hormis la raide montée vers Notre-Dame-de-la-Garde, l'un des symboles de la ville.