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© AFP/Christian Petersen
Tiger Woods
lors d'un tournoi à Nassau aux Bahamas, le4 décembre 2016
L'ancien N.1 mondial Tiger Woods , revenu le mois dernier sur le circuit professionnel après quinze mois d'absence, a prévenu jeudi qu'il ne voulait pas faire de la figuration en 2017: "Mon but est simple, gagner".
"Je travaille d'arrache-pied pour améliorer mon jeu en vue de 2017 et mon but est simple, gagner", Tiger écrit Woods sur son site internet.
"Je sais que beaucoup de personnes ont douté que je puisse rejouer sur le circuit professionnel et pour être honnête, je n'en étais moi-même pas sûr", a-t-il admis en référence à son absence entre août 2015 et décembre 2016 pour soigner son dos.
"Mais après une année à m'entraîner comme je me suis jamais entraîné pour revenir d'une blessure, je sais que c'est possible", a insisté le "Tigre", désormais 652e mondial.
"Je n'ai jamais perdu ma passion pour le golf, mon corps ne me permettait simplement plus de jouer (...) il y a des raisons d'être optimiste", a souligné Woods, vainqueur dans sa carrière de 79 titres PGA, dont 14 en Grand Chelem.
Le joueur de golf le plus célèbre de la planète, âgé de 41 ans, a confirmé que le Farmer Insurance Open à Torrey Pines (Californie), du 26 au 29 janvier, sera sa première épreuve de l'année, comme annoncé la veille par les organisateurs.
Il disputera ensuite l'Omega Dubai Desert Classic, comptant pour le circuit européen (EPGA), du 2 au 5 février, et a confirmé ses participation au Genesis Open du 16 au 19 février à Los Angeles et au Honda Classic du 23 au 26 février à Palm Beach Gardens (Floride).
Par ailleurs, Woods est revenu sur son après-midi de golf le 23 décembre dernier avec le futur président des Etats-Unis Donald Trump sur l'un des parcours appartenant au milliardaire.
"Ce qui m'a le plus impressionné est la longueur de ses coups pour une personne âgée de 70 ans", a-t-il relevé.
"Nous avons discuté de beaucoup de choses, on s'est avant tout amusé, je lui ai aussi fait part de ma vision du golf et de ce que j'essayais d'accomplir", a-t-il conclu en rappelant qu'il avait fait la même chose par le passé avec George W. Bush, Bill Clinton et Barack Obama.