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© AFP/FABRICE COFFRINI
Le président de la Fifa Gianni Infantino, le 14 octobre 2016 à Zurich
"J'espère qu'on aura l'arbitrage vidéo pour la Coupe du monde 2018", a déclaré mardi le président de la Fifa Gianni Infantino dans une interview au quotidien Le Parisien.
"J'étais assez sceptique car j'avais peur que la vidéo ait un impact sur la fluidité du jeu", a exposé le président de la Fifa dans une discussion avec les lecteurs du journal. "Mais je me suis rendu compte lors des tests que ce n'est pas le cas".
L'IFAB, organisme garant des lois du jeu du football, avait autorisé en mars des tests en conditions réelles de matchs pendant deux ans, premier pas vers l'utilisation de l'arbitrage vidéo et changement majeur de l'histoire du football.
Plusieurs pays ont déjà été choisis pour tester l'assistance vidéo à l'arbitrage: les États-Unis, déjà à l'ouvrage, la France, l'Australie, l'Allemagne, le Brésil, l'Italie, les Pays-Bas et le Portugal, chacun sous l'égide de sa fédération et/ou de sa ligue professionnelle.
"On va multiplier (les tests) pendant deux ans et, en mars 2018, on décidera", a encore expliqué Gianni Infantino au Parisien. "J'espère qu'on aura l'arbitrage vidéo pour la Coupe du monde 2018."
Les quatre cas où l'assistant vidéo peut avoir son mot à dire à l'arbitre central, selon le protocole d'expérimentation de l'IFAB (organe garant des lois du jeu), sont: but marqué, carton rouge, penalty, erreur sur une identité.