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La Coupe du Monde
Historique de la Coupe du Monde
Il y eut un premier projet de créer une Coupe du Monde en 1905, mais sans suite. En 1920, Jules Rimet, premier président de la Fédération Française de Football et son secrétaire Henri Delaunay déposèrent sur le bureau de la Fédération Internationale un projet de la Coupe du Monde. Il fallut attendre 8 ans pour voir naître le premier Comité d’organisation de la coupe du monde qui décida que le premier organisateur serait l’Uruguay pour la célébration du centenaire de son indépendance en 1930.
Le premier trophée mis en jeu (la Coupe Jules Rimet, oeuvre du sculpteur français Abel Lafleur a été gagné par le Brésil en 1970 après sa 3e victoire. Il s’agissait d’une statuette en or d’environ 1,5 kg représentant une victoire ailée sur une base octogonale sur laquelle sont gravés les noms des vainqueurs de 1930 à 1970. Durent cette période, le pays vainqueur en restait détenteur jusqu’à la prochaine édition quatre ans plus tard. Suite à sa troisième victoire, le Brésil a reçu définitivement la Coupe.
La Coupe fut volée à deux reprises, une fois à Londres en 1966 et une autre fois au Brésil, où elle ne fut jamais retrouvée.
Le nouveau trophée (5 kg d’or), oeuvre du sculpteur italien Silvio Gazzaniga, ne sera pas conservé par le pays vainqueur. Il est remis en jeu tous les 4 ans depuis 1974.
Jules Rimet (1873-1956), figure et innovateur du football mondial, fonda tout d’abord le club parisien du Red Star, puis devint président de la toute nouvelle Fédération Française de Football Association en avril 1919 (jusqu’en 1949). Auparavant il avait participé à la fondation de la FIFA en 1904 dont il devint le président pendant plus de 30 ans (1921-1954). Inspiré du succès du tournoi olympique, il créé la Coupe du Monde en 1930 réunissant les plus grandes nations du foot pour désigner le champion du monde. Cette Coupe porte son nom jusqu’en 1970. En 1955, il a été proposé comme prix Nobel de la Paix.
Règles et principes de la Coupe du Monde
Depuis 2006, il y a huit groupes de quatre équipes au premier tour, chacune rencontrant une fois les trois autres.
- Une victoire au premier tour vaut 3 points; un match nul vaut un point et une défaite zéro point.
- Les deux premiers de chaque groupe sont qualifiés pour les huitièmes de finale suivant le nombre de buts marqués, la différence de buts générale, le nombre de points marqués, meilleure attaque, le résultat de la rencontre directe entre les deux équipes et le tirage au sort.
- A partir des huitièmes de finale jusqu’à la finale, le système à élimination directe est adopté. En cas de résultat nul après 90 minutes de jeu, une prolongation de deux fois 15 minutes est disputée, sans but en or et but en argent.
- Si, après cette prolongation (120 minutes de jeu), aucune équipe n’a marqué, le vainqueur est celui qui gagne par une séance de cinq tirs aux buts, jusqu’à ce que l’équipe prenne l’avantage d’un but.
Sanctions
Les joueurs ayant reçu une carte rouge seront automatiquement suspendus pour le match suivant. Cette sanction est valable pour ceux qui recevront deux cartons jaunes lors de deux matches sur trois du premier tour. Les joueurs exclus lors du dernier match des qualifications sont automatiquement exclus pour le premier match de la phase finale.
Les ballons de la Coupe du Monde
La circonférence d'un ballon est de 70 cm au plus et de 68 cm au moins. Son poids est de 450 g au plus et de 410 g au moins au début du match
1930 en Uruguay : Tiento a été l'un des deux ballons utilisés lors de la première Coupe du Monde, en 1930. À l'époque, il n'y avait pas de ballon officiel et encore moins de règle pour savoir qui devait le fournir. Les finalistes, l'Argentine et l'Uruguay, ont donc apporté leurs propres ballons pour le match décisif.
1934 en Italie : Fabriqué à Rome, Federale 102 ressemblait étrangement à un ballon de rugby avec son cuir de vache marron et ses 13 panneaux polygonaux.
1938 en France : Le ballon Allen ressemblait fortement à Federale 102. Conçu par un fabricant parisien, Allen, ce ballon en cuir de vache était composé de 13 panneaux de couleur marron.
1950 au Brésil : Duplo T est venu remplacer les ballons précédents, dont les lacets cousus main rappelaient leurs homologues du rugby. Parfois appelé Superball, Duplo T a été le premier ballon sans lacets. Sa surface extérieure en cuir de vache marron comportait 12 panneaux identiques.
1954 en Suisse : Fabriqué par une société basée à Bâle, Swiss World Champion était composé de 18 panneaux au lieu des 13 habituels. En termes de couleur, le traditionnel marron foncé a fait place au jaune vif.
1958 en Suède : Top Star avait été choisi parmi les 102 ballons candidats sans marque testés en aveugle par quatre officiels de la FIFA.
1962 au Chili : cette édition est entachée par une controverse autour du ballon. En effet, le modèle chilien a reçu un accueil mitigé ; même l'arbitre Ken Aston n’a pas été séduit. Son principal défaut était qu'il devenait de plus en plus lourd à mesure que l'eau s'infiltrait par ses coutures.
1966 en Angleterre : pour la dernière fois, le pays hôte a fourni le ballon. Après mûre réflexion, la Fédération anglaise de football avait choisi Challenge 4-Star, un ballon à 18 panneaux disponible en orange et en jaune.
- 1970 au Mexique : premier ballon officiel de la compétition Adidas, Telstar a marqué l’arrivée d'adidas dans l'univers de la Coupe du Monde. Depuis plus de 50 ans, adidas fournit le ballon officiel du grand rendez-vous mondial. Le design séduisant de Telstar, avec ses 32 panneaux noirs et blancs, en fait l'un des ballons les plus emblématiques de tous les temps.
- 1974 en Allemagne : ballon en cuir tout blanc : le “Telstar Chili”. Il s'agit du premier ballon officiel à avoir porté son nom et son logo, et un revêtement imperméable en polyurétane.
- 1978 en Argentine : ballon en cuir composé de 32 éléments sans commencement ou fin (sans points de couture) : le “Tango” utilisé après pour les Jeux Olympiques et les Coupes d’Europe.
- 1982 en Espagne : ballon en cuir dans les couleurs blanc, orange et jaune avec des coutures imperméabilisées, à l’aérodynamique améliorée en soufflerie : le “Tango Espagne” mis au point par la famille Tango. Il existait le “Tango Alicante” pour jouer sous les projecteurs ; le “Tango Malaga” pour les terrains durs, le “Tango indoor”.
- 1986 au Mexique : premier ballon entièrement synthétique cousu main, le “Azteca”.
- 1990 en Italie : ballon synthétique ‘high tech’ constitué de 32 éléments, “l’Etrusco”.
- 1994 aux Etats-Unis : ballon high-tech avec une mousse de polyuréthane constitué de 5 matériaux différents, le “Questra”.
- 1998 en France : le ‘Tricolore” premier ballon en couleur (bleu, blanc, rouge).
- 2002 au Corée du Sud et Japon : le 9e ballon proposé par Adidas en Coupe du monde porte le nom 'Fevernova' rappelant la fièvre engendrée pour chaque Coupe du monde.
- 2006 en Allemagne : le ‘TeamgeistTM’, le 10e ballon élaboré par Adidas est un ballon révolutionnaire, plus souple et plus lisse pour un jeu plus précis. En noir et blanc avec des tons dorés, il a une nouvelle configuration en 14 faces.
- 2010 en Afrique du Sud : le 'Jabulani ('joyeux' en zoulou), le 11e ballon, une nouvelle fois conçu par Adidas, n'a pas fait l'unanimité car jugé trop léger. Il arbore onze coloris uniques, en hommage aux 11 joueurs de chaque équipe, aux onze langues parlées en Afrique du Sud, et aux onze communautés sud-africaines accueillent la compétition.
- 2014 au Brésil : le Brazuca, le 12e ballon 100% brésilien. Son surnom a été choisi en septembre 2012 par les internautes lors d'un vote auquel ont participé un million de fans brésiliens. Ils avaient le choix entre "Brazuca", "Bossa Nova" et "Carvanalesca". Présentant des touches rouges, bleues et vertes sur fond blanc, le ballon pèse 437 grammes et a été testé durant deux ans et demi par 600 joueurs de 30 équipes dans le monde entier.
- 2018 en Russie : le Telstar 18 qui évoque les plus beaux souvenirs de la Coupe du Monde de la FIFA 1970, marquée par les exploits de légendes comme Pelé, Gerd Müller, Giacinto Facchetti , Pedro Rocha ou encore Bobby Moore .
- 2022 au Qatar : Al Rihla qui signifie 'le voyage' en arabe tirant son inspiration de la culture, de l’architecture, des bateaux traditionnels ainsi que du drapeau du Qatar.. Quatorzième ballon créé consécutivement par Aadidas, Al Rihla possède les trajectoires les plus rapides jamais enregistrées dans l'histoire du tournoi. De plus, il a été conçu pour supporter les vitesses les plus élevées, ce qui permettra aux joueurs d'atteindre des sommets de performance au Qatar.
Herbert Chapman ENG (1879-1934) Un grand nom du football. A la tête d'Arsenal, il inventa les maillots numérotés, les crampons en caoutchouc, l'utilisation des horloges chronomètres, le double arbitrage, le ballon blanc pour jouer la nuit, la formation des jeunes, la préparation physique de ses joueurs. Ainsi, Arsenal remporte la Cup en 1930 et devient champion national en 1931 et 1933.
La 22eme Coupe du monde s'est déroulée du 20 novembre au 18 décembre 2022 entre 32 équipes issues des qualifications (210 pays engagées). Les 64 matches (48 au premier tour et 16 dans la phase à élimination directe) ont lieu dans 8 stades : 6 stades nouveaux et 2 stades renovés. L'Argentine a remporté son 3eme titre de champion du monde après 1978 et 1986 en battant la France en finale. Avec 172 buts marqués, cette édition a été la plus prolifique de l'histoire. Malgré la polémique de la mort sur les chantiers de ce Mondial (6 500 morts source pas officielle), la compétition a été une grande réussite sur le plan d'organisation sans avoir subi des agressions ou violences pour le public. A noter que le Brésil est la nation ayant participé à toutes les 22 éditions !
Prize money en 2022
42 millions $ pour le vainqueur
30 millions $ pour le finaliste
27 millions $ pour le 3eme
25 millions $ pour le 4eme
17 millions $ pour les quart de finalistes...
La 23eme Coupe du monde se déroulera de juin à juillet 2026, organisée conjointement par les Etats-Unis, le Canada et le Mexique.
Le passage à 48 équipes est prévu pour 2026.
Le palmarès
Année | Champion | Vice-champion | Troisième | Quatrième |
1930 | Uruguay | Argentine | Etats-Unis, Yougoslavie | |
1934 | Italie | Tchécoslovaquie | Allemagne | Autriche |
1938 | Italie | Hongrie | Brésil | Suède |
1950 | Uruguay | Brésil | Suède | Espagne |
1954 | RFA | Hongrie | Autriche | Uruguay |
1958 | Brésil | Suède | France | RFA |
1962 | Brésil | Tchécoslovaquie | Chili | Yougoslavie |
1966 | Angleterre | RFA | Portugal | URSS |
1970 | Brésil | Italie | RFA | Uruguay |
1974 | RFA | Pays-Bas | Pologne | Brésil |
1978 | Argentine | Pays-Bas | Brésil | Italie |
1982 | Italie | RFA | Pologne | France |
1986 | Argentine | RFA | France | Belgique |
1990 | RFA | Argentine | Italie | Angleterre |
1994 | Brésil | Italie | Suède | Bulgarie |
1998 | France | Brésil | Croatie | Pays-Bas |
2002 | Brésil | Allemagne | Turquie | Corée du Sud |
2006 | Italie | France | Allemagne | Portugal |
2010 | Espagne | Pays-Bas | Allemagne | Uruguay |
2014 | Allemagne | Argentine | Pays-Bas | Brésil |
2018 | France | Croatie | Belgique | Angleterre |
2022 | Argentine | France | Croatie | Maroc |
Les scores des finales
Année |
Lieu |
Finale |
Score |
Petite finale |
Score |
1930 |
Uruguay |
Uruguay bat Argentine |
4-2 |
Argentine bat USA |
6-1 |
1934 |
Italie |
Italie bat Tchécoslovaquie |
2-1 (a.p) |
Allemagne bat Autriche |
3-2 |
1938 |
France |
Italie bat Hongrie |
4-2 |
Brésil bat Suède |
4-2 |
1950 |
Brésil |
Uruguay bat Brésil |
2-1 |
Suède bat Espagne |
3-1 |
1954 |
Suisse |
Allemagne bat Hongrie |
3-2 |
Autriche bat Uruguay |
3-1 |
1958 |
Suède |
Brésil bat Suède |
5-2 |
France bat Allemagne |
6-3 |
1962 |
Chili |
Brésil bat Tchécoslovaquie |
3-1 |
Chili bat Yougoslavie |
1-0 |
1966 |
Angleterre |
Angleterre bat RFA |
4-2 (a.p.) |
Portugal bat URSS |
2-1 |
1970 |
Mexique |
Brésil bat Italie |
4-1 |
Allemagne bat Uruguay |
1-0 |
1974 |
RFA |
RFA bat Hollande |
2-1 |
Pologne bat Brésil |
1-0 |
1978 |
Argentine |
Argentine bat Hollande |
3-1 (a.p.) |
Brésil bat Italie |
2-1 |
1982 |
Espagne |
Italie bat RFA |
3-1 |
Pologne bat France |
3-2 |
1986 |
Mexique |
Argentine bat RFA |
3-2 (a.p.) |
France bat Belgique |
4-2 |
1990 |
Italie |
RFA bat Argentine |
1-0 |
Italie bat Angleterre |
2-1 |
1994 |
USA |
Brésil bat Italie |
0-0 (t.a.b) |
Suède bat Bulgarie |
4-0 |
1998 |
France |
France bat Brésil |
3-0 |
Croatie bat Pays-Bas |
2-1 |
2002 |
Japon et Corée du Sud |
Brésil bat Allemagne |
2-0 |
Turquie bat Corée du Sud |
3-2 |
2006 |
Allemagne |
Italie bat France |
1-1 (t.a.b) |
Allemagne bat Portugal |
3-1 |
2010 |
Afrique du Sud |
Espagne bat Pays-Bas |
1-0 (a.p) |
Allemagne bat Uruguay |
3-2 |
2014 | Brésil | Allemagne bat Argentine | 1-0 (a.p) | Pays-Bas bat Brésil | 3-0 |
2018 | Russie | France bat Croatie | 4-2 | Belgique bat Angleterre | 2-0 |
2022 | Qatar | Argentine bat France | 3-3 (t.a.b) | Croatie bat Maroc | 2-1 |
Les pays finalistes de la Coupe du Monde
Joué |
Gagné |
Nul |
Perdu |
Bp |
Bc |
|
Allemagne ( et ex RFA ) | 8 | 4 | 0 | 4 | 12 | 15 |
Brésil |
7 |
4 |
1 |
2 |
15 |
9 |
Italie |
6 |
3 |
2 |
1 |
11 |
9 |
Argentine |
6 |
3 |
1 |
3 |
11 |
12 |
France | 4 | 2 | 1 | 0 | 11 | 6 |
Pays-Bas |
3 |
0 |
0 |
3 |
2 |
6 |
France |
3 |
2 |
1 |
0 |
8 |
3 |
Uruguay |
2 |
2 |
0 |
0 |
6 |
3 |
Hongrie |
2 |
0 |
0 |
2 |
4 |
7 |
Tchécoslovaquie |
2 |
0 |
0 |
2 |
2 |
5 |
Angleterre |
1 |
1 |
0 |
0 |
4 |
2 |
Espagne |
1 |
1 |
0 |
0 |
1 |
0 |
Croatie | 1 | 0 | 0 | 1 | 2 | 4 |
Suède |
1 |
0 |
0 |
1 |
2 |
5 |
La Coupe du Monde est devenue avec les Jeux Olympiques d’été la plus grande fête sportive de l’histoire et l’une des plus médiatisées au monde avec une audience de plus de 40 milliards pour 2002 (record) contre 31,7 en 1994.
Plus grande affluence sur une Coupe du Monde : 3 567 415 spectateurs
Plus grande affluence sur un match
199 854 spectateurs lors de la finale entre Brésil et Uruguay le 16 juillet 1950 au stade de Maracaña à Rio.
Plus mauvaise affluence pour un match de Coupe du Monde : 300 spectateurs lors de Roumanie-Pérou en 1930
Plus grande audience télévision en France : 25,08 millions en 2022.
Les grands stades de chaque Coupe du monde
1930 : stade du Centenario, Montevideo (90 000 places) - 1934 : stadio del Partito National, Rome, (55 000 places) - 1938 : stade de Colombes, Paris (55 000 places, actuellement 20 000) - 1950 : Maracaña, Rio (174 000 places) - 1954 : Wankdorf-Stadion, Berne (60 000 places) - 1958 : Rasunda Stadion, Stockholm (50 000 places) - 1962 : Estadio Nacional, Santiago (60 000 places, actuellement 77 700) - 1966 : Wembley, Londres (100 000 places) - 1970 : Estadio Aztec, Mexico (105 000 places) - 1974 : Olympiastadion, Munich (75 000 places) - 1978 : Estadio Monumental de River Plate, Buenos Aires (80 000 places) - 1982 : Santiago Bernabeu, Madrid (90 000 places) - 1986 : Estadio Azteca, Mexico (115 000 places) - 1990 : Stadio Olimpico, Rome (75 000 places) - 1994 : Rose Bowl, Pasadena (95 000 places) - 1998 : Stade de France, Paris Saint-Denis (80 000 places) - 2002 : International Stadium, Yokohama (70 000 places) - 2006 : Olympiastadion, Berlin (70 000 places) - 2010 : Soccer City, Johannesburg (85 000 places) - 2014 : Maracaña, Rio (73 500 places) - 2018 : Stade Loujniki, Moscou (81 000 places) - 2022 : Stade de Lusail, Doha (88 966 places)
Statistiques nations
- Huit pays se sont partagés les vingt-deux Coupes du Monde disputées.
- Le Brésil est le seul pays à avoir remporté 5 éditions de la Coupe du Monde et le seul à avoir participé à toutes les phases finales depuis 1930. En 109 matches, il en a remporté 73.
- 9 fois sur 22 finales, le pays qui a ouvert le score a perdu la finale. Seules les finales de 1994, 2006 et 2022 se sont terminées aux tirs au but.
- Avant 1958, les finales avaient été européennes en Europe (1934, 1938 et 1954) et américaines en Amérique du Sud (1930-1950).
- La RFA (ou Allemagne) est le pays qui a disputé le plus de finales (8).
- L’Europe mène face à l’Amérique du Sud au nombre de victoires : 12 à 10.
- Les Sud-Américains ont remporté 8 des 11 finales les ayant opposé aux Européens (Brésil-Suède 1958, Brésil-Tchécoslovaquie 1962, Brésil-Italie 1970, Argentine-Hollande 1978, Argentine-RFA 1986, Brésil-Italie 1994, Brésil-Allemagne 2002, Argentine-France 2022). Ils ont donc perdu seulement trois fois : en 1990 (RFA-Argentine), 1998 (France-Brésil) et 2014 (Allemagne-Argentine), .
- Seuls deux pays sud-américains ont disputé une finale sur le sol européen (Brésil en 1958 et 1998 ; l’Argentine en 1990).
- L'Allemagne, en 2014, est devenu le premier pays européen a remporter une finale sur le sol sud-américain. Avant cela, les européens avaient toujours perdu en finale en Amérique du Sud (Brésil bat Tchécoslovaquie en 1962, Brésil bat Italie en 1970, Argentine bat Hollande en 1978, Argentine bat RFA en 1986)
- Le Mexique (en 1970 et 1986), l’Italie (en 1934 et 1990), la France (en 1938 et 1998), l'Allemagne (1974 et 2006) et le Brésil (1950 et 2014) sont les seuls pays à avoir accueilli 2 Coupes du Monde.
- Le Cameroun en 1990, le Sénégal en 2002, le Ghana en 2010 et le Maroc en 2022 sont les seuls pays Africains à s’être qualifié pour les quarts de finale.
- La Corée du Sud est le seul pays asiatique à avoir participé aux quarts de finale (en 2002).
- Six pays organisateurs ont remporté la Coupe du Monde (Uruguay 1930, Italie 1934, Angleterre 1966, RFA 1974, Argentine 1978 et France 1998).
- L’Italie (1934 et 1938) et le Brésil (1958 et 1962) sont les seuls pays à avoir remporté 2 titres consécutifs.
- L’Afrique du Sud en 2010 est le seul pays organisateur à ne pas s’être qualifié pour le deuxième tour.
- Le Quatar est le seul pays organisateur éliminé dès le 1er tour.
- L’Espagne en 1982, les Etats-Unis en 1994, le Japon en 2002 et l’Afrique du Sud en 2010 sont les seuls pays organisateurs à ne pas s’être qualifiés pour les quarts de finale.
- En 2010 pour la première fois de l’histoire de la Coupe du Monde, le tenant du titre (Italie), le finaliste de l’édition précédente (France) et le pays organisateur (Afrique du Sud) ne se sont pas qualifiés pour le deuxième tour.
- Seuls 6 tenants du titre ont été éliminés dès le 1er tour lors de l’édition suivante : l'Italie en 1950, le Brésil en 1966, la France en 2002, l’Italie en 2006, Espagne en 2014 et l'Allemagne en 2018.
- La France en 2002 et l’Italie en 2006 sont les seuls tenants du titre à ne pas avoir gagné de match lors de l’édition suivante.
- La France en 2002 est le seul tenant du titre à ne pas avoir marqué de but lors de l’édition suivante.
- L’Uruguay, vainqueur en 1930, n’a pas participé à la Coupe du Monde suivante.
- La Hongrie en 1954 est l’équipe qui a marqué le plus de buts dans une phase finale : 27.
- De 1974 à 2002, le champion en titre disputait le match d’ouverture (auparavant et depuis, c’est le pays organisateur).
- L’Allemagne, en 1994, est le premier tenant du titre à remporter le match d’ouverture.
- De 1974 à 2002, trois tenants du titre ont perdu le match d’ouverture : l’Argentine en 1982 (contre la Belgique 0-1) et 1990 (contre le Cameroun 0-1) et la France en 2002 (contre le Sénégal 0-1).
- Le premier match à s’être achevé après prolongation est le match Autriche-France en 1934. Au total, 68 matches sont allés jusqu'aux prolongations.
- Le premier match à s’être achevé aux tirs aux buts est le match RFA-France en 1982. Au total, 31 matches sont allés jusqu'aux tirs au but.
- Le premier match à s’être achevé par le but en or est le match France-Paraguay en 1998. Au total, 4 matches se sont terminés par le But en or.
- 7 phases finales ont regroupé 32 pays (France 1998, Corée du Sud/Japon 2002, Allemagne 2006, Afrique du Sud 2010, Brésil 2014, Russie en 2018 et Qatar en 2022).
- 4 phases finales ont regroupé 24 pays (Espagne 1982, Mexique 1986, Italie 1990, Etats-Unis 1994).
- 9 phases finales ont regroupé 16 pays.
- 2 phases finales ont regroupé 13 pays (Uruguay 1930, Brésil 1950).
- 79 pays ont participé au moins à une phase finale (les 3 derniers étant l'Islande et le Panama en 2018, le Qatar en 2022).
- L’Uruguay en 1930 (4 matches), l’Italie en 1938 (4 matches), le Brésil en 1970 (6 matches) et 2002 (7 matches) sont les seuls pays à avoir remporté tous leurs matches de phase finale.
- Le record de victoires consécutives est détenu le Brésil (à cheval sur les éditions de 2002 et 2006) avec 11 matches.
- Le record de cartons distribués par un arbitre (M. Ivanov RUS) a eu lieu lors du match Portugal-Pays-Bas en 2006 : 12 cartons jaunes et 4 cartons rouges. Viennent ensuite M. Lopez Nieto ESP lors du match Allemagne-Cameroun en 2002 : 16 cartons jaunes (dont 2 ont été transformés en rouge, 8 pour le Cameroun, 8 pour l’Allemagne).
- L’Allemagne, entre 1954 et 2014, est la seule nation à avoir atteint, au minimum les quarts de de finale, soit 16 fois sur 16 consécutivement. En 2018, elle a été éliminée dès le premier tour pour la première fois de son histoire.
- 18 équipes ont été éliminées sans avoir perdu un match : L'Ecosse (3 matches) en 1974, le Brésil (7 matches) en 1978, le Cameroun (3 matches) en 1982, l'Angleterre (5 matches) en 1982, le Brésil (5 matches) en 1986, l'Italie (7 matches) en 1990, l'Angleterre (6 matches) en 1990, la Belgique (3 matches) en 1998, l'Italie (5 matches) en 1998, les Pays-Bas (6 matches) en 1998, l'Eire (4 matches) en 2002, l'Espagne (5 matches) en 2002, la Suisse (4 matches) en 2006, l'Argentine (5 matches) en 2006 et la France (7 matches) en 2006 et la Nouvelle-Zélande (3 matches) en 2010, le Costa Rica (5 matches) et les Pays-Bas (7 matches) en 2014.
NB : l'Italie (en 1990 et 1998), l'Eire (en 2002), l'Espagne (en 2002), la Suisse (en 2006), l'Argentine (en 2006), la France (en 2006) et le Costa Rica et les Pays-Bas en 2014 on perdu un match au tirs au but.
- Pour la première fois, en 2018, une équipe a été éliminée des poules à cause de la discipline. En effet, le Japon et le Sénégal étant à égalité parfaite, c'est le nombre de cartons jaunes qui a décidé du qualifié. Et c'est le Sénégal qui a été éliminé.
Pays vainqueurs
5 - Brésil (1958, 1962, 1970, 1994 et 2002)
4 - Italie (1934, 1938, 1982 et 2006) et Allemagne/RFA (1954, 1974, 1990 et 2014)
3 - Argentine (1978, 1986 et 2022)
2 - Uruguay (1930 et 1950), Argentine (1978 et 1986) et France (1998 et 2018)
1 - Angleterre (1966) et Espagne (2010).
Pays finalistes
8 - Allemagne/RFA (1954, 1966, 1974, 1982, 1986, 1990, 2002 et 2014)
7 - Brésil (1950, 1958, 1962, 1970, 1994, 1998 et 2002) et Allemagne/RFA (1954, 1966, 1974, 1982, 1986, 1990 et 2002)
6 - Italie (1934, 1938, 1970, 1982, 1994 et 2006) et Argentine (1930, 1978, 1986, 1990, 2014 et 2022
4 - France (1998, 2006, 2018 et 2022)
3 - Pays-Bas (1974, 1978 et 2010)
2 - Uruguay (1930 et 1950), Tchécoslovaquie (1934 et 1962), Hongrie (1938 et 1954)
1 - Suède (1958), Angleterre (1966), Espagne (2010) et Croatie (2018).
Le plus de participations
22 - Brésil
20 - Allemagne/RFA
18 - Italie et Argentine
17 - Mexique
16 - Angleterre, Espagne et France
14 - Belgique et Uruguay
13 - Serbie/Yougoslavie/Serbie-Monténégro
12 - Suède et Suisse
Depuis 2022, au total 80 nations ont participé ; huit nations ont remporté la Coupe ; cinq équipes ont disputé une finale sans gagner ; onze équipes ont disputé les demi-finales.
Plus grand nombre de demi-finales disputées
13 - Allemagne/RFA (1934, 1954, 1958, 1966, 1970, 1974, 1982, 1986, 1990, 2002, 2006, 2010 et 2014)
Plus grand nombre de matches disputés
114 par le Brésil, 112 par l’Allemagne/RFA, 83 par l’Italie.
Plus grand nombre de victoires
76 par le Brésil, 68 par l’Allemagne/RFA, 45 par l’Italie.
Plus grand nombre de buts marqués
237 par le Brésil, 232 par l’Allemagne/RFA, 152 par l'Argentine, 136 par la France.
Plus grand nombre de buts marqués lors d'une seule Coupe du Monde
27 par la Hongrie en 5 matches en 1954.
Le plus grand écart de buts en finale
3 - Brésil contre la Suède en 1958 (5-2, Brésil contre l’Italie en 1970 (4-1) et France contre le Brésil en 1998 (3-0).
Plus grand nombre de victoires consécutives
11 par le Brésil entre 2002 (à cheval sur les éditions de 2002 et 2006) et 7 par l'Italie (à cheval sur les éditions de 1934 et 1938).
Plus grand nombre de matches consécutifs sans défaites
13 par le Brésil à cheval sur les éditions de 2002 et 2006.
Plus grand nombre de matches consécutifs avec au moins un but marqué
18 par le Brésil (à cheval sur les éditions de 1930 à 1958) et l'Allemagne (à cheval sur les éditions de 1934 à 1958)
Plus grand nombre de matches consécutifs sans concéder de but
5 par l'Italie (1990) et la Suisse (à cheval sur les éditions de 1994, 2006 et 2010).
Plus grand nombre de minutes sans concéder de but
559 par la Suisse (à cheval sur les éditions de 1994, 2006 et 2010)
Plus grand nombre de défaites
28 par le Mexique
Plus de rencontres disputées entre deux pays
7 entre le Brésil et la Suède (1938, 1950, 1958, 1978, 1990 et 2 fois en 1994).
Les plus gros scores en phase finale
1982 : Hongrie-Salvador : 10 à 1
1954 : Hongrie-Corée : 9 à 0
1974 : Yougoslavie-Zaïre : 9 à 0
1938 : Suède-Cuba : 8 à 0
1950 : Uruguay-Bolivie : 8 à 0
2002 : Allemagne-Arabie Saoudite : 8 à 0
1954 : Turquie-Corée : 7 à 0
1954 : Uruguay-Ecosse : 7 à 0
1974 : Pologne-Haïti : 7 à 0
2010 : Portugal-Corée du Nord : 7 à 0
2014 : Allemagne-Brésil : 7 à 1
2022 : Espagne - Costa Rica : 7 à 0
Les matches à buts en phase finale
12 buts : Autriche-Suisse 7 à 5 (1958)
11 buts : Brésil-Pologne 6 à 5 (1938), Hongrie-Allemagne 8 à 3 (1954) et Hongrie-Salvador 10 à 1 (1982)
10 buts : France-Paraguay 7 à 3 (1958)
Cinq nations n’ont jamais marqué le moindre de but : Canada, Chine, Zaïre, Antilles Néerlandaises et Trinité-et-Tobago.
Huit finales sont allées jusqu'à la prolongation : en 1934, 1966, 1978, 1994, 2006, 2010, 2014 et 2022.
Les plus gros scores en phase éliminatoire
31 buts : Australie bat Samoa Américaines 31-0 (2002)
22 buts : Australie bat Tonga 22-0 (2002)
19 buts : Iran bat Guam 19-0 (2002)
16 buts : Tadjikistan bat Guam 19-0 (2002) et Fidji bat Tuvalu 16-0 (2010)
15 buts : Vanuatu bat Samoa américaines 15-0 (2010) et Qatar bat Bhoutan 15-0 (2015)
13 buts : Fidji bat Samoa Américaines 13-0 (2002) et Iles Salomon bat Samoa américaines 12-1 (2010)
12 buts : Syrie bat Philippines 12-0 (2002), Oman bat Laos 12-0 (2002), Emirats Arabes Unis bat Bruneï 12-0 (2002), Salvador bat Anguilla 12-0 (2010) et Chine bat Bhoutan 12-0 (2015)
11 buts : Belgique bat Saint-Marin 10-1 (2002), Syrie bat Laos 11-0 (2002), Chine bat Maldives 10-1 (2002), Australie bat Samoa 11-0 (2002), Tahiti bat Samoa 10-1 (2014) et Algérie bat Tanzanie 9-2 (2015)
Les grosses surprises de la Coupe du Monde
Etats-Unis - Angleterre : 1 à 0 (1950)
Corée du Nord - Italie : 1 à 0 (1966)
RDA - RFA : 1 à 0 (1974)
Algérie - RFA : 2 à 1 (1982)
Maroc - Portugal : 3 à 1 (1986)
Cameroun - Argentine : 1 à 0 (1990)
Costa-Rica - Ecosse : 1 à 0 (1990)
Cameroun - Roumanie : 2 à 1 (1990)
Costa-Rica - Suède : 2 à 1 (1990)
Corée du Sud - Espagne : 2 à 2 (1994)
Nigeria - Bulgarie 3 à 0 (1994)
Etats-Unis - Colombie : 2 à 1 (1994)
Arabie-Saoudite - Belgique : 1 à 0 (1994)
Norvège - Brésil : 2 à 1 (1998)
Maroc - Ecosse : 3 à 0 (1998)
Corée du Sud - Portugal : 1 à 0 (2002)
Corée du Sud - Italie : 1 à 0 but en or (2002)
Etats-Unis - Portugal : 3 à 2 (2002)
Slovaquie - Italie : 3 à 2 (2010)
Chili - Espagne 2-0 (2014)
Costa Rica - Uruguay 3-1 (2014)
Costa Rica - Italie 1-0 (2014)
Corée du Sud - Allemagne 2-0 (2018)
Maroc - Espagne 0-0 (3-0 t.a.b.) (2022)
Maroc - Portugal 3-0 (2022)
Records par nation sur une édition de Coupe du Monde :
- Nombre de victoires : 7 par le Brésil en 2002
- Nombre de buts inscrits : 27 par la Hongrie en 1954
- Nombre de buts encaissés : 0 par la Suisse en 2006
Statistiques joueurs
- Un joueur a disputé la Coupe du monde pour trois pays différents : Dejan Stankovic
(Yougoslavie en 1998, Serbie-Montenegro en 2006 et Serbie en 2010).
- Six joueurs ont disputé la Coupe du monde pour deux pays différents : Luis Monti
(Argentine 1930 et Italie 1934), José Santamaria (Uruguay 1954 et Espagne 1962), Ferenc Puskas
(Hongrie 1954 et Espagne 1962), José Altafini (Brésil 1958 et Italie 1962), Robert Jarni et Robert Prosinecki
(Yougoslavie 1990 et Croatie 1998).
- Seul joueur ayant disputé deux finales pour deux pays différents : Luis Monti
avec l’Argentine en 1930 et avec Uruguay en 1934.
- Seuls deux joueurs européens ont remporté deux Coupes du Monde : les Italiens Giovanni Ferrari et Guiseppe Meazza avec l’Italie, en 1934 et 1938.
- 5 penalties ont été marqués en finale : Paul Breitner
FRG et Johan Neeskens
NED en 1974, Andreas Brehme
GER en 1990, Zinédine Zidane FRA en 2006 et Antoine Griezmann
en 2018.
- 372 joueurs ont remporté la Coupe du Monde.
- 427 joueurs ont joué au moins une finale.
- 53 joueurs ont joué 2 finales.
- 1 joueur a joué 3 finales.
- 65 joueurs ont marqué en finale. Le croate Mario Mandzukic
est le seul joueur à avoir marqué pour et contre son camp.
Histoires de famille
Deux paires de frères ont remporté une finale : Fritz et Ottmar Walter GER en 1954 ; Bobby et Jacky Charlton
ENG en 1966. Fritz et Ottmar Walter ont chacun inscrit deux buts en demi-finale contre l’Autriche !
Deux frères jumeaux ont marqué en finale : Rene et Willy van der Kerkhof NED marquant chacun un but en finale en 1978.
Deux paires de frères ont perdu une finale : Willy et Rene van de Kerkhof NED en 1978 ; Bernd et Karl-Heinz Forster FRG en 1982.
Une paire de frères a été gardien dans une même équipe : Viktor et Vyacheslav Chanov URSS en 1982.
Deux frères ont joué l’un contre l’autre : Jerome Boateng GER et Kevin Prince Boateng GHA en 2010 et 2014.
Dix couples pères fils ont disputé la Coupe du Monde : les mexicains Martin Vantolra en 1934 et son fils Jose en 1970, Mario Sr. Perez en 1950 et son fils Mario Jr. en 1970, les brésiliens Domingos Da Guia en 1938 et son fils Ademir en 1974, les espagnols Vicente Asensi et 1950 et son fils Juan Manuel en 1978, Manuel Sr. Sanchis en 1966 et son fils Manuel Jr. en 1990, les italiens Cesare Maldini
en 1962 et son fils Paolo en 1990, 1994 et 1998, les suèdois Anders Linderoth en 1978 et son fils Tobias en 2002, les coréens du sud Cha Bum-Kun en 1986 et son fils Cha Doo-Ri en 2002, et les français Roger Rio en 1934 et son fils Patrice en 1978, Jean Djorkaeff
en 1966 et son fils Youri en 1998 et 2002.
Un couple père fils a disputé la finale : Le défenseur brésilien Domingas da Guia en 1938 et son fils, le milieu de terrain Ademir da Guia en 1974.
Trois frères dans la même sélection : Jerry, Jhony et Wilson Palacios ont tous les trois été retenus dans la liste des 23 joueurs du Honduras pour l'Afrique du Sud en 2010. Seuls Wilson et Jerry ont joué.
Le Suédois Erik Nilsson et le Suisse Alfred Bickel sont les deux seuls joueurs à avoir disputé la Coupe du Monde avant et après la Deuxième Guerre Mondiale, en 1938 et 1950 !
Concernant les remplacements, introduits pour la première fois en 1970 :
- Le tout premier eut lieu en 1970 lors du match URSS-Mexique quand le soviétique Anatoli Pusatch remplaça Serebrianikov.
- l’Italien Alessandro Nesta
fut le joueur le plus rapidement remplacé : après seulement 4 minutes de jeu contre l’Autriche en 1998, par Giuseppe Bergomi
.
- le Roumain Steve Adamache fut le premier gardien à être remplacé, en 1970 contre le Brésil par Necula Raducanu.
21 joueurs ont marqué dans deux séances de tirs au but :
- Pierre Littbarski
(FRG) contre la France en 1982 et le Mexique en 1986.
- Manuel Amoros
(FRA) contre la RFA en 1982 et le Brésil en 1986.
- Andreas Brehme
et Lothar Matthäus (FRG/GER) contre le Mexique en 1986 et l’Angleterre en 1990.
- Gheorghe Hagi
et Ion Lupescu (ROU) contre l’Irlande en 1990 et la Suède en 1994.
- Jose Serrizuela (ARG) et Jorge Burruchaga
(ARG) contre la Yougoslavie en 1990 et l’Italie en 1990.
- Dunga (BRA) contre l’Italie en 1994 et les Pays-Bas en 1998.
- Branco (BRA) contre la France en 1986 et l’Italie en 1994.
- Roberto Baggio
(ITA) contre l’Argentine en 1990 et la France en 1998.
- Fernando Hierro
et Ruben Baraja (ESP) contre l’Irlande 2002 et la Corée du Sud en 2002.
- Celso Borges et Giancarlo Gonzalez (CRC) contre la Grèce et les Pays-Bas en 2014.
- Arjen Robben
et Dirk Kuyt
(NED) contre le Costa Rica et l'Argentine en 2014.
- Sergey Ignashevich (RUS) contre l'Espagne et la Croatie en 2018
- Luka Modric
et Ivan Rakitic (Croatie contre le Danemark et la Russie en 2018.
Inédit
- Face au Ghana en 2022, le Portugais Cristiano Ronaldo est devenu à 37 ans le premier joueur à avoir inscrit un but lors de cinq Coupes du monde différentes. Après avoir marqué en Allemagne (2006), en Afrique du Sud (2010), au Brésil en 2014, en Russie en 2018, CR7 a doublé le Brésilien Pelé et les Allemands Uwe Seeler et Miroslav Klose (le recordman au nombre de buts marqués avec 16 buts) qui ont marqué lors de quatre éditions différentes.
- Le Brésilien Jairzinho est le seul joueur à avoir marqué dans chaque match lors d'une phase finale, incluant la finale, en 1970.
- Avec 3 buts marqués en 6 minutes (70e, 74e et 77e minute), le Hongrois Laszlo Kiss est l’auteur du triplé le plus rapide de l’histoire (contre le Salvador en 1982).
- Le Croate Robert Prosinecki est le seul joueur à avoir marqué pour 2 pays différents : pour la Yougoslavie en 1990 (contre les Etats-Unis) et la Croatie en 1998 (contre la Jamaïque).
- L’Anglais Peter Shilton est le gardien à avoir joué le plus de matches sans encaisser de but (10 matches lors des éditions de 1982, 1986 et 1990).
- L’Italien Walter Zenga est le gardien à avoir conservé sa cage inviolée le plus de minutes consécutives (6 matches): 518 minutes en 1990. Cette série prit fin lorsque l’Argentin Claudio Caniggia marqua en demi-finale.
- L’Allemand Harald Schumacher (1982 et 1986) et l'Argentin Sergio Goycoechea (1990) sont les gardiens à avoir arrêté le plus de tirs au but : 4.
- L’Argentin Claudio Caniggia en 2002 est le premier joueur expulsé alors qu’il était sur le banc de touche.
Le seul joueur à avoir remporté trois Coupes du Monde est Pelé, en 1958, 1962 (sans avoir joué la finale) et 1970 avec le Brésil.
Le seul joueur à avoir joué trois finales est le Brésilien Cafu, en 1994 (victoire), 1998 (défaite) et 2002 (victoire).
Le seul joueur à avoir marqué dans deux finales d’affilée est le Brésilien Vava (2 en 1958 et 1 en 1962).
L'Argentin Lionel Messi en 2022 est devenu le premier joueur de l'histoire à marquer en phase de groupes, huitièmes, quarts, demie et finale.
Triplé en finale : deux joueurs l'ont réussi, l'Anglais Geoffrey Hurst en 1966 et le Français Kylian Mbappé en 2022.
Les deux seuls joueurs à avoir marqué dans deux finales d’affilée sont le Brésilien Vava (2 en 1958 et 1 en 1962) puis le Français Kylian Mbappé (1 en 2018, 3 en 2022).
Le plus jeune vainqueur est le Brésilien Pelé (17 ans et 249 jours en 1958).
Le vainqueur le plus âgé est l’Italien Dino Zoff (40 ans et 133 jours en 1982).
Les joueurs les plus jeunes sont le Brésilien Edu (16 ans et 11 mois contre la Bulgarie en 1966) et l’Irlandais du Nord Norman Whiteside (17 ans et 41 jours contre la Yougoslavie en 1982).
Le joueur le plus âgé est l'Egyptien Essam El-Hadary (45 ans, 5 mois et 10 jours en 2018) puis le Colombien Faryd Mondragon (43 ans et 3 jours en 2014).
Le joueur le plus jeune en match de qualification est le Togolais Souleymane Mamam (remplaçant) à 13 ans et 10 mois en mai 2001 contre le Zambie.
Le buteur le plus jeune est le Brésilien Pelé (17 ans et 239 jours en 1958).
Le buteur le plus âgé est le Camerounais Roger Milla (42 ans et 39 jours en 1994).
La confrontation la plus jeune eut lieu entre les équipes de Brésil et de Yougoslavie en 1930 : 21 ans et 258 jours de moyenne d'age.
La confrontation la plus âgée eut lieu entre Iran et Allemagne en 1998 : 31 ans et 345 jours de moyenne d'age.
Multiples vainqueurs de la Coupe du Monde
3 fois : Pelé BRE en 1958, 1962 et 1970
2 fois : Ferrari, Massetti, Meazza et Monzeglio ITA en 1934 et 1938 ; Bellini, Castilho, Didi, Djalma Santos, Garrincha, Gilmar, Mauro, Nilton Santos, Pepe, Vava, Zagallo, Zito et Zozimo BRE en 1958 et 1962 ; Passarella ARG en 1978 et 1986 ; Cafu et Ronaldo BRE en 1994 et 2002.
Ils ont joué plusieurs Coupes du Monde :
5 fois - Antonio Carbajal
(Mexique : 1950, 1954, 1958, 1962, 1966), Lothar Matthäus (Allemagne : 1982, 1986, 1990, 1994, 1998), Rafael Marquez
(Mexique 2002, 2006, 2010, 2014 et 2018), Gianluigi Buffon
(Italie : 2002, 2006, 2010 et 2014), Andrés Guardado (Mexique : 2006, 2010, 2014, 2018, 2022), Guillermo Ochoa (Mexique : 2006, 2010, 2014, 2018, 2022), Lionel Messi
(Argentine : 2006, 2010, 2014, 2018, 2022), Cristiano Ronaldo
(Portugal : 2006, 2010, 2014, 2018, 2022).
4 fois - Pelé (Brésil : 1958, 1962, 1966, 1970), D. Santos (Brésil : 1954, 1958, 1962, 66), Schnellinger et Seeler (Allemagne : 1958, 1962, 1966, 1970), Maradona (Argentine : 1982, 1986, 1990, 1994), Rivera (Italie : 1962, 1966, 1970, 1974), Rocha (Uruguay : 1962, 1966, 1970, 1974), Scifo et F. van der Elst (Belgique : 1986, 1990, 1994, 1998), Zubizarreta (Espagne : 1986, 1990, 1994, 1998), Bergomi (Italie : 1982, 1986, 1990, 1998), Zmuda (Pologne : 1974, 1978, 1982, 1986), Hong Myung-Bo (Corée du Sud : 1990, 1994 , 1998 et 2002), P. Maldini (Italie : 1990, 1994 , 1998 et 2002), Al Deayea (Arabie Saoudite : 1994 , 1998, 192002 et 2006), Al Jaber (Arabie Saoudite : 1994 , 1998, 2002 et 2006), Cafu (Brésil : 1994 , 1998, 2002 et 2006), R. Song (Cameroun : 1994, 1998, 2002 et 2010), Henry (France : 1998, 2002, 2006 et 2010), F. Cannavaro (Italie : 1998, 2002, 2006 et 2010), Caniza (Paraguay : 1998, 2002, 2006 et 2010), Klose (Allemagne : 2002, 2006, 2010 et 2014), Casillas et Xavi (Espagne : 2002, 2006, 2010 et 2014), Beasley (Etats-Unis : 2002, 2006, 2010 et 2014), T. Cahill (Australie 2006, 2010, 2014, 2018), Mascherano (Argentine : 2006, 2010, 2014 et 2018), S. Ramos et Iniesta (Espagne : 2006, 2010, 2014 et 2018), Behrami (Suisse : 2006, 2010, 2014 et 2018), Lloris (France : 2010, 2014, 2018 et 2022), Giroud (France : 2010, 2014, 2018 et 2022).
Les Français :
4 fois - Giroud, Henry et Lloris
3 fois - Barthez, Battiston, Bossis, Delfour, Griezmann, Mattler, Platini, Rocheteau, Thuram, Trezeguet, Varane, Vieira, Zidane.
Ils ont joué le plus grand nombre de matches :
26 - Messi (Argentine)
25 - Mätthaus (RFA et Allemagne)
24 - Klose (Allemagne)
23 - P. Maldini (Italie)
22 - C. Ronaldo (Portugal)
21 - Seeler (Allemagne et RFA), Maradona (Argentine), Zmuda (Pologne)
20 - Mascherano (Argentine), Lato (Pologne), Lloris (France)
19 - Klose (Allemagne), Messi (Argentine), Ronaldo (Brésil), Overath, K.H. Rummenigge Vogts (RFA), Griezmann (France)
18 - Beckenbauer, Berthold, Littbarski, Maier (Allemagne et RFA), Kempes (Argentine), Dunga et Taffarel (Brésil), Cabrini, F. Cannavaro et Scirea (Italie), Varane et Giroux (France)
17 - Schnellinger et Klinsmann (Allemagne et RFA), Shilton (Angleterre), Scifo (Belgique), Cafu, Lucio et Roberto Carlos (Brésil), Casillas et S. Ramos (Espagne), Barthez et Henry (France), Zoff (Italie) et C. Ronaldo (Portugal)
16 - Neuer, T. Müller et Ozil (Allemagne), Ruggeri (Argentine), Ceulemans (Belgique), Gilberto Silva et Jaïrzinho (Brésil), Hong Myung-bo (Corée du Sud), Zubizarreta (Espagne), Thuram (France), R. Baggio et Bergomi (Italie), Boniek (Pologne)
15 - Schaefer (Allemagne), Didi et N. Santos (Brésil), Xavi (Espagne), Bossis (France), R. Marquez (Mexique).
Les Français :
20 Lloris (record pour un gardien) - 19 Griezmann - 18 Varane et Giroud - 17 Barthez, Henry - 16 Thuram - 15 Bossis - 14 Platini - 12 Amoros, Giresse, Tigana, Vieira, Zidane - 11 Battiston, Lloris, Pogba, Trezeguet - 10 Desailly, Ribéry, Rocheteau, Six, Trésor, Wiltord.
Joueurs ayant joué le plus de minutes
2 217 minutes : P. Maldini (Italie) en 23 matches et L. Messi (Argentine) en 23 matches
2 212 minutes : Matthaüs (Allemagne) en 25 matches
1 980 minutes : Seeler (Allemagne) en 21 matches
1 920 minutes : Mascherano (Argentine) en 20 matches
1 964 minutes : Maradona (Argentine) en 21 matches
1 883 minutes : Zmuda (Pologne) en 21 matches
Les Français :
1 613 minutes : Barthez en 17 matches
1 433 minutes : Thuram en 16 matches
1 404 minutes : Bossis en 15 matches
1 262 minutes : Platini en 14 matches
1 230 minutes : Henry en 17 matches
Ils ont marqué le plus grand nombre de buts
16 - Miroslav Klose
GER (5 en 2002, 5 en 2006, 4 en 2010 et 2 en 2014)
15 - Ronaldo BRA (4 en 1998, 8 en 2002 et 3 en 2006).
14 - G. Müller FRG (10 en 1970, 4 en 1974)
13 - Fontaine FRA (13 en 1958) et Messi ARG (1 en 2006, 4 en 2014, 1 en 2018, 7 en 2022).
12 - Pelé BRA (6 en 1958, 1 en 1962, 1 en 1966, 4 en 1970) et Mbappé FRA (4 en 2018, 8 en 2022).
11 - Kocsis HUN (1954) et Klinsmann ALL (1990, 1994 et 1998).
10 - Lineker ENG (1986 et 1990), Cubillas PER (1970 et 1978), Lato POL (1974, 1978 et 1982), Rahn FRG (1954 et 1958), Batistuta ARG (1994, 1998 et 2002) et Thomas Müller GER (2010 et 2014).
9 - Ademir, Jairzinho et Vava BRA, K.H. Rummenigge et Seeler FRG/GER, Eusebio POR, Rossi, R. Baggio et Vieri ITA.
Les Français :
13 - Fontaine
12 - Mbappé
6 - Henry
5 - Platini, Zidane
4 - Griezmann, Piantoni, Rocheteau
3 - Benzema, Genghini, Giresse, Kopa, J. Nicolas.
Joueurs avec le plus grand nombre de cartons (jaune, 2 jaunes et rouge)
- Zinédine Zidane FRA : 4 jaunes et 2 rouges en 12 matches (1998, 2002 et 2006)
- Eddie Pope USA : 5 jaunes et 1 rouge en 9 matches (1998, 2002 et 2006)
- Stefan Schwarz SWE : 5 jaunes et 1 rouge en 9 matches (1990 et 1994)
- Dario Simic CRO : 5 jaunes et 1 rouge en 11 matches (1998, 2002 et 2006)
- Tim Cahill AUS : 4 jaunes et 1 rouge en 10 matches (2006, 2010, 2014, 2018)
- Cafu BRA : 6 jaunes en 20 matches (1994, 1998, 2002 et 2006)
Statistiques buts
1 103 joueurs ont marqué au moins un but en Coupe du Monde.
900 matches ont été disputés en phase finale depuis la création de la Coupe du Monde.
2 549 buts ont été marqués en phase finale.
180 buts ont été marqués sur penalty.
53 joueurs ont marqué un but contre leur camp.
Premier but en Coupe du Monde : Lucien Laurent
FRA le 13 juillet 1930 à la 19e minute contre le Mexique.
Premier but sur penalty : Manuel Rocquetas Rosas MEX le 19 juillet 1930 contre l’Argentine.
Premier but sur penalty dans une finale : Johan Neeskens
NED le 7 juillet 1974 contre l’Allemagne.
Premier penalty raté : Valdemar de Brito BRA contre l’Espagne en 1934.
Premier but en prolongation : Anton Schall AUT le 27 mai 1934 contre la France.
Premier but accordé après arbitrage vidéo : Paul Pogba
FRA le 16 juin 2018 contre l'Australie.
Plus de penalties en phase finale : 4 par Eusebio POR en 1966 et par Robbie Rensenbrink NED en 1978.
Buts les plus rapides : Hakan Sükür TUR 11 secondes après le coup d’envoi en 2002 contre le Corée du Sud, Vaclav Masek TCH à la 15eme seconde en 1962 contre la Mexique, Brian Robson ANG à la 27eme seconde en 1982 contre la France et Bernard Lacombe
FRA à la 38eme seconde contre l’Italie en 1978.
But français le plus rapide : Bernard Lacombe
FRA 38 secondes après le coup d’envoi contre l’Italie en 1978.
Premier but contre son camp : Ernst Lörtscher SUI le 9 juin 1938 contre l’Allemagne.
Premier but d’un remplaçant : Juan Basaguren MEX le 7 juin 1970 contre El Salvador.
Premier triplé (hat-trick) : Guillermo Stabile
ARG le 19 juillet 1930 contre le Mexique.
Premier triplé par un remplaçant : Laszlo Kiss HON le 15 juin 1982 contre le Salvador.
Hat-trick dans deux éditions : Gabriel Batistuta
ARG en 1994 contre la Grèce et en 1998 contre la Jamaïque.
Premier but en or : Laurent Blanc
FRA au 2e tour après 114 minutes contre le Paraguay le 28 juin 1998.
Premier penalty accordé après arbitrage vidéo : La France contre l'Australie le 16 juin 2018.
- Le but le plus rapide d’un match d’ouverture a été marqué par le Brésilien Cesar Sampaio contre l’Ecosse en 1998, à la 4e minute.
- Le but le plus rapide de la finale a été marqué par Johan Neeskens
NED en 1974 contre la RFA à la première minute.
- Seuls deux joueurs ont marqué un but pour son équipe et un but dans son camp lors d’un même match : le Néerlandais Ernie Brandts contre l’Italie en 1978 et le croate Mario Mandzukic
contre la France en 2018, qui plus est en finale.
3 - Hurst (ENG) en 1966 contre l’Allemagne et Mbappé (FRA) en 2022 contre l'Argentine.
Ils ont marqué dans plusieurs éditions :
5 : Cristiano Ronaldo
POR (2006, 2010, 2014, 2018 et 2022).
4 : Pelé (BRA) 1958, 1962, 1966 et 1970 et Uwe Seeler
(GER/FRG) en 1958, 1962, 1966 et 1970.
Un joueur a disputé trois finales
Cafu BRA en 1994, 1998 et 2002.
Ils ont disputé deux finales :
Argentine : Burruchaga, Maradona, Ruggieri (1986 et 1990), Monti (1930 avec l’Argentine et 1934 avec l’Italie).
Brésil : Didi, Garrincha, Gilmar, D. et N. Santos, Vava, Zagallo, Zito (1958 et 1962), Pelé (1958 et 1970) ; Aldair, Bebeto, Dunga, Taffarel (1994 et 1998) ; Denilson, Rivaldo, Roberto Carlos et Ronaldo (1998 et 2002).
France : Zidane, Thuram, Vieira, Henry et Barthez (1998 et 2006) ; Mbappé, Griezmann, Lloris, Giroud et Varane (2018 et 2022)
Italie : Ferrari, Meazza (1934 et 1938)
Pays-Bas : Haan, Jansen, Jongbloed, Krol, Neeskens, Rensenbrinck, Rep, Suurbier, R. Van De Kerkhof (1974 et 1978)
RFA : Breitner (1974 et 1982), Briegel, K.H. Förster, K.H. Rummenigge, Schumacher (1982 et 1986), Littbarski (1982 et 1990), Berthold, Brehme, Matthäus, Voller (1986 et 1990)
Note : Pelé aurait pu disputer la finale de 1962 (blessure), Matthäus la finale de 1982, Littbarski la finale de 1986 et Ronaldo la finale de 1994 (remplaçants).
- Joueurs ayant joué le plus de minutes en finale :
279 minutes : Cafu (Brésil) en 3 finales
210 minutes : Monti (Argentine et Italie), Aldair, Bebeto, Dunga, Taffarel (Brésil), Haan, Jongbloed, Krol, Neeskens (Pays-Bas), Ferrari, Meazza (Italie), Beckenbauer, Overath (RFA) tous en 2 finales.
Ils ont remporté deux finales :
Brésil : Didi, Garrincha, Gilmar, D. Santos, N. Santos, Vava, Zagallo, Zito (1958-1962), Pelé (1958-1970), Cafu (1994-2002).
Italie : Ferrari, Meazza (1934-938)
NB : En 1994, Ronaldo faisait partie de la Seleçao, mais il n’a pas joué la finale.
(225 joueurs ont remporté une finale).
Ils ont marqué en finale :
4 - Mbappé (France)
3 - Hurst (Angleterre), Pelé, Vava (Brésil), Zidane (France)
2 - Kempes (Argentine), Colaussi, Piola (Italie), Breitner, Rahn (RFA), Ronaldo (Brésil)
(Le croate Mario Mandzukic
est le seul joueur à avoir marqué pour et contre son camp).
(54 joueurs à un but ; Le croate Mario Mandzukic
est le seul joueur à avoir marqué pour et contre son camp).
Ils ont marqué dans deux finales différentes :
Vava BRA et Pelé BRA en 1958 et 1962, Pelé BRA en 1958 et 1970, Paul Breitner
FRG en 1974 et 1982, Zinédine Zidane FRA en 1998 et 2006.
Ils ont marqué plusieurs buts dans une même finale :
3 - Geoff Hurst
(ENG) contre la RFA (1966) et Kylian Mbappé contre l'Argentine (2022)
2 - Gino Colaussi et Silvio Piola
(ITA) contre la Hongrie (1938), Helmut Rahn
(GER) contre la Hongrie (1954), Pelé et Vava (BRA) contre la Suède (1958), Mario Kempes
(ARG) contre les Pays-Bas (1978), Zinédine Zidane (FRA) contre le Brésil (1998), Ronaldo (BRA) contre l’Allemagne (2002)
Ils ont marqué dans plusieurs éditions :
5 : Cristiano Ronaldo
(POR) 2006, 2010, 2014, 2018 et 2022
4 : Pelé (BRA) 1958, 1962, 1966 et 1970, Uwe Seeler
(GER/FRG) en 1958, 1962, 1966 et 1970
Ils ont marqué un penalty en finale :
1 - Johan Neeskens
(NED) en 1974, Paul Breitner
(FRG) en 1974, Andreas Brehme
GER) en 1990, Zinédine Zidane (FRA) en 2006 et Antoine Griezmann
en 2018.
Ils ont marqué le premier but de chaque Coupe du Monde :
1930 : Lucien Laurent
(France) contre le Mexique - 1934 : Ernesto Belis (Argentine) contre la Suède - 1938 : Josef Gauchel (Allemagne) contre la Suisse - 1950 : Ademir (Brésil) contre le Mexique - 1954 : Bora Milutinovic (Yougoslavie) contre la France - 1958 : Orestes Corbatta (Argentine) contre la RFA - 1962 : Hector Facundo (Argentine) contre la Bulgarie - 1966 : Pelé (Brésil) contre la Bulgarie - 1970 : Dinko Dermendjev (Bulgarie) contre le Pérou - 1974 : Paul Breitner
(RFA) contre le Chili - 1978 : Bernard Lacombe
(France) contre l’Italie - 1982 : Erwin Van Den Bergh (Belgique) contre l’Argentine - 1986 : Alessandro Altobelli
(Italie) contre la Bulgarie - 1990 : François Omam-Biyik (Cameroun) contre l’Argentine - 1994 : Jürgen Klinsmann (Allemagne) contre la Bolivie - 1998 : Cesar Sampaio (Brésil) contre l’Ecosse - 2002 : Bouba Diop (Sénégal) contre la France - 2006 : Philipp Lahm
(Allemagne) contre le Costa Rica - 2010 : Siphiwe Tshabalala (Afrique du Sud) contre le Mexique - 2014 : Marcelo (Brésil contre la Croatie (but contre son camp) - 2018 : Youri Gazinski (Russie contre l'Arabie Saoudite) - 2022 : Enner Valencia (Equateur contre le Qatar).
Ils ont marqué le dernier but de chaque Coupe du Monde :
1930 : Hector Castro (Uruguay) contre l’Argentine - 1934 : Angelo Schiavio (Italie) contre la Tchécoslovaquie - 1938 : Silvio Piola
(Italie) contre la Hongrie - 1950 : Alcides Ghiggia
(Uruguay) contre le Brésil - 1954 : Helmut Rahn
(Allemagne) contre la Hongrie - 1958 : Pelé (Brésil) contre la Suède - 1962 : Vava (Brésil) contre la Tchécoslovaquie - 1966 : Geoff Hurst
(Angleterre) contre l’Allemagne - 1970 : Carlos Alberto (Brésil) contre l’Italie - 1974 : Gerd Müller (RFA) contre les Pays-Bas - 1978 : Daniel Bertoni (Argentine) contre la Hollande - 1982 : Paul Breitner
(RFA) contre l’Italie - 1986 : Jorge Burruchaga
(Argentine) contre la RFA - 1990 : Andreas Brehme
(Allemagne) contre l’Argentine - 1994 : Kennet Andersson (Suède) contre la Bulgarie - 1998 : Emmanuel Petit
(France) contre le Brésil - 2002 : Ronaldo (Brésil) contre l’Allemagne - 2006 : Marco Materazzi
(Italie) - 2010 : Andres Iniesta
(Espagne) contre les Pays-Bas - 2014 : Mario Götze (Allemagne) contre l'Argentine - 2018 : Mario Mandzukic
(Croatie) contre la France - 2022 : Kylian Mbappé (France) contre l'Argentine.
Ils ont inscrit des buts qui ont marqué :
1er but : Lucien Laurent
(France) contre le Mexique (1930) 4-1 - 100eme : Angelo Schiavio (Italie) contre les Etats-Unis (1934) 7-1 - 200eme : Tore Keller (Suède) contre Cuba (1938) 8-0 - 300eme : Chico (Brésil) contre l’Espagne(1950) 6-1 - 400eme : Maximilian Morlock (Allemagne) contre la Turquie (1954) 7-2 - 500eme : Robert Collins (Ecosse) contre le Paraguay (1958) 3-2 - 600eme : Drazen Jerkovic (Yougoslavie) contre l’Uruguay (1962) 3-1 - 700eme : Seung-Zin Park (Corée du Nord) contre le Chili (1966) 1-1 - 800eme : Gerhard Müller (RFA) contre la Bulgarie (1970) 5-2 - 900eme : Hector Yazalde (Argentine) contre Haïti (1974) 4-1 - 1000eme : Robbie Rensenbrinck (Pays-Bas) contre l’Ecosse (1978) 3-2 - 1100eme : Sergei Baltacha (URSS) contre la Nouvelle-Zélande (1982) 3-2 - 1200eme : Jean-Pierre Papin
(France) contre le Canada (1986) 1-0 - 1300eme : Gary Lineker
(Angleterre) contre le Paraguay (1986) 3-0 - 1400eme : Johnny Ekström (Suède) contre Costa-Rica (1990) 1-2 - 1500eme : Claudio Caniggia (Argentine) contre le Nigeria (1994) 4-0 - 1600eme : Pierre Issa (Afrique du Sud) contre son camp pour la France (1998) 0-3 - 1700eme : Slobodan Komljenovic (Yougoslavie) contre les Etats-Unis (1998) 1-0. - 1800eme : Beto (Portugal) contre les USA (2002) 2-3 - 1900eme : Christian Vieri
(Italie) contre la Corée du Sud (2002) 1-2. - 2000eme : Marcus Allbäck (Suède) contre l’Angleterre (2006) 2-2 - 2100eme : Javier Hernandez (Mexique) contre la France (2010) 2-0 - 2200eme : Arjen Robben
(Pays-Bas) contre l'Uruguay (2010) 3-2 - 2300eme : Jermaine Jones (Etats-Unis) contre le Portugal (2014) 2-2 - 2400eme : Luka Modric
(Croatie) contre le Nigeria (2018) 2-0 - 2500eme : Fakhreddine Ben Youssef (Tunisie) contre le Panama (2018) 2-1.
Ils ont marqué plusieurs buts dans un même match :
5 - Oleg Salenko
(RUS) contre le Cameroun (1994).
4 - Leonidas (BRA) contre la Pologne (1938), Ernst Willimowski (POL) contre le Brésil (1938), Gustav Wetterström (SWE) contre Cuba (1938), Ademir (BRA) contre la Suède (1950), Juan Schiaffino (URU) contre la Bolivie en 1950, Sandor Kocsis
(HUN) contre l’Allemagne (1954), Just Fontaine
(FRA) contre l’Allemagne (1958), Eusebio (POR) contre la Corée du Nord (1966) et Emilio Butragueno (ESP) contre le Danemark (1986).
(44 joueurs à 3 buts dont 3 l'ont réalisé 2 fois : Sandor Kocsis
(HUN), Gerd Müller (FRG) et Gabriel Batistuta
(ARG).
Meilleure moyenne de buts par match dans une même édition :
4,0 - Ernest Wilimowski POL en 1938 (4 buts en 1 match)
2,2 - Sandor Kocsis
HUN en 1954 (11 buts en 5 matches) et Just Fontaine
FRA en 1958 (13 buts en 6 matches)
2,0 - Abdel Fawzi EGY en 1934 (2 buts en 1 match).
Statistiques cartons
173 cartons rouges (expulsions avant 1970) ont été distribués dans l’histoire de la Coupe du Monde.
- Le premier joueur expulsé est le Péruvien Placido Galindo, lors du match Pérou-Roumanie en 1930.
- Le premier carton rouge fut distribué au Chilien Carlos Caszely lors de la rencontre contre la RFA en 1974.
- Le joueur le plus rapidement expulsé est l'Uruguayen José Batista, après 56 secondes de jeu lors d’Ecosse-Uruguay au premier tour en 1986.
- Le premier gardien de but expulsé est l’Italien Gianluca Pagliuca
pendant le match Italie-Norvège en 1994.
- Le premier joueur expulsé en finale fut l’Argentin Pedro Monzon, en 1990. Son co-équipier Gustavo Dezotti fut également expulsé lors de cette finale. Les autres joueurs été expulsés en finale sont les français Marcel Desailly
en 1998 et Zinédine Zidane en 2006, et le néerlandais Johnny Heitinga
en 2010.
- Deux joueurs ont été expulsé à deux reprises : le Camerounais Rigobert Song
en 1994 contre le Brésil et en 1998 contre le Chili et le Français Zinédine Zidane (1998 contre l'Arabie Saoudite et 2006 contre l'Italie).
- Le premier français expulsé en Coupe du Monde fut Zinédine Zidane, contre l’Arabie Saoudite en 1998.
- Le premier joueur à recevoir un carton jaune est Evgeny Lovchev URSS lors du match d’ouverture contre la Mexique en 1970.
- Le joueur le plus rapidement averti est le Russe Sergei Gorlukovich, après 1 minute de jeu lors de Russie-Suède en 1994.
- Le remplaçant le plus rapidement expulsé est le Bolivien Marco Etcheverry, après 1 minute de jeu contre l’Allemagne en 1994.
Plus de cartons rouges/expulsions
11 - Brésil
10 - Argentine
9 - RFA/Allemagne, Uruguay
8 - Cameroun, Italie, Pays-Bas
6 - France, Tchécoslovaquie/ République Tchèque, Portugal
5 - Hongrie, Mexique, Portugal, Yougoslavie/Serbie/Serbie et Monténégro
4 - Australie, Croatie, Etats-Unis
3 - Angleterre, Belgique, Chili, Danemark, Suède,
2 - Afrique du Sud, Algérie, Corée du Sud, Honduras, Paraguay, Suisse, Turquie, URSS
1 - Angola, Arabie Saoudite, Autriche, Bolivie, Bulgarie, Canada, Chine, Colombie, Costa Rica, Côte d'Ivoire, Ecosse, Equateur, Espagne, Ghana, Grèce, Irak, Irlande du Nord, Jamaïque, Nigeria, Pérou, Pologne, Roumanie, Russie, Slovénie, Sénégal, Togo, Trinité-et-Tobago, Tunisie, Ukraine, Zaïre.
Plus de cartons rouges par édition
1930 : Uruguay 1
1934 : Italie 1
1938 : France 4
1950 : Brésil 0
1954 : Suisse 3
1958 : Suède 3
1962 : Chili 6
1966 : Angleterre 5
1970 : Mexique 0
1974 : RFA 5
1978 : Argentine 3
1982 : Espagne 5
1986 : Mexique 8
1990 : Italie 16
1994 : USA 15
1998 : France 22
2002 : Corée du Sud/Japon 17
2006 : Allemagne 28
2010 : Afrique du Sud 17
2014 : Brésil 10
2018 : Russie 4
2022 : Qatar 4
Plus de cartons rouges dans un seul match
4 en 2006 pour Portugal-Pays-Bas (Costinha, Deco, Boulahrouz, Van Bronckhorst)
3 en 1938 pour Brésil-Tchécoslovaquie (Procopio, Machado et Riha), en 1954 pour Brésil-Hongrie (N. Santos, Tozzi et Bozsik) et en1998 pour Danemark-Afrique du Sud (Molnar, Wieghorst et Phiri).
Plus de cartons rouges par équipes dans une Coupe du Monde
3 en 1990 pour l'Argentine (Giusti, Monzon et Dezotti), en 1998 pour la France (Zidane, Blanc et Desailly) et le Cameroun (Kalla, Song and Etame).
NB : 14 cartons (jaunes et rouges) ont été distribué lors de la finale entre les Pays-Bas et l'Espagne, ce qui représente plus du double du précédent record dans ce domaine, à savoir six avertissements durant la finale 1986 entre l'Argentine et l'Allemagne de l'Ouest.
Les matches qui se sont terminés aux tirs au but
1982 : RFA-France 3-3 (5-4)
1986 : France-Brésil 1-1 (4-3), RFA-Mexique 0-0 (4-1) et Belgique-Espagne 1-1 (5-4)
1990 : Irlande-Roumanie 0-0 (5-4), Argentine-Yougoslavie 0-0 (3-2), Argentine-Italie 1-1 (4-3) et Allemagne-Angleterre 1-1 (4-3)
1994 : Bulgarie-Mexique 1-1 (3-1), Suède-Roumanie 2-2 (5-4) et Brésil-Italie 0-0 (3-2)
1998 : Argentine-Angleterre 2-2 (4-3), France-Italie 0-0 (4-3) et Brésil-Pays-Bas 1-1 (4-2)
2002 : Espagne-Irlande 1-1 (3-2) et Corée du Sud-Espagne 0-0 (5-3)
2006 : Ukraine-Suisse 0-0 (3-0), Allemagne-Argentine 1-1 (4-2), Portugal-Angleterre 0-0 (3-1) et Italie-France 1-1 (5-3)
2010 : Paraguay -Japon 0-0 (5-3) et Uruguay-Ghana 1-1 (4-2)
2010 : Paraguay -Japon 0-0 (5-3) et Uruguay-Ghana 1-1 (4-2)
2014 : Brésil-Chili 1-1 (3-2), Costa Rica-Grèce 1-1 (5-3), Pays-Bas-Costa Rica 0-0 (4-3) et Argentine-Pays-Bas 0-0 (4-2)
2018 : Russie-Espagne 1-1 (4-3), Croatie-Danemark 1-1 (3-2), Angleterre-Colombie 1-1 (4-2) et Croatie-Russie 2-2 (4-3)
2022 : Croatie-Japon 1-1 (3-1), Maroc-Espagne 0-0 (3-0), Croatie-Brésil 1-1 (4-2), Argentine-Pays-Bas 2-2 (4-3) et Argentine-France 3-3 (4-2)
Footballeurs de légende
Franco Baresi (8-5-60) ITA. Un géant du football européen. Vainqueur de la Coupe d'Europe des champions en 1989, 1990 et 1994 (finaliste en 1993 et 1995), de 2 Coupes Intercontinentales (1989 et 1990), de 3 Super Coupes d'Europe (1989, 1990 et 1994), de 6 championnats d'Italie (1979, 1988, 1992, 1993, 1994 et 1996) et de 4 Supercoupes d'Italie (1988, 1992, 1993 et 1994) avec le Milan AC. Vainqueur de la Coupe du monde en 1982 sans jouer (finaliste en 1994). 81 sélections (31 capitanats) au poste de libéro de 1980 à 1994 et 719 matches officiels avec le Milan AC (33 buts marqués) entre 1977 et 1997.
Frantz Beckenbauer (11-9-45) FRG. Surnommé "Le Kaiser", il est l'un des plus grands joueurs de l'histoire qui a obtenu tous les titres : vainqueur de la Coupe du monde en 1974 (finaliste en 1966, demi-finaliste en 1970 ; 18 matches disputés et 3 buts marqués en trois éditions) et championnat d'Europe en 1972 (finaliste en 1976). Cinq fois champion de RFA (1969, 1972, 1973, 1974 et 1982), vainqueur de 4 Coupes de RFA (1966, 1967, 1969 et 1971), de la Coupe d'Europe des champions en 1974, 1975, 1976, de la Coupe des Coupes en 1967, de la Coupe Intercontinentale en 1976 avec le Bayern Munich. Egalement champion de RFA en 1982 avec Hambourg. Champion des Etats-Unis avec les Cosmos New York en 1977, 1978 et 1980. 424 matches disputés en Bundesliga (44 buts) et 105 matches en championnat des USA (20 buts). 103 sélections comme milieu ou défenseur (14 buts) entre 1965 et 1977. Ballon d'or européen en 1972 et 1976 (2eme en 1974 et 1975, 3eme en 1966). Vainqueur de la Coupe de l'UEFA en 1996 et du championnat d'Allemagne en 1994 avec le Bayren de Munich. Pendant quatre mois en 1990 (de septembre à décembre), il a été l'entraîneur de Marseille. Il a mené comme sélectionneur l'Allemagne en finale de la Coupe du monde en 1986 et au titre mondial en 1990 (36 victoires, 13 défaites et 17 nuls en 66 matches entre 1984 et 1990). Président de la COUPE DU MONDE FIFA en 2006. .
Bobby Charlton (11-10-37) ENG. Un grand monsieur du football anglais. Vainqueur de la Coupe du monde en 1966 (quart de finaliste en 1962 et 1970) et ballon d'or européen cette année-là (2eme en 1967 et 1968). Triple champion d'Angleterre (1957, 1965 et 1967), vainqueur de la Coupe d'Angleterre en 1963 et de la Coupe d'Europe des champions en 1968 en battant en finale Benfica avec son club fétiche, Manchester United. Il a été longtemps recordman des matches joués avec les Red Devils : 758 matches entre 1956 et 1973 (record battu en mai 2008 par Ryan Giggs) en marquant 249 buts. 106 sélections entre 1958 et 1970 et 49 buts marqués (record national). Il fut l'un des six rescapés (avec Bill Faulkes, Kenny Morgans, Albert Scanlon, Harry Gregg et l'entraîneur Matt Busby) du crash d'avion en février 1958 ramenant l'équipe de Manchester United au retour de la demi-finale de la Coupe d'Europe des Champions face à l'Etoile Rouge de Belgrade, dans lequel vingt-trois personnes dont huit joueurs ont perdu la vie. Parti de Belgrade, l'avion a fait une escale technique à Munich puis s'est écrasé lors du décollage en bout de la piste.
Johan Cruyff (25-4-1947/24-3-2016) NED. Une grande figure du football (le plus fameux n°14 de tous les temps), il est considéré comme étant l'inventeur du football moderne. Rapide, gracieux, spectaculaire et technique (inventeur du fameux "Cruyff turn", un dribble où il faisait passer le ballon derrière son pied d'appui), il fait partie des légendes de ce sport ! En 1999, il a été élu "Meilleur joueur européen du 20e siècle" et a terminé 2eme derrière Pelé pour le titre du "Meilleur joueur mondial du 20e siècle" (selon le World Player of the Century poll). Élu trois fois ballon d'or Européen, en 1971, 1973 et 1974. Avec ces compères tels Neeskens, Keizer et Rep, il a révolutionné le football mondial dans les années 1970 en introduisant le "football total" développé par le grand entraîneur Rinus Michels , basé sur la polyvalence, la rapidité, l'accélération et la technique. Neuf fois champion des Pays-Bas : huit fois avec l'Ajax Amsterdam (1966, 1967, 1968, 1970, 1972, 1973, 1982 et 1983), une fois avec le Feyenoord Rotterdam (en 1984). Vainqueur de la coupe des Pays-Bas en 1967, 1970, 1971 et 1972 avec l'Ajax, en 1983 et 1984 avec Feyenoord. Champion d’Espagne en 1974 et vainqueur de la coupe d’Espagne en 1978 avec le FC Barcelone. Vainqueur de la Coupe d'Europe des champions en 1971, 1972 et 1973 avec l'Ajax (finaliste en 1969). Vainqueur de la Coupe Intercontinentale des clubs en 1972 et de la Supercoupe d'Europe en 1972, toujours avec l'Ajax (265 matches et 204 buts de 1964 à 1973). Finaliste de la Coupe du monde en 1974 (7 matches et 3 buts marqués). 48 sélections et 33 buts avec les Pays-Bas entre 1966 et 1977. 307 matches et 214 buts en Championnat des Pays-Bas. 140 matches et 48 buts en Liga et 53 matches et 25 buts aux Etats-Unis (avec les Los Angeles Aztecs en 1979 et les Washington Diplomats en 1981). Entraîneur de l'Ajax Amsterdam de 1985 à 1988 avec lequel il remporta 2 coupes des Pays-Bas, en 1986 et 1987, et la Coupe des Coupes en 1987. Il a ensuite entrainé et révolutionné le FC Barcelone de 1988 à 1996, avec lequel il gagna quatre fois de suite le championnat d'Espagne (de 1991 à 1994), trois fois la Supercoupe d'Espagne (1991, 1992 et 1994), la Coupe d'Espagne en 1990, la Coupe des Coupes en 1989 (finaliste en 1991), la Coupe d'Europe des champions en 1992 (finaliste en 1994) et la Super Coupe d'Europe en 1992. Il fait partie ses 7 hommes à avoir remporté la C1 comme joueur puis entraineur (avec Miguel Muñoz, Giovanni Trapattoni , Carlo Ancelotti , Frank Rijkaard , Josep Guardiola et Zinédine Zidane). En 1997, il a fondé la Johan Cruyff Fondation au profit des enfants handicapés qui a entre autres construit 190 terrains de football dans les quartiers défavorisés de 22 pays. Il est décédé des suites d'un cancer des poumons à l'âge de 68 ans. En 2017, le stade de l'Ajax Amsterdam a été rebaptisé à son nom.
Alfredo Di Stefano (4-7-1926/7-7-2014) ESP. Un footballeur légendaire, il était un précurseur du football moderne (le premier à rompre avec la spécialité par poste). Originaire d'Argentine, il possède un palmarès fabuleux : vainqueur de 5 Coupes d'Europe des clubs champions (1956, 1957, 1958, 1959 et 1960 ; 2 fois finaliste, en 1962 et 1964 ; 50 buts marqués), une Coupe Intercontinentale en 1960, 8 titres de champion d'Espagne avec le Real Madrid entre 1954 et 1964 et une Coupe d'Espagne en 1962 (314 buts inscrits en 430 matches de Liga, dont 216 buts en 282 matches avec le Real Madrid ; 5 fois meilleur buteur : en 1954, 1956, 1957, 1958 et 1959). Ballon d'Or européen en 1957 et 1959 (2eme en 1956). 41 sélections (6 argentines, 4 colombiennes, 31 espagnoles) comme attaquant, 29 buts marqués (6 pour l'Argentine, 23 pour l'Espagne). Champion d'Argentine en 1945 et 1947 avec River Plate (meilleur buteur du championnat en 1947 avec 27 buts en 30 matches) et champion de Colombie en 1949, 1951 et 1952 avec Millionaros (meilleur buteur en 1951 avec 31 buts et en 1952 avec 19 buts). Vainqueur de la Copa America en 1947 avec l'Argentine. Au total, il a disputé 1 126 matches et a marqué 893 buts dont un record de 308 buts avec Real Madrid ce qui a longtemps fait de lui le meilleur buteur de l'histoire du club (record égalé puis battu en 2009 par Raul). En tant qu'entraîneur, il a été champion d'Espagne en 1971 et vainqueur de la Coupe des Coupes en 1980 avec le FC Valence, double champion d'Argentine (1969 avec Boca Junior puis en 1981 avec River Plate). Surnommé "la flèche blonde" ("Saeta Rubia", c'est le nom de l'avion officiel des Merengue présenté en octobre 2007 en hommage à son président d'honneur). Il s'est éteint à 88 ans victime d'un arrêt cardiaque.
Eusebio (5-1-1943/5-1-2014) POR. Une légende portugaise, redoutable attaquant, véloce, très technique, il a régné sur le football européen des années 1960. Surnommé "la perle noire" ou "la panthère noire", son vrai nom est Eusebio Ferreira Da Silva. Originaire du Mozambique, il fut le premier grand joueur africain et une des icônes du football, qui a écrit quelques-unes des plus belles pages du football mondial. Vainqueur de la Coupe d'Europe des champions en 1962, de 10 titres de champion (1961, 1963, 1964, 1965, 1967, 1968, 1971, 1972, 1973 et 1975) et de 5 Coupes du Portugal (1962, 1964, 1969, 1970 et 1972) avec Benfica entre 1963 et 1975 (313 buts marqués en 291 matches en Championnat du Portugal ; 7 fois meilleur buteur : 1964, 1965, 1966, 1967, 1968, 1970 et 1973). 3eme de la Coupe du monde en 1966 (en éliminant le Brésil de Pelé en phase de poule) où il fut sacré meilleur buteur (9 buts en 6 matches dont 4 marqués contre la Corée du Nord en quart de finale). Ballon d'Or européen en 1965 (le premier joueur noir à obtenir cette distinction ; 2eme en 1962 et 1966) et Soulier d'Or en 1968 et 1973. 76 matches disputés en Coupe d'Europe (57 buts) dont 65 en Coupe des champions (47 buts). Il a été aussi champion du Mexique en 1976 avec Monterrey. Il a terminé sa riche carrière au New Jersey Americans. 64 sélections comme avant-centre (41 buts). Au total, il a disputé 645 matches en marquant 632 buts (soit 0,98 but par match) sur l'ensemble de sa carrière..
Raymond Kopa (13-10-1931/3-3-2017) FRA. Surnommé "Napoleon" ou "Kopita", c'est un joueur de légende. Vainqueur de trois Coupes d'Europe avec le Real Madrid et ballon d'or en 1958. Du haut de son 1,68 m, il a ouvert la lignée des grands numéros 10 français, à laquelle appartiennent également Michel Platini ou Zinédine Zidane. Premier Ballon d'or français, il a été un monument et la première star du football français. Quatre fois champion de France (1953, 1955, 1960 et 1962), vainqueur de la Coupe Latine en 1953 et finaliste de la Coupe d'Europe des Clubs Champions en 1956 avec Reims. Il a disputé 321 matches en Division 1 française en marquant 73 buts. Vainqueur de trois Coupes d'Europe des Clubs Champions (1957, 1958 et 1959 ; ancien record français, dépassé en 2018 par Karim Benzema et Raphaëm Varane), de la Coupe Latine en 1957 et de deux championnats d'Espagne (1957 et 1958) avec le Real Madrid. 3eme de la Coupe du monde en 1958 (élu meilleur joueur de la compétition ; une autre participation en 1954 ; au total 4 buts marqués en 8 matches). Ballon d'Or européen en 1958 (premier joueur français à recevoir cet honneur ; 2eme en 1959, 3eme en 1956 et 1957, il est avec Lionel Messi et Cristiano Ronaldo , le seul joueur à avoir figuré quatre saisons de suite parmi les trois premiers du classement de cette récompense). 45 sélections (18 buts) comme attaquant de 1952 à 1962 dont 6 capitanats. En 1970, il fut le premier footballeur à recevoir la Legion d'Honneur. Son véritable nom est Kopaszewski. .
Leonidas da Silva (6-9-1913/24-1-2004) BRA. Figure légendaire. Il était le plus grand joueur brésilien avant Pelé, un très grand dribbleur. 3eme et meilleur buteur de la Coupe du monde en 1938 (8 buts). Champion de Rio en 1934 (Vasco da Gama), 1935 (Botafogo) et 1939 (Flamengo), champion de Sao Paulo en 1943, 1945, 1946, 1948 et 1949 (FC Sao Paulo). 21 buts en 19 sélections entre 1932 et 1946. On lui doit le fameux geste de la "bicyclette", une volée faite dos au but à hauteur de la tête. Surnommé ''le diamant noir''.
Paolo Maldini (26-6-68) ITA. Un géant et une référence du football mondial et italien (1 028 matches officiels, record italien), il a été l'un des meilleurs défenseurs du monde. Vainqueur de la Coupe d'Europe des champions en 1989, 1990, 1994, 2003 et 2007 (finaliste en 1993, 1995 et 1995 ; co-recordman avec Francisco Gento du nombre de finales disputées), de la Supercoupe d'Europe en 1989, 1990, 1994 et 2003, de la Coupe Intercontinentale en 1989 et 1990, de sept championnats d'Italie (1988, 1992, 1993, 1994, 1996, 1999 et 2004), d'une Coupe d'Italie (2003), de la Coupe du monde des clubs en 2007 (anciennement Coupe Intercontinentale) et de trois Supercoupes d'Italie (1992, 1993 et 2004) avec son club de toujours, le Milan AC. Un monstre de longévité, il a disputé 902 matches avec Milan dont un record de 647 matches (29 buts) en série A ! Il a joué son tout dernier match le 24 mai 2009 devant 70 000 tifiosi contre l'AS Roma. Finaliste de la Coupe du monde en 1994 (3eme en 1990) et de l'Euro 2000. Il a participé à 4 phases finales en Coupe du monde (1990, 1994, 1998 et 2002 ; 23 matches disputés un record de 2 217 minutes de jeu !) et à trois phases finales du championnat d'Europe (1988, 1996 et 2000). Ballon de bronze européen en 1994 et 2003 et 2eme joueur de l'année FIFA en 1995. Recordman de sélections avec la Squadra (126 entre 1988 et 2007 ; 7 buts). Ancien recordman des matches joués en Coupe d'Europe (161 dont 139 en C1 ; 3 buts).
Diego Maradona (30-12-1960/25-11-2020) ARG. L’un des plus grands joueurs de l’histoire et une légende vivante en Argentine, il fut après l'ère Platini le meilleur joueur du monde. Champion du monde en 1986 (finaliste en 1990 ; deux autres participations, en 1982 et 1994 ; 21 matches disputés, 8 buts marqués). Champion d'Argentine en 1981 avec Boca Juniors en marquant 17 buts (au total il a disputé 71 matches en marquant 35 fois sous les couleurs de Boca Juniors) ! Vainqueur de la Coupe d'Espagne en 1983 avec le FC Barcelone. Champion d'Italie en 1987 et 1990, vainqueur de la Coupe d'Italie en 1987, de la Supercoupe d'Italie en 1990 et de la Coupe de l'UEFA en 1989 avec Naples (meilleur buteur du championnat d'Italie en 1988). 91 sélections et 34 buts marqués entre février 1977 et juin 1994. Elu meilleur joueur sud-américain en 1979 et 1980. En août 1997, il marqua son 150eme but en championnat d'Argentine, sous les couleurs de Boca Juniors. Champion du monde juniors en 1979. Accusé de dopage, il fut exclu pendant la Coupe du monde en 1994. Entre 2008 et 2010, il a été le sélectionneur de l'équipe nationale d'Argentine, l'Albiceleste, quart de finaliste de la Coupe du monde en 2010.
Pelé (23-10-1940/29-12-2022) BRA. De son vrai nom Edson Arantes do Nascimento, il est une légende vivante. Vingt ans de carrière pour ce joueur mythique (surnommé "la perle noire" ou "O Rei", le Roi), élu joueur du siècle par la FIFA en 2000 et sportif du 20ème Siècle par le CIO, qui est considéré comme étant le meilleur joueur de tous les temps. Il est le seul joueur, trois fois vainqueur de la Coupe du Monde (1958, 1962 et 1970). Plus jeune vainqueur et buteur de la Coupe du monde, en 1958 à 17 ans (au total 12 buts) ! Deux fois vainqueur de la Coupe Intercontinentale (1962 et 1963) et de la Copa Libertadores (en 1961 et 1962 ; meilleur buteur en 1965), dix fois champion de Sao Paulo (en 1958, 1960, 1961, 1962, 1964, 1965, 1967, 1968, 1969, 1973 ; 11 fois meilleur buteur du championnat : en 1957, 1958, 1959, 1960, 1961, 1962, 1963, 1964, 1965, 1969, 1973), 5 fois de suite vainqueur de la Coupe de Brésil (de 1961 à 1965 ; meilleur buteur en 1961, 1963 et 1964), le tout avec Santos. Champion des Etats-Unis en 1977 avec le Cosmos New York. En compétition officielle, il marqua 6 fois 5 buts et 30 fois 4 buts dans un même match. Parmi ses buts légendaires : le 100e de la Seleçao en Coupe du monde lors de la finale contre l’Italie en 1970 ; son 1 000e but en carrière marqué le 19 novembre 1969 dans le stade de Maracana (Pelé day !). Il a joué 1 455 matches toutes compétitions confondues et marqué 1 281 buts (dont 127 en 1959). 92 sélections comme attaquant entre juillet 1957 et octobre 1970 (77 buts, record brésilien). Elu meilleur joueur sud-américain en 1973.
Michel Platini (21-6-55) FRA. Surnommé le "Roi Michel" ou "Platoche". Il fait partie des plus célèbres n° 10 mondiaux, l'homme aux pieds d'or et au palmarès impressionnant. Vainqueur de la Coupe de France en 1978 avec Nancy (127 buts en 213 matches de 1972 à 1979). Champion de France en 1981 avec St-Etienne (82 buts en 145 matches de 1979 à 1982). Champion d'Italie en 1984 et 1986 (meilleur buteur en 1983 avec 16 buts, 1984 avec 20 buts et 1985 avec 18 buts), vainqueur de la Coupe d'Italie en 1983, de la Coupe d'Europe des champions en 1985 (finaliste en 1983), de la Coupe des Coupes et de la Super Coupe d'Europe en 1984, de la Coupe Intercontinentale en 1985 avec la Juventus Turin (103 buts marqués en 224 matches entre 1982 à 1987). Champion d'Europe en 1984 (meilleur buteur avec 9 buts), vainqueur de la Coupe Intercontinentale en 1985, 3eme de la Coupe du monde en 1986 (4eme en 1982 ; une autre participation en 1978 ; 5 buts marqués en 14 matches entre 1978 et 1986). 72 sélections de 1976 à 1987 (50 comme capitaine) comme milieu et 41 buts marqués (record français de 1987 à 2007, battu par Thierry Henry ). Ballon d'Or européen en 1983, 1984 et 1985. Sélectionneur national de novembre 1989 à juillet 1992 (16 victoires, 5 défaites et 5 nuls en 29 matches). Co-président avec Fernand Sastre de la Coupe du monde 1998 organisée en France. Fin janvier 2007, il succède au Suédois Lennart Johansson à la présidence de l'UEFA. Début mai 2016, le Tribunal arbitral du sport (TAS) a mis un coup d'arrêt brutal à sa carrière du patron de l'UEFA dont la suspension de toute activité liée au football a été maintenue et seulement réduite de six à quatre ans. La raison : un paiement de 1,8 million d'euros reçu en 2011 de la Fifa pour rémunérer un travail de conseiller de Joseph Blatter, alors président de l'instance, achevé en 2002 sans contrat écrit.
Ferenc Puskas (2-4-1927/17-11-2016) HUN. L'un des plus grands joueurs de l'histoire. Un géant baptisé le "Major galopant "'. Champion olympique en 1952 et finaliste de la Coupe du monde en 1954 avec la Hongrie (invaincus pendant 32 matches internationaux). Quatre fois champion de Hongrie (1950, 1952, 1954 et 1955) avec Honved Budapest (349 matches disputés et 358 buts marqués). Meilleur buteur du Championnat de Hongrie en 1948 (50 buts), 1950 (31 buts) et 1953 (27 buts). Vainqueur de la Coupe d'Europe des champions en 1959, 1960 (en marquant 4 des 7 buts contre Francfort) et 1966 (finaliste en 1962 et 1964), de la Coupe Intercontinentale en 1960, du championnat d'Espagne de 1961 à 1965 et de la Coupe d'Espagne en 1962 avec le Real Madrid (236 buts inscrits en 372 matches avec le Real Madrid entre 1958 et 1967 ; 4 fois meilleur buteur du championnat, en 1960, 1961, 1963 et 1964). Il a notamment inscrit 49 buts pendant la saison 1959/1960 avec le Real Madrid, un record dans une saison en Liga jusqu'en 2011 (battu par Lionel Messi ). 85 sélections pour la Hongrie entre 1946 et 1956 avec un record de 84 buts marqués ce qui constituait jusqu'au juin 2018 un record européen en sélection (plus 4 pour l'Espagne après avoir quitté la Hongrie à la suite de l'insurrection soviétique d'octobre 1956). Après 62 ans, ce record est tombé lors du match en Coupe du monde entre le Portugal et le Maroc le 20 juin 2018 avec le but marqué par Cristiano Ronaldo . En 1953, il fut l'un des principaux acteurs dans la première défaite des Anglais sur leur terrain à Wembley (3-6). Entre 1967 et 1993, il a entraîné des nombreux clubs aux 4 coins du monde (entre autres San Francisco, Vancouver, Melbourne, Al Masry). A la tête du club grec de Panathinaikos, il remporta deux titres de champion national (1971 et 1972). Au début des années 2000, Le Nepstadion (stade du Peuple) qui est celui notamment de la sélection hongroise est renommé Puskas Ferenc Stadion. Après sa mort le 17 novembre 2006, il a eu droit à des obsèques nationales. La FIFA l’a honoré en 2009, en donnant son nom au prix récompensant le plus beau but de l’année. Ronaldo (22-9-76) BRA. De son vrai nom Luis Nazario da Lima surnommé "O Fenomeno", il a été très jeune un footballeur d'exception. Vainqueur de la Coupe Monde en 1994 (aucun match joué) et 2002 (meilleur buteur), finaliste en 1998. Avec 15 buts marqués, il a détenu de 2006 à 2014 le record des buts inscrits en Coupe du monde : 4 en 1998, 8 en 2002 et 3 en 2006 (ce record a été battu le 8 juillet 2014 par l'Allemand Miroslav Klose , auteur de 16 buts). Vainqueur de la Copa America en 1997 et 1999 (meilleur buteur en 1997 et 1999) et de la Coupe des Confédérations en 1997. 3eme des Jeux Olympiques de 1996. 99 sélections (62 buts) entre 1994 et 2006 (il disputa son premier match contre l'Argentine en mars 1994, à l'âge de 17 ans et 6 mois). Vainqueur de la Coupe des Pays-Bas en 1996 avec le PSV Eindhoven (meilleur buteur du championnat en 1995 ; 45 matches et 42 buts marqués en D 1 néerlandaise dont 30 buts en 33 matches lors de sa première saison en 1994-1995). Vainqueur de la Coupe des Coupes (en marquent le but de la victoire contre le PSG), de la Supercoupe d'Europe et de la Coupe d'Espagne en 1997 avec Barcelone (meilleur buteur du championnat d'Espagne en 1997). Vainqueur de la Coupe de l'UEFA en 1998 et de la Supercoupe d'Europe en 2002 avec l'Inter Milan (au total 88 matches et 58 buts en championnat d'Italie). Vainqueur de la Coupe Intercontinentale en 2002 et champion d'Espagne en 2003 avec le Real Madrid (164 matches et 117 buts en Liga dont 34 lors de la saison 1996-1997). Il a disputé 72 matches de Coupe d'Europe en marquant 36 buts dont 42 matches et 16 buts en C1. Ses deux transferts, 27 millions d'euros pour rejoindre l'Inter Milan en 1997, puis 45 millions d'euros en 2002 pour jouer au Real Madrid ont été des records à l'époque. Ballon d'or européen en 1997 et 2002 (2eme en 1996, 3eme en 1998) et élu joueur de l'année FIFA en 1996, 1997 et 2002. Elu sportif de l'année en 2002 par la BBC et par Reuters. En 526 matches officiels, il a marqué 356 buts soit 0,68 but par match ! Il a souvent été handicapé par des blessures dont la dernière survenue en février 2008 (rupture du tendon d'un genou). Fin 2008, il a rejoint le club brésilien de Flamengo pour terminer sa carrière sportive. Il a marqué son premier but depuis son retour au football le 8 mars 2009 en marquant le but de l'égalisation des Corinthians lors de leur match nul 1-1 contre leur rival Palmeiras dans le championnat de l'état de Sao Paulo. Ronaldo, entré en cours de jeu, a marqué de la tête sur un corner dans le temps additionnel. Auteur de 8 buts en douze matches, il a remporté le championnat Paulista contre Santos après avoir signé un doublé lors de la finale aller. Le 14 février 2011, il a annoncé la fin de sa carrière à 34 ans.
Paolo Rossi (23-9-56) ITA. L'un des héros du football italien. Vainqueur de la Coupe du Monde en 1982 (élu meilleur joueur et meilleur buteur avec 6 buts ; 14 matches en trois participations, 1978, 1982 et 1986). Ballon d'or Européen en 1982 devant Giresse et Boniek. Avec la Juventus de Turin, il remporta la Coupe des Coupes et la Super Coupe d'Europe en 1984, la Coupe d’Europe des champions et la Coupe Intercontinentale en 1985, 2 championnats (1982 et 1984) et une Coupe d'Italie (1983). Meilleur buteur du Calcio en 1978 (24 buts). 103 buts marqués en 251 matches dans le Calcio entre 1976 et 1987 dont 83 matches et 24 buts avec la Juventus entre 1982 et 1985. Il a joué également à Côme, Vicenze, Pérouse, au Milan AC et Vérone. 20 buts en 48 sélections entre 1977 et 1986 comme attaquant.
Lev Yachine ( (22-10-1929/21-3-1990) ) URSS. Une figure légendaire, il est considéré comme le plus grand gardien de l'histoire du football. Champion olympique en 1956, champion d'Europe en 1960 (finaliste en 1964) et 4eme de la Coupe du monde en 1966 (il disputa encore le quart de finale en 1970 à 40 ans et 7 mois ; en 4 participations il a disputé 13 matches et a encaissé 18 buts). 79 sélections de 1954 à 1967. Il a fait toute sa carrière au sein du Dynamo Moscou avec lequel il remporta cinq championnats (1954, 1955, 1957, 1959 et 1963) et trois Coupes d'URSS (1953, 1967, 1970). Il a disputé 812 matches officiels entre 1949 et 1971 (326 dans le championnat d'URSS) dont 270 sans encaisser de but. En 1953, il a remporté la Coupe de l'URSS en hockey sur glace toujours au sein du Dynamo Moscou. Une statue le représentant est d'ailleurs érigée devant le stade du Dynamo Moscou. Surnommé "le gardien de fer" ou "l’araignée noire", à cause de sa tenue noire. Ballon d'or européen en 1963 (seul gardien récompensé à ce jour) et élu meilleur gardien européen de l'année en 1956, 1957, 1959, 1960, 1961, 1963, 1964, 1965 et 1966. Il a arrêté 150 penalties sans sa carrière. Amputé d'une jambe en 1986, il meurt en 1990 d' un cancer de l'estomac. Depuis 1994, le trophée récompensant le meilleur gardien de la Coupe du monde porte son nom.
Zinédine Zidane (23-6-71) FRA. Une carrière magnifique pour un joueur exceptionnel. Vainqueur de la Coupe du Monde en 1998 (2 buts en finale), vice champion du monde en 2006 (meilleur joueur de la compétition ; une autre participation en 2002 ; il est aussi le joueur ayant reçu le plus grand nombre de cartons en Coupe du Monde : 4 jaunes et 2 rouges en 12 matches !) et champion d'Europe en 2000 (2 autres participations, en 1996 et 2004 ; au total 26 matches disputés). 108 sélections (25 fois capitaine) de 1994 à 2006 comme milieu (31 buts). Finaliste de la Coupe UEFA C3 en 1996 avec Bordeaux (39 buts marqués en 176 matches avec les Girondins de 1992 à 1996) Vainqueur de la Coupe Intercontinentale en 1996 et de la Supercoupe d'Italie en 1997, champion d'Italie et finaliste de la Coupe d'Europe des champions en 1997 et 1998 avec la Juventus Turin (24 buts marqués en 151 matches en Serie A). En 2001, il signa un contrat de 4 ans pour rejoindre le Real Madrid (transfert à 76 millions d'euros, le record pour un joueur de football de 2001 à 2009) et remporta la Ligue des Champions, la Supercoupe d'Europe et la Coupe Intercontinentale en 2002, le championnat d'Espagne en 2003 (155 matches et 37 buts en Liga). 108 matches (82 en C1) et 18 buts en Coupes d'Europe (13 buts en en 79 matches en Ligue des Champions dont 35 avec la Juve et 44 avec le Real Madrid). Ballon d'or européen en 1998 (4eme français à recevoir cet honneur après Kopa en 1958, Platini en 1983, 84 et 85 et Papin en 1991 ; ballon d'argent en 2000) et élu meilleur joueur du monde par la FIFA en 1998, 2000 et 2003. Il a terminé sa grande carrière en finale de la Coupe du Monde 2006 contre l'Italie en portant pendant les dernières minutes de la rencontre un coup de tête au défenseur italien Marco Materazzi . Recevant un carton rouge, il n'a pas pu participer à la séance des tirs aux buts désignant le futur champion du monde. Au total, il a marqué en carrière 156 buts en 794 matches. Le 4 janvier 2016, il est nommé entraineur du Real Madrid à la place de Rafael Benitez (limogé), devenant ainsi le premier entraineur français du club madrilène. Cinq mois plus tard, il remporte la Ligue des champions à la tête des Merengue, devenant le deuxième Français à gagner la C1 comme entraîneur après Helenio Herrera (1964 et 1965), et le septième homme à remporter cette compétition comme entraineur après l'avoir déjà enlevée en tant que joueur, rejoignant dans l'histoire Miguel Munoz, Giovanni Trapattoni , Johan Cruyff , Carlo Ancelotti , Frank Rijkaard et Josep Guardiola . Egalement vainqueur de la Supercoupe d'Europe et de la coupe du monde des clubs en 2016, il remporte de nouveau la Ligue des champions, la Supercoupe d'Europe, la coupe du monde des clubs, le championnat d'Espagne (premier entraineur à réussir le doublé C1-championnat du Real depuis 1958) et la Supercoupe d'Espagne en 2017. Elu entraineur de l'année par la FIFA en 2017. En mai 2018, il remporte sa troisième Ligue des champions en 2018, devenant ainsi le premier entraineur à la remporter 3 fois consécutivement. Le 31 mai 2018, soit seulement 5 jours après sa troisième victoire en Ligue des Champions, il annonce qu'il quitte son poste d'entraineur du Réal Madrid. En 879 à la tête des "Merengue", il aura remporté 9 titres (8 finales sur 8 gagnées), porté à 40 matches la plus longue série d'invincibilité toutes compétitions confondues pour un entraîneur du Real (entre avril 2016 et janvier 2017), égalé le record de victoires consécutives en Liga de (16 co-détentu maintenant avec Josep Barcelone à la tête du FC Barcelone en 2010/2011), et remporté 104 des 149 matches qu'il a dirigés (70% de victoires ; 29 nuls et 16 défaites)..
Dino Zoff (28-2-42) ITA. Un grand monsieur de la Squadra Azzurra. Vainqueur de la Coupe du monde en 1982 à 40 ans, il est le doyen des vainqueurs (élu meilleur gardien de la compétition) et finaliste en 1970 (sans avoir joué ; 4eme en 1978 ; une autre participation en 1974 ; au total 17 matches disputés ; capitaine en 1978 et 1982). Champion d'Europe en 1968, il est le seul Italien à avoir réussi le doublé Euro/Coupe du monde ! Il remporta avec la Juventus Turin, la Coupe de l'UEFA en 1977 (finaliste en 1971), 2 Coupes (1979 et 1983) et 6 championnats d'Italie (1973,1975, 1977, 1978, 1981 et 1982). Finaliste de la Coupe d'Europe des champions en 1973 et 1983. Il a disputé 642 matches dans le Calcio dont 330 avec la Juventus de 1972 et 1983 (au total, 842 matches officiels en club). 112 sélections dont 59 capitanats de 1968 à 1982 (invaincu avec la sélection pendant 1 143 minutes, soit pendant près de 13 matches). Elu gardien européen de l'année en 1973, 1980, 1981 et 1982. Après sa carrière sportive, il est devenu un bon entraîneur, finaliste de l'Euro avec l'équipe italienne en 2000 (sélectionneur de 1998 à 2000), vainqueur de la Coupe de l'UEFA en 1990 avec la Juventus (entraîneur de 1988 à 1990). Il a aussi entraîné la Lazio Rome de 1990 à 1994 et la Fiorentina en 2005.
Statistiques sélectionneurs
Ils ont été sélectionneur lors de plusieurs Coupes du Monde :
6 fois - Carlos Alberto Parreira (Brésil) : 1982 (Koweït), 1990 (Emirats Arabes Unis), Brésil (1994 et 2006), 1998 (Arabie Saoudite), 2010 (Afrique du Sud)
5 fois - Bora Milutinovic (Yougoslavie) : 1986 (Mexique), 1990 (Costa Rica), 1994 (Etats-Unis), 1998 (Nigeria) et 2002 (Chine)
4 fois - Sepp Herberger (Allemagne) : 1938, 1954, 1958 et 1962 (Allemagne puis RFA), Walter Winterbottom (Angleterre) : 1950, 1954, 1958 et 1962 (Angleterre), Helmut Schön (RFA) : 1966, 1970, 1974 et 1978 (RFA), Lajos Baroti (Hongrie) : 1958, 1962, 1966 et 1978 (Hongrie) et Henri Michel
(France) : 1986 (France), 1994 (Cameroun), 1998 (Maroc) et 2006 (Côte d’Ivoire).
Ils ont coaché le plus grand nombre de matches :
25 - Helmut Schön (RFA)
23 - Carlos Alberto Parreira (Brésil)
21 - Luiz Felipe Scolari
(Brésil)
20 - Bora Milutinovic (Yougoslavie), Mario Zagallo
(Brésil)
18 - Enzo Bearzot (Italie), Sepp Herberger (Allemagne et RFA) et Guus Hiddink
(Pays-Bas)
17 - Joachim Löw (Allemagne)
16 - Guy Thys (Belgique) et Oscar Tabarez (Uruguay)
15 - Lajos Baroti (Hongrie).
Plus de matches victorieux :
16 pour Helmut Schön RFA de 1966 à 1978
14 pour Luiz Felipe Scolari
Brésil de 2002 à 2014
Plus de matches victorieux d’affilée :
11 pour Luiz Felipe Scolari
BRA avec le Brésil en 2002 (7) et le Portugal en 2006 (4)
Ils ont été sélectionneurs pour plusieurs pays différents :
5 - Bora Milutinovic (Mexique 1986, Costa Rica 1990, USA 1994, Nigeria 1998 et Chine 2002) et Carlos Alberto Parreira (Koweït 1982, Emirats Arabes Unis 1990, Brésil 1994 et 2006, Arabie Saoudite 1998 et Afrique du Sud 2010)
4 - Henri Michel
(France 1986, Cameroun 1994, Maroc 1998 et Côte d'Ivoire 2006).
Ils ont été sélectionneur lors de plusieurs finales :
2 - Helmut Schön (RFA) en 1966 et 1974, Vittorio Pozzo
(Italie) en 1934 et 1938, Franz Beckenbauer (RFA) en 1986 et 1990, Carlos Bilardo (Argentine) en 1986 et 1990, Mario Zagallo
(Brésil) en 1970 et 1998.
Il a remporté plusieurs finales :
2 - Vittorio Pozzo
(Italie) en 1934 et 1938.
Plus jeune sélectionneur : l’Argentin Juan Jose Tramuola en 1930 à 27 ans et 267 jours en match d’ouverture contre la France en 1930.
Plus vieux sélectionneur : Le Français Gaston Barreau en 1954 à 70 ans et 194 jours lors de la rencontre France-Mexique en 1954.
- Trois hommes ont remporté la Coupe du Monde comme joueur puis comme entraîneur : le Brésilien Mario Zagallo
: 1958 et 1962 (joueur) - 1970 (entraîneur), l’Allemand de l’Ouest Franz Beckenbauer : 1974 (joueur) et 1990 (entraîneur) et le français Didier Deschamps
: 1998 (joueur) et 2018 (entraîneur). Zagallo a également remporté le titre en 1994 en tant que directeur sportif.
- 78 hommes ont disputé la Coupe du Monde comme joueur puis comme entraîneur dont parmi les plus connus, les allemands Franz Beckenbauer, Jürgen Klinsmann, Rudi Voller et Berti Vogts
, les anglais Jackie Charlton, Glenn Hoddle
et Alf Ramsey, les brésiliens Valdir Pereira "Didi", Carlos Dunga
et Mario Zagallo
, l'autrichien Ernst Happel
, le polonais Henryk Kasperczack, les italiens Fabio Capello
, Cesare Maldini
et Giovanni Trapattoni
, les argentins Diego Maradona
, Daniel Passarella
et Guillermo Stabile
, l'uruguayen Jose Emilio Santamaria
, les espagnols Luis Suarez
et Fernando Hierro
, le belge Paul Van Himst
, les bosniaques Vahid Halilhodzic
et Safet Susic
et les français Didier Deschamps
, Henri Michel
et Jean Vincent
.
Statistiques arbitres
Plus jeune arbitre : Francisco Mateunccia d’Uruguay à 27 ans et 62 jours lors du match Yougoslavie/Bolivie en 1930.
Plus vieux arbitre : l’Anglais George Reader à 53 ans et 236 jours lors de la finale Brésil/Uruguay en 1950.
Ils ont arbitré la finale
1930 : J. Langenus (Belgique) - 1934 : I. Eklind (Suède) - 1938 : G. Capdeville (France) - 1950 : G. Reader (Angleterre)* - 1954 : N. Ling (Angleterre) - 1958 : M. Guigue (France) - 1962 : N. Latychev (URSS) - 1966 : G. Dienst (Suisse) - 1970 : R. Glöckner (RDA) - 1974 : V. Taylor (Angleterre) - 1978 : S. Gonella (Italie) - 1982 : A. Coelho (Brésil) - 1986 : R. Arppi Filho (Brésil) - 1990 : E. Codesal (Mexique) - 1994 : S. Puhl (Hongrie) - 1998 : S. Belqola (Maroc) – 2002 : P. Collina (Italie) - 2006 : M. Elizondo (Argentine) - 2010 : M. Webb (Angleterre) - 2014 : M. Rizzoli (Italie) - 2018 : M. Pitana (Argentine) - 2022 : Szymon Marciniak (Pologne).
*en 1950, il n’y a pas eu de réelle finale (c’était une poule finale à 4 équipes).
Ils ont arbitré le plus grand nombre de matches :
11 - Ravshan Irmatov (Ouzbékistan ) entre 2010, 2014 et 2018
10 - Nestor Pitana (Argentine) en 2014 et 2018.
8 - Joël Quiniou (France) entre 1986 et 1994
7 - Jan Langenus (Belgique) entre 1930 et 1938, Benjamin Griffiths (Pays de Galles) entre 1950 et 1958, Juan Gardeazabal (Espagne) entre 1958 et 1966, Ali Bujsaim (Emirats Arabes Unis) entre 1994 et 2002, Björn Kuipers (Pays-Bas) en 2014 et 2018.
Ils ont arbitré le plus grand nombre de matches lors d’une édition :
5 - Nestor Pitana (Argentine) en 2018.
L’arbitre mexicain Arturo Brizio Carter a distribué le plus de cartons rouges : 7 en 6 matches en 1994 et 1998 ; le Russe Ivanov a distribué 4 cartons rouge lors du match entre le Portugal en les Pays-Bas en 2006.
Un arbitre international doit posséder une condition physique impeccable. Pour cela il subit régulièrement des examens médicaux. Il doit également passer des tests de condition physique. Il doit être capable :
- d’effectuer un sprint de 2 x 50 m dans un temps max. de 7,5 secondes chacun (moyenne de 6,95 à 7,11 secondes).
- d’effectuer un sprint de 2 x 200 m dans un temps maximum de 32 secondes chacun (moyenne de 29,06 à 29,15 secondes).
- de parcourir en 12 minutes au moins 2 700 mètres (moyenne 3 049 mètres).
- de courir environ 13,3 km (8 miles) contre 6,650 km pour un juge de touche.
* 45 ans… c’est l’âge de la retraite pour un arbitre international !
Elue en juin 1998, lors de la Coupe du monde, par 250 journalistes de football reconnus du monde entier, voici :
L’équipe européenne du 20e siècle
Lev Yachine
(gardien) URSS - Paolo Maldini
(défense) ITA - Bobby Moore
(défense) ENG - Franco Baresi
(défense) ITA - Franz Beckenbauer (défense) FRG - Johan Cruyff
(milieu) NED - Michel Platini
(milieu) FRA - Eusebio (milieu) POR - Ferenc Puskas
(attaquant) HUN - Marco Van Basten
(attaquant) NED - Bobby Charlton
(attaquant) ENG.
L’équipe sud-américaine du 20e siècle
Ubaldo Fillol
(gardien) ARG - Elias Figueroa
(défense) CHL - Carlos Alberto (défense) BRA - Nilton Santos (défense) BRA - Daniel Passarella
(défense) ARG - Didi (milieu) BRA - Aldrefo Di Stefano (milieu) ARG - Roberto Rivelino
(milieu) BRA - Pelé (attaquant) BRA - Garrincha (attaquant) BRA - Diego Maradona
(attaquant) ARG.
Bilan de la Coupe du monde (après 2022)
Nbre | J | G | N | P | Bp | Bc | Diff. | 1ere particip. | Meill. clt. | |
Brésil | 22 | 114 | 76 | 19 | 19 | 237 | 108 | +129 | 1930 | 1 |
Allemagne (+ ex RFA) | 20 | 112 | 68 | 21 | 23 | 232 | 130 | +102 | 1934 | 1 |
Italie | 18 | 83 | 45 | 21 | 17 | 128 | 77 | +51 | 1934 | 1 |
Argentine | 18 | 88 | 47 | 17 | 24 | 152 | 101 | +51 | 1930 | 1 |
Mexique | 17 | 60 | 17 | 15 | 28 | 62 | 101 | -39 | 1930 | 6 |
Angleterre | 16 | 74 | 32 | 22 | 20 | 104 | 68 | +36 | 1950 | 1 |
France | 16 | 73 | 39 | 14 | 20 | 136 | 85 | +51 | 1930 | 1 |
Espagne | 16 | 67 | 31 | 17 | 19 | 108 | 75 | +33 | 1934 | 1 |
Uruguay | 14 | 59 | 25 | 13 | 21 | 89 | 76 | +13 | 1930 | 1 |
Belgique | 14 | 48 | 20 | 10 | 19 | 67 | 74 | -7 | 1930 | 4 |
Serbie (et ex-Yougoslavie et Serbie-Monténégro) | 13 | 48 | 18 | 9 | 21 | 71 | 69 | +2 | 1930 | 4 |
Suède | 12 | 50 | 19 | 13 | 18 | 80 | 71 | +9 | 1934 | 2 |
Suisse | 12 | 41 | 14 | 8 | 19 | 55 | 73 | -18 | 1934 | 6 |
Russie (et ex URSS) | 11 | 44 | 19 | 9 | 16 | 75 | 52 | +23 | 1958 | 4 |
Corée du Sud | 11 | 38 | 7 | 10 | 21 | 39 | 78 | -39 | 1954 | 4 |
Etats-Unis | 11 | 37 | 9 | 8 | 20 | 40 | 66 | -26 | 1930 | 3 |
Pays-Bas | 11 | 55 | 30 | 11 | 11 | 96 | 52 | +44 | 1934 | 2 |
Rép. Tchèque ( et ex-Tcécoslovaquie ) | 9 | 33 | 12 | 5 | 16 | 47 | 49 | -2 | 1934 | 2 |
Chili | 9 | 33 | 11 | 7 | 15 | 40 | 49 | -9 | 1930 | 3 |
Hongrie | 9 | 32 | 15 | 3 | 14 | 87 | 57 | +30 | 1934 | 2 |
Pologne | 9 | 38 | 17 | 6 | 15 | 49 | 50 | -1 | 1938 | 3 |
Paraguay | 8 | 27 | 7 | 10 | 10 | 30 | 38 | -8 | 1930 | 8 |
Ecosse | 8 | 23 | 4 | 7 | 12 | 25 | 41 | -16 | 1954 | 9 |
Autriche | 8 | 29 | 12 | 4 | 13 | 43 | 47 | -4 | 1954 | 3 |
Cameroun | 8 | 26 | 5 | 8 | 13 | 22 | 47 | -25 | 1982 | 7 |
Portugal | 8 | 35 | 17 | 6 | 12 | 61 | 41 | +20 | 1966 | 3 |
Bulgarie | 7 | 26 | 3 | 8 | 15 | 22 | 53 | -31 | 1962 | 4 |
Roumanie | 7 | 21 | 8 | 5 | 8 | 30 | 32 | -2 | 1930 | 6 |
Japon | 7 | 22 | 7 | 5 | 10 | 23 | 27 | -4 | 1998 | 9 |
Colombie | 6 | 22 | 9 | 3 | 10 | 32 | 30 | +2 | 1962 | 5 |
Nigéria | 6 | 21 | 6 | 3 | 12 | 23 | 30 | -7 | 1994 | 9 |
Arabie Saoudite | 6 | 19 | 4 | 2 | 13 | 14 | 44 | -30 | 1994 | 11 |
Australie | 6 | 20 | 4 | 4 | 12 | 17 | 37 | -20 | 1974 | 14 |
Costa Rica | 6 | 21 | 6 | 5 | 10 | 22 | 39 | -17 | 1990 | 8 |
Croatie | 6 | 30 | 13 | 8 | 9 | 43 | 33 | +10 | 1998 | 3 |
Danemark | 6 | 23 | 9 | 6 | 8 | 31 | 29 | +2 | 1986 | 7 |
Iran | 6 | 18 | 3 | 4 | 11 | 13 | 31 | -18 | 1978 | 14 |
Maroc | 6 | 23 | 5 | 7 | 11 | 20 | 27 | -7 | 1970 | 4 |
Tunisie | 6 | 18 | 3 | 5 | 10 | 14 | 26 | -12 | 1978 | 13 |
Pérou | 5 | 18 | 5 | 3 | 10 | 21 | 33 | -12 | 1930 | 7 |
Algérie | 4 | 13 | 3 | 3 | 7 | 13 | 19 | -6 | 1982 | 14 |
Equateur | 4 | 13 | 5 | 2 | 6 | 14 | 14 | 0 | 2002 | 12 |
Ghana | 4 | 15 | 5 | 3 | 7 | 18 | 23 | -5 | 2006 | 7 |
Irlande du Nord | 3 | 13 | 3 | 5 | 5 | 13 | 23 | -10 | 1958 | 8 |
Irlande | 3 | 13 | 2 | 8 | 3 | 10 | 10 | 0 | 1990 | 9 |
Grèce | 3 | 10 | 2 | 2 | 6 | 5 | 20 | -15 | 1994 | 13 |
Côte d'Ivoire | 3 | 9 | 1 | 3 | 5 | 13 | 14 | -1 | 2006 | 17 |
Afrique du Sud | 3 | 9 | 2 | 4 | 3 | 11 | 16 | -5 | 1998 | 17 |
Honduras | 3 | 9 | 0 | 3 | 6 | 3 | 14 | -11 | 1982 | 18 |
Norvège | 3 | 8 | 2 | 3 | 3 | 7 | 8 | -1 | 1938 | 12 |
Egypte | 3 | 7 | 0 | 2 | 5 | 5 | 12 | -7 | 1934 | 13 |
Bolivie | 3 | 6 | 0 | 1 | 5 | 1 | 20 | -19 | 1930 | 12 |
Sénégal | 3 | 12 | 5 | 3 | 4 | 16 | 17 | -1 | 2002 | 7 |
Turquie | 2 | 10 | 5 | 1 | 4 | 20 | 17 | +3 | 1954 | 3 |
Corée du Nord | 2 | 7 | 1 | 1 | 5 | 6 | 21 | -15 | 1966 | 8 |
Slovénie | 2 | 6 | 1 | 1 | 4 | 5 | 10 | -5 | 2002 | 30 |
Nouvelle-Zélande | 2 | 6 | 0 | 3 | 3 | 4 | 14 | -10 | 1982 | 23 |
Salvador | 2 | 6 | 0 | 0 | 6 | 1 | 22 | -21 | 1970 | 16 |
Canada | 2 | 6 | 0 | 0 | 6 | 2 | 12 | -10 | 1986 | 24 |
Pays de Galles | 2 | 8 | 1 | 4 | 3 | 5 | 10 | -5 | 1958 | 6 |
RDA | 1 | 6 | 2 | 2 | 2 | 5 | 5 | 0 | 1974 | 6 |
Ukraine | 1 | 5 | 2 | 1 | 2 | 5 | 7 | -2 | 2006 | 8 |
Slovaquie | 1 | 4 | 1 | 1 | 2 | 5 | 7 | -2 | 2010 | 16 |
Cuba | 1 | 3 | 1 | 1 | 1 | 5 | 12 | -7 | 1938 | 8 |
Bosnie-Herzégovine | 1 | 3 | 1 | 0 | 2 | 4 | 4 | 0 | 2014 | 20 |
Jamaïque | 1 | 3 | 1 | 0 | 2 | 3 | 9 | -6 | 1998 | 22 |
Angola | 1 | 3 | 0 | 2 | 1 | 1 | 2 | -1 | 2006 | 23 |
Israël | 1 | 3 | 0 | 2 | 1 | 1 | 3 | -2 | 1970 | 12 |
Islande | 1 | 3 | 0 | 1 | 2 | 2 | 5 | -3 | 2018 | 28 |
Koweit | 1 | 3 | 0 | 1 | 2 | 2 | 6 | -4 | 1982 | 21 |
Trinidad et Tobago | 1 | 3 | 0 | 1 | 2 | 0 | 4 | -1 | 2006 | 27 |
Irak | 1 | 3 | 0 | 0 | 3 | 1 | 4 | -3 | 1986 | 23 |
Togo | 1 | 3 | 0 | 0 | 3 | 1 | 6 | -5 | 2006 | 30 |
Canada | 1 | 3 | 0 | 0 | 3 | 0 | 5 | -5 | 1986 | 24 |
Panama | 1 | 3 | 0 | 0 | 3 | 2 | 11 | -9 | 2018 | 32 |
Emirats Arabes Unis | 1 | 3 | 0 | 0 | 3 | 2 | 11 | -9 | 1990 | 24 |
Chine | 1 | 3 | 0 | 0 | 3 | 0 | 9 | -9 | 2002 | 31 |
Haïti | 1 | 3 | 0 | 0 | 3 | 2 | 14 | -12 | 1974 | 15 |
Zaïre | 1 | 3 | 0 | 0 | 3 | 0 | 14 | -14 | 1974 | 16 |
Antilles Néerlandaises | 1 | 1 | 0 | 0 | 1 | 0 | 6 | -6 | 1938 | 15 |
Qatar | 1 | 3 | 0 | 0 | 3 | 1 | 7 | -6 | 2022 |
Ballon d’or du Mondial
Ballons d'or |
Ballons d'argent |
Ballons de bronze |
|
1982 |
Paolo Rossi ITA |
Falcao BRA |
|
1986 |
Diego Maradona ARG |
Harald Schümacher FRG |
Preben Elkjaer-Larssen DEN |
1990 |
Salvatore Schillaci ITA |
Lothar Matthäus GER |
Diego Maradona ARG |
1994 |
Romario BRA |
Roberto Baggio ITA |
Hristo Stoichkov BUL |
1998 |
Ronaldo BRA |
Davor Suker CRO |
Lilian Thuram FRA |
2002 |
Oliver Kahn GER |
Ronaldo BRA |
Myung-bo Hong KOR |
2006 |
Zinédine Zidane FRA |
Fabio Cannavaro ITA |
Andrea Pirlo ITA |
2010 | Diego Forlan URU | Wesley Sneijder NED | David Vila ESP |
2014 | Lionel Messi ARG | Thomas Müller GER | Arjen Robben NED |
2018 | Luka Modric CRO | Eden Hazard BEL | Antoine Griezmann FRA |
2022 | Lionel Messi ARG | Kylian Mbappé FRA | Luka Modric CRO |
Les meilleurs buteurs de chaque Coupe du Monde
Lieu |
Année |
Meilleur buteur |
Buts |
Matches |
Moyenne |
Uruguay |
1930 |
Stabile (ARG) |
8 |
4 |
2 |
Italie |
1934 |
Nejedly (TCH) |
4 |
4 |
1 |
Schiavo (ITA) |
4 |
4 |
1 |
||
Conen (ALL) |
4 |
4 |
1 |
||
France |
1938 |
Leonidas (BRE) |
8 |
4 |
2 |
Brésil |
1950 |
Ademir (BRE) |
9 |
6 |
1,50 |
Suisse |
1954 |
Kocsis (HON) |
11 |
5 |
2,20 |
Suède |
1958 |
Fontaine (FRA) |
13 |
6 |
2,17 |
Chili |
1962 |
Jerkovic (YOU) |
5 |
6 |
0,83 |
Angleterre |
1966 |
Eusebio (POR) |
9 |
6 |
1,50 |
Mexique |
1970 |
G. Müller (RFA) |
10 |
6 |
1,67 |
RFA |
1974 |
Lato (POL) |
7 |
7 |
1 |
Argentine |
1978 |
Kempes (ARG) |
6 |
7 |
0,86 |
Espagne |
1982 |
Rossi (ITA) |
6 |
7 |
0,86 |
Mexique |
1986 |
Lineker (ENG) |
6 |
5 |
1,20 |
Italie |
1990 |
Schillaci (ITA) |
6 |
7 |
0,86 |
Etats-Unis |
1994 |
Salenko (RUS) |
6 |
6 |
2 |
Stoichkov (BUL) |
6 |
7 |
0,86 |
||
France |
1998 |
Suker (CRO) |
6 |
7 |
0,86 |
Corée du Sud et Japon |
2002 |
Ronaldo (BRA) |
8 |
7 |
1,14 |
Allemagne |
2006 |
Klose (GER) |
5 |
7 |
0,71 |
Afrique du Sud |
2010 |
T. Müller (GER) |
5 |
6 |
0,83 |
Brésil | 2014 | J. Rodriguez (COL) | 6 | 5 | 1,20 |
Russie | 2018 | H. Kane (ENG) | 6 | 6 | 1,00 |
Qatar | 2022 | K. Mbappé (FRA) | 8 | 7 | 1,14 |
Les meilleures défenses lors de chaque Coupe du Monde
Année |
Equipe |
Buts |
Matches |
Moyenne |
1930 |
Uruguay |
3 |
4 |
0,75 |
1934 |
Italie |
3 |
5 |
0,60 |
1938 |
Tchecoslovaquie |
3 |
3 |
1,00 |
1950 |
Angleterre |
2 |
3 |
0,66 |
1954 |
Yougoslavie |
3 |
3 |
1,00 |
1958 |
Brésil |
4 |
6 |
0,66 |
1962 |
RFA |
2 |
4 |
0,50 |
1966 |
Angleterre |
3 |
6 |
0,50 |
1970 |
Urss |
2 |
4 |
0,50 |
1974 |
Hollande |
3 |
7 |
0,43 |
1978 |
Brésil |
3 |
7 |
0,43 |
1982 |
Angleterre |
1 |
5 |
0,20 |
1986 |
Brésil |
1 |
5 |
0,20 |
1990 |
Italie |
2 |
7 |
0,29 |
1994 |
Norvège |
1 |
3 |
0,33 |
1998 |
France |
2 |
7 |
0,29 |
2002 |
Allemagne et Argentine |
3 |
7 |
0,43 |
2006 |
Suisse |
0 |
4 |
0,00 |
2010 |
Portugal |
1 |
4 |
0,25 |
2010 | Espagne | 2 | 7 | 0,29 |
2014 | Costa Rica | 2 | 5 | 0,40 |
2018 | Danemark | 2 | 4 | 0,50 |
2022 | Maroc | 1 | 7 |
Les meilleures attaques lors de chaque Coupe du Monde
Année |
Equipe |
Buts |
Matches |
Moyenne |
Place finale |
1930 |
Argentine |
18 |
5 |
3,60 |
2 |
1934 |
Italie |
12 |
5 |
2,40 |
1 |
1938 |
Hongrie |
15 |
4 |
3,78 |
2 |
1950 |
Brésil |
22 |
6 |
3,66 |
2 |
1954 |
Hongrie |
27 |
5 |
5,40 |
2 |
1958 |
France |
23 |
6 |
3,83 |
3 |
1962 |
Brésil |
14 |
6 |
2,33 |
1 |
1966 |
Portugal |
17 |
6 |
2,83 |
3 |
1970 |
Brésil |
19 |
7 |
3,16 |
1 |
1974 |
Pologne |
16 |
7 |
2,28 |
3 |
1978 |
Argentine |
15 |
7 |
2,14 |
1 |
1978 |
Pays-Bas |
15 |
7 |
2,14 |
2 |
1982 |
France |
16 |
7 |
2,28 |
4 |
1986 |
Argentine |
14 |
7 |
2,00 |
1 |
1990 |
RFA |
15 |
7 |
2,14 |
1 |
1994 |
Suède |
15 |
7 |
2,14 |
3 |
1998 |
France |
15 |
7 |
2,14 |
1 |
2002 |
Brésil |
18 |
7 |
2,57 |
1 |
2006 |
Allemagne |
13 |
7 |
1,86 |
3 |
2010 |
Allemagne |
16 |
7 |
2,29 |
3 |
2014 | Allemagne | 18 | 7 | 2,57 | 1 |
2018 | Belgique | 16 | 7 | 2,29 | 3 |
2022 | France | 16 | 7 | 2,29 | 2 |
Moyennes de buts marqués à chaque Coupe du Monde
Année |
Matches |
Buts |
Moyenne |
1930 |
18 |
70 |
3,89 |
1934 |
17 |
70 |
4,12 |
1938 |
18 |
84 |
4,67 |
1950 |
22 |
88 |
4,00 |
1954 |
26 |
140 |
5,38 |
1958 |
35 |
126 |
3,60 |
1962 |
32 |
89 |
2,78 |
1966 |
32 |
89 |
2,78 |
1970 |
32 |
95 |
2,97 |
1974 |
38 |
97 |
2,55 |
1978 |
38 |
102 |
2,68 |
1982 |
52 |
146 |
2,81 |
1986 |
52 |
132 |
2,54 |
1990 |
52 |
115 |
2,21 |
1994 |
52 |
141 |
2,71 |
1998 |
64 |
171 |
2,67 |
2002 |
64 |
161 |
2,52 |
2006 |
64 |
147 |
2,30 |
2010 |
64 |
145 |
2,27 |
2014 | 64 | 171 | 2,67 |
2018 | 64 | 169 | 2,64 |
2022 | 64 | 172 | 2,69 |
Nombre de spectateurs par Coupe du Monde
Année |
Nombre de spectateurs |
Moyenne |
1930 |
434 000 |
24 111 |
1934 |
395 000 |
23 235 |
1938 |
483 000 |
26 833 |
1950 |
1 337 000 |
60 773 |
1954 |
943 000 |
36 269 |
1958 |
868 000 |
24 250 |
1966 |
1 614 677 |
50 459 |
1970 |
1 673 975 |
52 312 |
1974 |
1 774 022 |
46 685 |
1978 |
1 610 215 |
42 374 |
1982 |
1 856 277 |
35 698 |
1986 |
2 407 431 |
46 297 |
1990 |
2 517 348 |
48 411 |
1994 |
3 587 538 |
68 991 |
1998 |
2 785 100 |
43 517 |
2002 |
2 705 197 |
42 269 |
2006 |
3 359 439 |
52 491 |
2010 |
3 178 856 |
49 670 |
2014 | 3 429 873 | 53 592 |
2018 | 3 322 319 | 51 911 |
2022 | 3 523 229 | 51 610 |
Plus grande affluence : la finale entre Brésil et l’Uruguay dans le stade Maracana à Rio de Janeiro rassemblant 199 854 personnes.
Plus petite affluence : lors du premier tour de la première Coupe du monde en 1930 entre la Roumanie et le Pérou (3-1) rassemblant seulement 300 spectateurs.
Toutes les éditions précédentes :
Uruguay 1930
1930
La première Coupe du Monde a lieu en Uruguay malgré un mécontement général compte tenu de la crise économique en Europe. De plus, le pays choisi était une destination outre-Atlantique impliquant une longue traversée maritime ; beaucoup de clubs devraient se passer de leurs meilleurs joueurs pendant au moins huit semaines. Cette première édition ne comportait pas de qualifications. Les 13 équipes (4 européennes, 8 sud-américaines et l'équipe des Etats-Unis) ne connaissaient le programme qu’une fois arrivées en Uruguay. La France gagne le match d'ouverture contre le Mexique (4-1). La première finale de l'histoire de la Coupe du Monde se déroule entre deux pays sud-américains : le pays organisateur et son voisin, l'Argentine. Menée 2-1 à la mi-temps, la "Céleste" gagne 4-2 et remporte ainsi la Coupe.
Bon à savoir :
- La toute première Coupe du Monde ne comporte pas de phases qualificatives, la participation ne se faisant que sur invitation.
- L'ensemble de cette Coupe du Monde s’est déroulée dans une seule ville, Montevideo, qui comportait trois stades (Centenario, Pocitos et Parque Central).
II a fallu 14 jours de bateau à l'équipe de France pour atteindre l'Uruguay
Finale
Le 30 juillet 1930, Estadio Centenario, Montevideo
Uruguay bat Argentine 4-2
80 000 spectateurs. Arbitre : M. Langenus (BEL), assisté de MM. Christophe (BEL) et Saucedo (BOL)
Buts : Dorado (12e), Cea (58e), Iriarte (68e), Castro (89e) ; Peucelle (20e), Stabile (38e)
Uruguay : Ballestero - Mascheroni, Nasazzi (c) - Andrade, Fernandez, Gestido - Dorado, Scarone, Castro, Cea, Iriarte
Argentine : Botasso - Della Torre, Paternoster - J. Evaristo, Monti, Arico Suarez - Peucelle, Varallo, Stabile, Ferreyra (c), M. Evaristo
Les champions du monde : Jose Leandro Andrade, Juan Pelegnuo Anselmo, Enrique Ballestero, Hector Castro, Jose Pedro Cea, Pablo Dorado, Lorenzo Fernandez, Alvaro A. Gestido, Victoriano Santos Iriarte, Ernesto Mascheroni, Jose Nasazzi (capitaine), Pedro Petrone, Hector Pedro Scarone , Domingo Tejera, Santos Urdinaran
Non utilisés: Juan Carlos Calvo, Miguel Capuccini, Miguel Angel Melogno, Conduelo Piriz, Emilio Recoba, Carlos Riolfo Secco, Zoilo Saldombide.
Entraîneur : Alberto F. Suppici
Statistiques
Dates : 14 au 30 juillet 1930
Nombre d'équipes : 13 - Nombre total de buts : 70 - Moyenne de buts par match : 3,89 - Nombres de matches : 18 -
Nombres de matches nuls : 0 - Nombre de matches avec prolongation: 0 - Nombre de spectateurs : 434 000 - Moyenne de spectateurs par match : 24 111 - Affluence maximum : Uruguay/Yougoslavie : 93 000 - Affluence minimum : Roumanie/Pérou : 300 – Penalty : 1 - Buts contre son camp : 0
Italie 1934
1934
La FIFA élit l’Italie pour accueillir la deuxième Coupe du Monde. Trente-deux nations participent à un tour préliminaire afin de sélectionner les seize équipes retenues pour les phases finales. La finale, opposant l’Italie à la Tchécoslovaquie, est aussi un choc entre deux gardiens mythiques, Gianpiero Combi et Frantisek Planicka. Menés 1-0, les Italiens égalisent quelques minutes avant le fin du match. Au cours des prolongations, le but de la victoire est signé par l’Italien Schiavo.
Finale
Le 10 juin 1934, stadio del PNF, Rome
Italie bat Tchécoslovaquie 2-1 a. p.
50 000 spectateurs. Arbitre : M. Eklind (SWE), assisté de MM. Baert (BEL) et Ivanicsics (HUN)
Buts : Orsi (81e), Schiavio (95e) ; Puc (71e)
Italie : Combi (c) - Monzeglio, Allemandi - Ferraris, Monti, Bertolini - Guaita, Meazza, Schiavio, Ferrari, Orsi
Tchécoslovaquie : Planicka (c) - Zenisek, Ctyroky - Kostalek, Cambal, Krcil - Junek, Svoboda, Sobotka, Nejedly, Puc
Les champions du Monde : Luigi Allemandi, Luigi Bertolini, Armando Castellazzi, Giampiero Combi (capitaine), Giovanni Ferrari, Attilio Ferraris, Enrico Guaita, Anfilogino Guarisi, Giuseppe Meazza
, Luis Fernando Monti, Eraldo Monzeglio, Raimundo Orsi, Mario Pizziolo, Virginio Rosetta, Angelo Schiavio.
Non utilisés : Pietro Arcari, Felice Placido Borel, Umberto Caligaris, Giuseppe Cavanna, Attilio Demaria, Mario Montesanto, Mario Varglien.
Entraîneur : Vittorio Pozzo
NB : Carlo Ceresoli, Ottavio Fantoni, Nereo Rocco , Pietro Serantoni ont participé aux matches qualificatifs mais pas à la phase finale.
Match pour la 3eme place
Le 7 juin 1934, Stadio Ascarelli, Naples
Allemagne bat Autriche 3-2
7 000 Spectateurs. Arbitre : M. Carraro (ITA), assisté de MM. Caironi (ITA) et Escartin (ESP)
Buts : Lehner (4e, 42e), Conen (29e) ; Horvath (30e), Sesta (55e)
Allemagne : Jakob - Busch, Janes - Zielinski, Szepan (c), Münzenberg - Bender, Lehner, Siffling, Conen, Heidemann
Autriche : Platzer - Cisar, Sesta - Wagner, Smistik (c), Urbanek - Zischek, Bican, Braun, Horvath, Viertl
Statistiques
Dates : 27 mai au 10 juin 1934.
Nombre d'équipes : 16 - Nombre total de buts : 70 - Moyenne de buts par match : 4,12 - Nombre de matches : 17 - Nombre de matches nul : 1 - Nombre de matches avec prolongation : 3 - Nombre de spectateurs : 395 000 - Moyenne de spectateurs par match : 23 235 - Affluence maximum : Italie/Tchécoslovaquie 50 000 - Affluence minimum : Allemagne/Suède 3 000 - Penalty: 3 - Buts contre son camp : 0
France 1938
1938
La troisième édition de la Coupe du Monde se déroule en France, malgré la crainte d’un conflit mondial : la guerre civile fait rage en Espagne, l'Allemagne vient d'annexer l'Autriche et l'Europe. La compétition a lieu dans des stades rénovés et suscite un véritable engouement. Pour la première fois, le pays organisateur et le champion en titre sont qualifiés d'office. Le seul pays sud-américain qui s’est déplacé en Europe est le Brésil, les autres nations estimant que cette édition devait avoir lieu en Argentine. La finale se dispute entre le tenant du titre, l’Italie, et les Hongrois. Ce sont les Italiens qui triomphent une deuxième fois de suite sur le score de 4-2.
Bon à savoir :
- Durant la deuxième guerre mondiale afin d'éviter que les troupes d'occupation ne s'en emparent, le vice-président italien de la FIFA, le Dr Ottorino Barassi, garde le trophée de la Coupe du Monde de la FIFA en la cachant sous son lit dans une boîte à chaussures !
- Pour la première fois, et c’était en finale, les joueurs portaient un numéro sur le maillot.
Finale
Le 19 juin 1938, Stade Olympique, Colombes
Italie bat Hongrie 4-2
45 000 spectateurs. Arbitre : M. Capdeville (FRA) assisté de MM. Krist (TCH) et Wüthrich (SUI)
Buts : Colaussi (6e, 35e), Piola (16e, 85e) ; Titkos (8e), Sarosi (70e)
Italie : Olivieri - Foni, Rava - Serantoni, Andreolo, Locatelli - Biavati, Meazza (c), Piola, Ferrari, Colaussi
Hongrie : Szabo - Polgar, Biro - Szalay, Szucs, Lazar - Sas, Vincze, Sarosi (c), Zsengeller, Titkos
Les champions du Monde : Miguel Angel Andreolo, Amedeo Biavati, Luigi Colaussi, Giovanni Ferrari, Pietro Ferraris, Alfredo Foni, Ugo Locatelli, Giuseppe Meazza (capitaine), Eraldo Monzeglio, Aldo Olivieri, Piero Pasinati, Silvio Piola , Pietro Rava, Pietro Serantoni.
Non utilisés : Sergio Bertoni, Carlo Ceresoli, Bruno Chizzo, Aldo Donati, Mario Genta, Guido Masetti, Renato Olmi et Mario Perazzolo
Entraîneur : Vittorio Pozzo
Match pour la 3eme place
Le 19 juin 1938, Parc Lescure, Bordeaux
Brésil bat Suède 4-2
12 000 spectateurs. Arbitre : M. Langenus (BEL) assisté de MM. Valprede (FRA) et Olive (FRA)
Buts : Romeu (44e), Leonidas (63e, 74e), Peracio (80e) ; Jonasson (28e), Nyberg (38e)
Brésil : Batatais - Domingos, Machado - Zeze Procopio, Brandao, Alfonsinho - Roberto, Leonidas (c), Peracio, Romeu, Patesko
Suède : Abrahamsson - Eriksson, Nilsson - Almgren, Linderholm, Svanström (c) - Persson, A. Andersson, H. Andersson, Jonasson, Nyberg
Statistiques
Dates 4 au 19 juin 1934.
Nombre d'équipes : 15 - Nombre total de buts : 84 - Moyenne de buts par match : 4,67 - Nombre de matches : 18 - Nombre de matches nuls : 3 - Nombres de matches avec prolongation : 6 - Nombre de spectateurs : 483 000 - Moyenne de spectateurs par match : 26 833 - Affluence maximum : Italie/France : 59 000 - Affluence minimum : Cuba/Roumanie & Cuba/Suède : 7 000 – Penalty : 3 - Buts contre son camp : 1
Brésil 1950
1950
La première Coupe du Monde d’après-guerre se déroule entre seulement treize nations au Brésil (beaucoup de nations ont incliné l’invitation ; l’Inde annule sa participation suite au refus de la FIFA de jouer pieds nus). La phase finale se dispute comme une sorte de mini championnat entre quatre nations (l’Espagne, la Suède, le Brésil et l’Uruguay). Le 16 juillet, la finale se déroule dans le mythique stade de Maracana à Rio de Janeiro devant un record de 174 000 spectateurs. Elle oppose le Brésil à l’Uruguay. Tandis qu’ un nul suffit à la Seleção de remporter le titre, le Brésil s’incline 1-2 devant l’Uruguay à onze minutes de la fin du match. En plein désarroi, les officiels oublient de remettre la Coupe aux vainqueurs et c’est le père fondateur de la Coupe du Monde Jules Ruimet lui-même qui descend sur le terrain à la recherche du capitaine de l’Uruguay pour lui remettre pour la deuxième fois de l’histoire la précieuse Coupe.
Bon à savoir :
Aucun joueur n’est expulsé lors de cette édition.
Finale
Le 16 juillet 1950, Estadio Maracana, Rio de Janeiro
Uruguay bat Brésil 2-1
174 000 spectateurs. Arbitre : M. Reader (ENG) assisté de MM. Ellis (ENG) et Mitchell (SCO)
Buts : Schiaffino (58e), Ghiggia (61e) ; Friaça (46e)
Uruguay : Maspoli - M. Gonzalez, Tejera, Gambetta - Varela (c), Andrade - Ghiggia, Perez, Miguez, Schiaffino, Moran
Brésil: Barbosa - Augusto (c), Juvenal, Bauer - Danilo, Bigode - Friaça, Zizinho, Ademir, Jair, Chico
Les champions du monde: Victor Rodriguez Andrade, Schubert Gambetta, Alcide Edgardo Ghiggia, Juan Carlos Gonzalez, Matias Gonzalez, Rogue Gaston Maspoli, Oscar Ornar Miguez, Ruben Moran, Anibal Luis Paz, Julio Gervasio Perez, Juan Alberto Schiaffino, Eusebio Ramon Tejera, Obdulio Muirios Varela (capitaine), Ernesto Jose Vidal.
Non utilisés: Julio C. Britos, Juan Burgueno, William Pablo Martinez, Washington
Orturio, Rodolfo Pini, Luis Rijo, Carlos Romero et Hector Vilches.
Entraîneur : Juan Lopez
Statistiques
Dates : 24 juin au 16 juillet 1950.
Nombre d'équipes : 13 - Nombre total de buts : 88 - Moyenne de buts par match : 4 - Nombre de matches : 22 - Nombre de matches nuls : 3 - Nombre de matches avec prolongation : 0 - Nombre de spectateurs : 1 337 000 -Moyenne de spectateurs par match : 60 773 - Affluence maximum : Uruguay/Brésil 174 000 - Affluence minimum : Suisse/Mexique 4 000 – Penalty : 3 - Buts contre son camp
Suisse 1954
1954
Avec la participation d'équipes asiatiques (Japon, Corée) et africaines (Egypte) la Coupe du Monde prend une dimension internationale. Seize équipes participent la phase finale : l'Amérique du Sud est représentée par l'Uruguay, le Brésil et le Mexique ; l'Asie par la Corée. Quant à l'Europe, elle compte l'Autriche, la Belgique, la Tchécoslovaquie, l'Angleterre, la France, la Hongrie, l'Italie, l'Ecosse, la Suisse, la Turquie, la RFA et la Yougoslavie. Ce nombre de participants restera inchangé jusqu'à la Coupe du Monde de la FIFA 1982, en Espagne, où il sera porté à 24. La Hongrie, avec des joueurs comme Puskas, Kocsis et Boszik, part en grande favorite. Invaincus en 28 matches, ils sont les champions olympiques en titre. La finale oppose comme prévu la Hongrie à l’Allemagne qui marque à la surprise générale le but décisif à six minutes de la fin du rencontre.
Lors de cette Coupe du Monde, 140 buts sont inscrits en 26 matches soit une moyenne de 5,38 buts par match ! Douze buts sont marqués pendant le match Autriche-Suisse (7-5).
Bon à savoir :
C'est la première fois que tous les joueurs arborent un numéro sur leur maillot tout au long de la compétition.
Finale
Le 4 juillet 1954, Wankdorf-Stadion, Berne
Allemagne bat Hongrie 3-2
Buts : Morlock (11e), Rahn (18e, 84e) ; Puskas (6e), Czibor (9e)
60 000 spectateurs. Arbitre : M. Ling (ANG), assisté de MM. Orlandini (ITA) et Griffiths (GAL)
Allemagne : Turek - Posipal, Kohlmeyer, Eckel - Liebrich, Mai - Rahn, Morlock, O. Walter, F. Walter (c), Schäfer
Hongrie : Grosics - Buzanszky, Lantos, Bozsik (c) - Lorant, Zakarias - Czibor, Kocsis, Hidegkuti, Puskas, M. Toth.
Les champions du monde : Hans Bauer, Horst Eckel, Richard Franz Hermann, Bernhard Klodt, Werner Kohlmeyer, Heinrich Kwiatkowski, Friedrich Laband, Werner Liebrich, Karl Mai, Paul Mebus, Maximilian Morlock, Alfred Pfaff, Josef Posipal, Helmut Rahn
, Hans Schäfer, Anton Turek, Fritz Walter
( capitaine ), Ottmar Walter.
Non utilisés: Ulrich Biesinger et Heinz Kubsch
Entraîneur : Josef Herberger
NB : Herbert Erhardt, Richard Gottinger, Karl-Heinz Metzner, Erich Retter, Josef Rohring, Horst Schade, Erich Schanko ont participé aux matches qualificatifs mais pas à la phase finale.
Match pour la 3eme place
Le 3 juillet 1954, Sportzplatz Hardturm, Zürich
Autriche bat Uruguay 3-1
Buts: Stojaspal (16e pen.), Cruz (59e csc), Ocwirk (79e) ; Hohberg (21e)
35 000 spectateurs. Arbitre : M. Wyssling (SUI) associé de MM. Zsolt (HUN) et Ellis (ENG)
Autriche : Schmied - Hanappi, Barschandt, Ocwirk (c) - Kollmann, Koller - R. Körner, Wagner, Stojaspal, Probst, Dienst
Uruguay : Maspoli - Martinez (c), Santamaria, Andrade - Carballo, Cruz - Abbadie, Mendez, Hohberg, Schiaffino, Borges
Statistiques
Dates : 16 juin au 4 juillet 1954.
Nombre d'équipes : 16 - Nombre total de buts : 140 - Moyenne de buts par match : 5,38 - Nombre de matches : 26 - Nombre de matches nuls : 2 - Nombre de matches avec prolongation : 3 - Nombre de spectateurs : 943 000 - Moyenne de spectateurs par match : 36 269 - Affluence maximum : Hongrie/RFA 65 000 - Affluence minimum : Turquie/Corée 3 000 – Penalty : 7- Buts contre son camp : 3
Suède 1958
1958
55 pays (un record) participent à la sixième Coupe du Monde en Suède. Elle marque le début d’un footballeur mythique de 17 ans, Pelé. Pour la première fois de l'histoire de la Coupe du Monde un match finit sur le score nul de 0-0 entre l’Angleterre et le Brésil, au premier tour.
Le public découvre une autre nation de football, la France avec Kopa (élu meilleur joueur du Mondial), Piantoni et … Just Fontaine qui inscrit 13 buts pendant cette édition, un record toujours en vigueur. Le parcours des Bleus prend fin en demi-finale en s’inclinant devant le Brésil qui se retrouve en finale face à la Suède. Grâce aux buts de Vava, Zagallo et Pelé, la Seleção remporte le premier de ses cinq titres planétaires.
Bon à savoir : Première retransmission par télévision en mondovision.
Finale
Le 29 juin 1958, Rasunda Stadion, Stockholm
Brésil bat Suède 5-2
Buts : (Vava 9e, 32e), Pelé (55e, 90e), Zagalo (68e) ; Liedholm (4e), Simonsson (80e)
51 800 spectateurs. Arbitre : M. Guigue (FRA) assisté de MM. Dusch (GER) et Gardeazabal (ESP)
Brésil : Gilmar - Djalma Santos, Nilton Santos, Zito - Bellini (c), Orlando - Garrincha, Didi, Vava, Pelé, Zagalo
Suède : Svensson - Bergmark, Axbom, Börjesson - Gustavsson, Parling - Hamrin, Gren, Simonsson, Liedholm (c), Skoglund
Les champions du monde : Hideraldo Luiz Bellini ( capitaine ), Newton De Sordi, Dida - Edvaldo Alves de Santa Rosa, Didi - Waldir Pereira, Dino Sani, Djalma dos Santos, Garrincha - Manoel Francisco dos Santos, Gilmar dos Santos Neves, Joel Antonio Martins, Jose Altafini
, Nilton Reis dos Santos, Orlando Peçanha de Carvalho, Pelé - Edson Arantes do Nascimento, Vava - Edvaldo Izidio Neto, Mario Jorge Lobo Zagallo, Zito - Jose Ely de Miranda.
Non utilisés : Carlos Jose de Castilho, Mauro Ramos de Oliveira, Moacir Claudino Pinto, Oreco - Waldemar Rodrigues Martins et Pepe - Jose Macia.
Entraîneur : Vicente Italo Feola
NB : Roberto Belangero, Evaristo de Macedo Filho, Indio - Aluizio Francisco da Luz, Zozimo Alves Calazans, Oswaldo Augusto Brandao ont participé aux matches qualificatifs mais pas à la phase finale.
Match pour la 3eme place
Le 26 août 1958, Nya Ullevi, Göteborg
France bat Allemagne 6-3
Buts : Fontaine (16e, 36e, 78e, 89e), Kopa (27e pen.), Douis (50e) ; Cieslarczyk (18e), Rahn (52e), Schäfer (84e)
25 000 spectateurs. Arbitre : M. Brozzi (ARG) assisté de MM. Ellis (ANG) et Lundell (SUE)
France : Abbes - Kaelbel, Lerond, Penverne (c) - Lafont, Marcel - Wisnieski, Fontaine, Kopa, Douis, Vincent
Allemagne : Kwiatkowski - Stollenwerk, Wewers, Erhardt - Schnellinger, Szymaniak - Rahn, Strum, Schäfer (c), Kelbassa, Cieslarczyk
Statistiques
Dates : 8 au 29 juin 1958.
Nombre d'équipes : 16 - Nombre total de buts : 126 - Moyenne de buts par match : 3,60 - Nombre de matches : 35 - Nombre de matches nuls : 10 - Nombre de matches avec prolongation : 1 - Nombre de spectateurs : 868 000 - Moyenne de spectateurs par match : 24 250 - Affluence maximum : Brésil/Suède 51 800 - Affluence minimum : Yougoslavie/Ecosse 9 500 - Penalty: 4 - Buts contre son camp
Chili 1962
1962
La Coupe du Monde se déroule pour la troisième fois en Amérique latine et se dispute entre 56 nations. Cette septième édition est marquée par un football physique, pratiqué lors des rencontres RFA-Suisse, Chili-Italie ou URSS-Yougoslavie. Le Brésil remporte son deuxième titre d’affilée contre les Tchèques, qui furent l’une des grandes surprises du tournoi. Les "Auriverde" ont neuf joueurs déjà présents en 1958. Pelé pour sa part joua le match d’ouverture contre le Mexique mais fut blessé ensuite face à la Yougoslavie.
Bon à savoir :
Cette édition a vu la participation du fabuleux gardien soviétique Lev Yachine désigné meilleur gardien de l’histoire de la Coupe du Monde. En son honneur, le trophée désignant le meilleur gardien d’une Coupe du Monde porte son nom depuis 1994. Les lauréats : Fabien Barthez (FRA) en 1998, Oliver Kahn (GER) en 2002, Iker Casillas (ESP) et Manuel Neuer (GER) en 2014.
Finale
Le 17 juin 1962, Estadio Nacional, Santiago du Chili
Brésil bat Tchécoslovaquie 3-1
Buts : Amarildo (17e), Zito (69e), Vava (78e) ; Masopust (15e)
69 000 spectateurs. Arbitre ; M. Latichev (URSS), assisté de MM. Davidson (SCO) et Horn (NED)
Brésil : Gilmar - Djalma Santos, Nilton Santos, Zito - Mauro (c), Zozimo, Garrincha, Didi - Vava, Amarildo, Zagalo
Tchécoslovaquie : Schrojf - Tichy, Novak (c), Masopust - Popluhar, Pluskal - Pospichal, Scherer, Kadraba, Kvasniak, Jelinek
Les champions du monde : Amarildo Tavares da Silveira, Didi - Waldir Pereira, Djalma dos Santos, Garrincha - Manoel Francisco dos Santos, Gilmar dos Santos Neves, Mauro Ramos de Oliveira ( capitaine ), Nilton Reis dos Santos, Pelé - Edson Arantes do Nascimento, Vava - Edvaldo Izidio Neto, Mario Jorge Lobo Zagallo, Zito - Jose Ely de Miranda, Zozimo Alves Calazans.
Non utilisés: Altair Gomes de Figueiredo, Hideraldo Luiz Bellini, Carlos Jose de Castilho, Coutinho - Antonio Wilson Honorio, Jair da Costa, Jair Marinho de Oliveira, Jurandir de Freitas, Mengalvio Pedro Figueiro, Pepe - Jose Macia et Zequinha - Jose Ferreira Franco.
Entraîneur : Aimore Moreira
Match pour la 3eme place
Le 16 août 1962, Estadio Nacional, Santiago du Chili
Chili bat Yougoslavie 1-0
But : Rojas (90e)
67 000 spectateurs. Arbitre : M. Gardeazabal (ESP) assisté de MM. Dusch (ALL) et Dorogi (HON)
Chili : Godoy - Eyzaguirre, Cruz, R. Sanchez, Rodriguez - Toro (c), Rojas - Ramirez, Campos, Tobar, L. Sanchez
Yougoslavie : Soskic - Durkovic, Svinjarevic, Radakovic - Markovic, Popovic - Kovacevic, Sekularac, Jerkovic, Galic (c), Skoblar
Statistiques
Dates : 30 mai au 17 juin 1962.
Nombre d'équipes : 16 - Nombre total de buts : 89 - Moyenne de buts par match : 2,78 - Nombre de matches : 32 - Nombre de matches nuls : 4 - Nombre de matches avec prolongation : 0 - Nombre de spectateurs : 898 000 - Moyenne de spectateurs par match : 28 087 - Affluence maximum : Brésil/Chili 76 500 - Affluence minimum : Angleterre/Bulgarie 5 700 - Penalty: 8 - Buts contre son camp :0
Angleterre 1966
1966
Après le vol de la Coupe Jules Rimet lors d'une exposition à Londres, le pays organisateur retrouve le sourire quelques jours plus tard quand un chien nommé Pickels la retrouve dans un buisson au coeur d'un jardin dans la banlieue sud de Londres.
Cette édition se déroule dans la patrie du football moderne. Seize nations africaines ont déclaré forfait suite à une nouvelle règle stipulant que le vainqueur de la zone africaine devrait par la suite battre le vainqueur de la zone océanienne ou asiatique afin d’aller en phase finale. Cette règle fut supprimée en 1968. Dorénavant la FIFA accorde dix places à l’Europe, quatre à l’Amérique du Sud, une à l’Asie et une à l’Amérique Centrale et du Nord.
70 nations participent aux éliminatoires (nouveau record).
Cette édition est marquée par la défaite au premier tour du double champion du monde, le Brésil qui s’incline devant le Portugal et la Hongrie. Le grand favori est bien sûr l’Angleterre qui se trouve en finale face à la RFA. A l’issue des prolongations, l’équipe de Bobby Moore s’impose (4-2) et reçoit des mains de la reine Elisabeth II la Coupe.
Bon à savoir :
Les mascottes font leur entrée. Willie fut la première en 1966, suivis par Juanito en 1970, Tip et Tap en 1974, Gauchito en 1978, Naranjito en 1982, Pique en 1986, Ciao en 1990, Striker en 1994, Footix en 1998, Nike/Kaz et Ato en 2002 et Golio VI avec son ballon Pille en 2006.
Finale
Le 30 juillet 1966, Wembley, Londres
Angleterre bat Allemagne 4-2 a.p.
Buts : Hurst (18e, 101e, 120e), Peters (78e) ; Haller (12e), Weber (90e)
93 000 spectateurs. Arbitre : M. Dienst (SUI) assisté de MM. Bachramov (URSS) et Galba (TCH)
Angleterre : Banks - Cohen, J. Charlton, Moore (c), Wilson - Stiles, B. Charlton, Peters - Ball, Hunt, Hurst
Allemagne : Tilkowski - Höttges, Schulz, Weber, Schnellinger - Beckenbauer, Overath, Haller - Seeler (c), Held, Emmerich
Les champions du monde : Alan Ball
, Gordon Banks
, Ian Robert Callaghan, Bobby Charlton
, Jacky Charlton
, George Cohen, John Michael Connelly, Jimmy Greaves
, Roger Hunt, Geoff Hurst
, Bobby Moore
( capitaine ), Terence Paine, Martin Peters
, Nobby Stiles, Ramon Wilson.
Non utilisés : James Armfield, Phillip Bonetti, Gerald Byrne, George Eastham, Ronald Flowers, Norman Hunter et Ronald Springen.
Entraîneur : Al Ramsey
Match pour la 3eme place
Le 28 juillet 1970, Wembley, Londres
Portugal bat URSS 2-1
Buts : Eusebio (12e pen), Torres (88e) ; Malafeev (43e)
87 000 spectateurs. Arbitre : M. Dagnall (ENG) assisté de MM. Howley (ENG) et Kandil (EGY)
Portugal : J. Pereira - Festa, Baptista, Carlos, Hilario - Graca, Coluna (c), Augusto - Eusebio, Torres, Simoes
URSS : Yachine (c) - Ponomarev, Khurtsilava, Voronin, Danilov - Korneyev, Sichinava, Metreveli, Banichevski - Malafeev, Serebrianikov
Statistiques
Dates : 11 au 30 juillet 1966.
Nombre d'équipes : 16 - Nombre total de buts : 89 - Moyenne de buts par match : 2,78 - Nombre de matches : 32 - Nombre de matches nuls : 5 - Nombre de matches avec prolongation : 1 - Nombre de spectateurs : 1 614 677 - Moyenne de spectateurs par match : 50 459 - Affluence maximum : Angleterre/France 98 000 - Affluence minimum : Corée du nord/Chili 15 000 - Penalty : 8 - Buts contre son camp : 2
Mexique 1970
1970
75 nations ont participé aux éliminatoires. Les télévisions règnent en maître et demandent que certains matches soient joués à midi malgré la chaleur.
Cette Coupe du Monde est marquée par l'élimination précoce de quelques grosses pointures comme l’Argentine, le Portugal, l’Espagne et la France qui quittent la compétition dès le premier tour. Elle est surtout marquée par trois matches légendaires : Angleterre-Brésil (avec un Pelé revenu sur sa décision de ne plus jamais disputer une Coupe du Monde), Angleterre-RFA (les deux finalistes de 1966 ; 3-2 à l’issue des prolongations) et la demi-finale entre l’ Italie et la RFA (4-3 après prolongation pour l’Italie). En finale, le Brésil bat la Squadra Azzurra 4-1.
La Seleção, avec ses magiciens du ballon rond,comme Carlos Alberto (capitaine), Pelé (qui remporte son 3eme titre et qui a joué son dernier match en Coupe du Monde), Tostao, Jairzinho et Rivelino, remporte définitivement la Coupe Jules Rimet après trois victoires en Coupe du monde. Le trophée est volé au Brésil et la Confédération brésilienne de football a décidé d'exposer une copie du trophée.
Bon à savoir : Pour la première fois, l'entrée en jeu de remplaçants est permise. Introduction des cartons jaunes et rouges.
Finale
Le 21 juin 1970, Estadio Azteca, Mexico
Brésil bat Italie 4-1
Buts : Pelé (18e), Gerson (66e), Jairzinho (71e), Carlos Alberto (87e) ; Boninsegna (37e)
107 412 spectateurs. Arbitre : M. Glöckner (DDR), assisté de MM. Scheurer (SUI) et Coerezza (ARG)
Brésil : Felix - Carlos Alberto (c), Brito, Piazza, Everaldo - Clodoaldo, Gerson, Tostao - Jairzinho, Pelé, Rivelino
Italie : Albertosi - Burgnich, Cera, Bertini (Juliano 75e), Facchetti (c) - Rosato, Domenghini, de Sisti, Mazzola - Boninsegna (Rivera 84e), Riva
Les champions du monde : Brito, Carlos Alberto (capitaine), Clodoaldo, Edu, Everaldo, Felix, Fontana, Gerson, Jairzinho, Paulo Cesar, Marco Antonio, Pelé, Piazza, Roberto Rivelino
, Roberto, Tostao.
Non utilisés : Ado, Baldocchi, Dario, Emerson Leao et Ze Maria.
Entraîneur : Mario Zagallo
NB : Joao Saldanha était l'entraîneur pendant les matches qualificatifs mais pas pendant la phase finale.
Lula, Joel Camargo, Junior, Rildo, Saldanha ont participé aux matches qualificatifs mais pas à la phase finale.
Match pour la 3eme place
Le 20 juin 1970, Estadio Azteca, Mexico
RFA bat Uruguay 1-0
But : Overath (27e)
104 403 spectateurs. Arbitre : M. Sbardella (ITA) assisté de MM. Marschall (AUT) et Aguilar (MEX)
RFA : Wolter - Schnellinger (Lorenz 46e), Vogts, Patzke, Fichtel - Weber, Overath, Seeler (c) - Held, G. Müller, Libuda (Löhr 75e)
Uruguay : Mazurkiewicz - Ubiña (c), Ancheta, Matosas, Mujica - Maneiro (Sandoval), Cortes, Montero-Castillo, Cubilla - Fontes (Esparrago), Morales
Statistiques
Dates : 31 mai au 21 juin 1970.
Nombre d'équipes : 16 - Nombre total de buts : 95 - Moyenne de buts par match : 2,97 - Nombre de matches : 32 - Nombre de matches nuls : 5 - Nombre de matches avec prolongation : 2 - Nombre de spectateurs : 1 673 975 - Moyenne de spectateurs par match : 52 312 - Affluence maximum : Mexique/Belgique 108 200 - Affluence minimum : Suède/Israël 9 620 – Penalty : 5 - Buts contre son camp : 1
République Fédérale d'Allemagne 1974
1974
Cette Coupe du Monde est marquée par une nouvelle règle : le système du premier tour suivi par des éliminatoires directs est remplacé par un système de poules lors des deux phases. 98 nations ont participé aux éliminatoires. Des poids lourds du football mondial comme la Hongrie, l’Angleterre, l’Espagne et la France furent éliminés.
La compétition est marquée par le "football total", et deux grandes nations de football se retrouvent en finale : l’Allemagne dirigée par le "Kaiser" Franz Beckenbauer et les Pays-Bas avec le génial Johan Cruyff . Les joueurs du plat pays se débarrassent de l’Argentine (4-0) puis du Brésil (2-0) mais s’incline ensuite en finale contre l’Allemagne de l’ouest (2-1, le but de la victoire fut marqué par Gerd Müller, surnommé "Der Bomber"). Les Allemands de l’Ouest s’emparent de leur deuxième titre mondial et reçoivent le nouveau trophée, sculpté par l’Italien Silvio Gazzaniga.
Bon à savoir : cette édition marque l’arrivée de la retransmission télévisée en couleur.
Finale
Le 7 juillet 1974, Olympiastadion, Münich
RFA bat Pays-Bas 2-1
Buts : Breitner (25e pen.), G. Müller (43e) ; Neeskens (1e pen.)
75 200 spectateurs. Arbitre : M. Taylor (ENG) assisté de MM. Barreto (URU) et Gonzalez (MEX)
RFA : Maier - Vogts, Beckenbauer (c), Schwarzenbeck, Breitner - Bonhof, Overath, Grabowski - U. Hoeness, G. Müller, Hölzenbein
Pays-Bas : Jongbloed - Suurbier, Rijsbergen (De Jong 69e), Haan, Krol - Jansen, Neeskens, Van Hanegem- Rep, Cruyff (c), Rensenbrink (R. van de Kerkhof 46e)
Les champions du monde : Franz Beckenbauer (capitaine), Rainer Bonhof
, Paul Breitner
, Bernhard Cullmann, Heinz Flohe, Jürgen Grabowski, Dieter Herzog, Josef Heynckes, Uli Hoeness
, Bernd Hölzenbein, Horst-Dieter Höttges, Sepp Maier
, Gerd Müller, Günther Netzer, Wolfgang Overath
, Hans-Georg Schwarzenbeck
, Berti Vogts
, Herbert Wimmer.
Non utilisés : Hans-Josef Kappellmann, Wolfgang Kleff, Helmut Kremers et Norbert Nigbur.
Entraîneur : Helmut Schön
Match pour la 3eme place
Le 6 juillet 1974, Olympiastadion, Münich
Pologne bat Brésil 1-0
But : Lato (77e)
74 100 spectateurs. Arbitre : M. Angonese (ITA) assisté de MM. N'Diaye (SEN) et Namdar (IRN)
Pologne : Tomaszewski - Szymanowski, Gorgon, Zmuda, Musial - Maszczyk, Deyna (c), Kasperczak (Cmikiewicz 79e) - Lato, Szarmach (Kapka 73e), Gadocha
Brésil : Leao - Ze Maria, Alfredo, M. Marinho (c), F. Marinho - Cesar Carpegiani, Rivelino, Dirceu - Ademir (Mirandinha 56e), Valdomiro, Jairzinho
Statistiques
Dates : 13 juin au 07 juillet 1974
Nombre d'équipes : 16 - Nombre total de buts : 97 - Moyenne de buts par match : 2,55 - Nombre de matches : 38 - Nombre de matches nuls : 10 - Nombre de matches avec prolongation : 0 - Nombre de spectateurs : 1 774 022 - Moyenne de spectateurs par match : 46 685 - Affluence maximum : RFA/Chili 83 168. - Affluence minimum : RDA/Australie 10 000 - Penalty : 6 - Buts contre son camp : 3
Argentine 1978
1978
La 11eme édition est organisée en Argentine, finaliste en 1930. Tout d’abord boycottée par des nombreux pays pour protester contre le régime totalitaire du général Videla, la planète foot décide de se déplacer. La France, absente depuis douze ans, fait de nouveau partie de la phase finale. Michel Platini et ses co-équipiers battent la Hongrie mais perdent ensuite contre l’Italie et l’Argentine. L’Argentine et les "Oranje" des Pays-Bas, finalistes en 1974, se retrouvent en finale. L’Argentine compte dans ses rangs des joueurs exceptionnels : Osvaldo Ardiles, Daniel Passarella et bien sûr Mario Kempes (meilleur buteur de ce Mondial) ; les Bataves jouent sans Cruyff qui a boudé la Coupe du Monde pour des raisons politiques. Avant d’atteindre la finale, les Pays-Bas se sont débarrassé de l’Autriche, la RFA et l’Italie tandis que l’Argentine a battu le Pérou (6-1). Portée par son public, c’est finalement l’Argentine qui s’impose après prolongations (3-1).
Finale
Le 25 juin 1978, Estadio Monumental, Buenos Aires
Argentine bat Pays-Bas 3-1 a.p.
Buts : Kempes (38e, 105e), Bertoni (115e) ; Nanninga (82e)
71 483 spectateurs. Arbitre : M. Gonella (ITA) assisté de MM. Barreto (URU) et Lienmayr (AUT)
Argentine : Fillol - Olguin, Galvan, Passarella (c), Tarantini - Ardiles (Larossa 66e), Gallego, Kempes, Bertoni - Luque, Ortiz (Houseman 75e)
Pays-Bas : Jongbloed - Poortvliet, Krol (c), Brandts, Jansen (Suurbier 73e) - Neeskens, Haan, W. van de Kerkhof, R. van de Kerkhof - Rep (Nanninga 59e), Rensenbrink
Les champions du monde : Norberto Alonso, Osvaldo Ardiles, Ricardo Bertoni, Ubaldo Fillol
, Ruben Gallego, Luis Galvan, Rene Houseman, Mario Kempes
, Ruben Larossa, Leopoldo Luque, Jorge Olguin, Oscar Ortiz, Miguel Angel Oviedo, Daniel Passarella
( capitaine ), Alberto Tarantini, Jose Valencia, Ricardo Villa.
Non utilisés : Rudolfo Balley, Ruben Galvan, Daniel Killer, Ricardo Lavolpe et Ruben Pagnanini.
Entraîneur : Cesar Luis Menotti
Match pour la 3eme place
Le 24 juin 1978, Estadio Monumental, Buenos Aires
Brésil bat Italie 2-1
Buts : Nelinho (64e), Dirceu (72e) ; Causio (38e)
69 659 spectateurs. Arbitre : M. Klein (ISR) assisté de MM. Palotai (HUN), et Gonzalez (MEX)
Brésil : Leao (c) - Nelinho, Oscar, Amaral, Rodriguez Neto - Cerezo (Rivelino 64e), Batista, Dirceu, Gil (Reinaldo 46e) - Roberto, Mendonca
Italie : Zoff (c) - Cuccureddu, Gentile, Scirea, Cabrini - P. Sala, Antognoni (C. Sala 79e), Maldera, Causio - Rossi, Bettega
Statistiques
Dates : 01 juin au 25 juin 1978.
Nombre d'équipes : 16 - Nombre total de buts : 102 - Moyenne de buts par match : 2,68 - Nombre de matches : 38 -Nombre de matches nuls : 9 - Nombre de matches avec prolongations : 1 - Nombre de spectateurs : 1 610 215 -Moyenne de spectateurs par match : 42 374 - Affluence maximum : Argentine/Hongrie 71 765 - Affluence minimum : Ecosse/Iran 7 938 - Penalty : 12 - Buts contre son camp : 3
Espagne 1982
1982
La FIFA désigne l’Espagne pour accueillir la 12eme édition de la Coupe du Monde qui se jouera entre 24 équipes au lieu de 16 auparavant : 13 équipes de la zone Europe, 3 de l'Amérique du Sud, 2 de l'Afrique, 2 de l'Asie/Océanie et 2 de la CONCACAF (Amérique Centrale et du Nord), la liste étant complétée par l'Espagne, pays organisateur, et l'Argentine, tenante du titre. La Squadra Azzurra part comme grande favorite. Dirigée par le légendaire gardien de but Dino Zoff , elle bat sur son chemin le Brésil (un match légendaire) et la RFA grâce au talentueux buteur Paolo Rossi . Elle atteint la finale en s’imposant face au Pologne. L’autre demi-finale se dispute entre la France et la RFA. Ce match fait partie des rencontres les plus célèbres de l’histoire du football.
Les Allemands ont pris l'avantage grâce à un but de Littbarski, avant que Platini n'égalise sur penalty. Pendant les prolongations, la formation allemande parvient à égaliser malgré le fait que les Bleus mènent 3-1. Finalement ce sont les Allemands qui s’imposent aux tirs au but. En finale, l’Italie domine les RFA en menant 3-1 et remporte ainsi son troisième titre de champion du monde rejoignant ainsi dans la légende le Brésil.
Finale
Le 11 juillet 1982, Santiago Bernabeu, Madrid
Italie bat RFA 3-1
Buts : Rossi (57e), Tardelli (69e), Altobelli (81e) ; Breitner (83e)
90 000 spectateurs. Arbitre : M. Coelho (BRA) assisté de MM. Klein (ISR) et Christov (TCH)
Italie : Zoff - Gentile, Scirea, Collovati, Bergomi - Cabrini, Oriali, Tardelli, Conti - Graziani (Altobelli 8e, Causio 88e), Rossi
RFA : Schumacher - Kaltz, Stieleke, K.H. Förster, B. Förster - Dremmler (Hrubesch 63e), Breitner, Briegel - K.H. Rummenigge (H. Müller 70e), Littbarski, Fischer
Les champions du monde: Alessandro Altobelli
, Giancarlo Antognini, Giuseppe Bergomi
, Antonio Cabrini
, Franco Causio
, Fulvio Collovati, Bruno Conti
, Claudio Gentile
, Francesco Graziani
, Giampiero Marini, Gabriele Oriali, Paolo Rossi
, Gaetano Scirea
, Marco Tardelli
, Dino Zoff
(capitaine).
Non utilisés : Franco Baresi
, Ivano Bordon, Giovanni Galli, Daniele Massaro
et Pietro Vierchowod
.
Entraîneur : Enzo Bearzot
NB : Carlo Ancelotti
, Giuseppe Baresi, Roberto Bettega
, Giuseppe Dossena, Domenico Marocchino, Roberto Pruzzo, Patrizio Sala, Franco Selvaggi, Renato Zaccarelli ont participé aux matches qualificatifs mais pas à la phase finale.
Match pour la 3eme place
Le 10 juillet 1982, Estadio Jose Rico Perez, Alicante
Pologne bat France 3-2
Buts : Szarmach (41e), Majewski (44e), Kupcewicz (46e) ; Girard (13e), Couriol (73e)
28 000 spectateurs. Arbitre : M. Garrido (POR) assisté de MM. Rubio (MEX) et Lacarne (ALG)
Pologne : Mlynarczyk - Dziuba, Zmuda, Janas, Majewski - Matysik (Wojcicki 46e), Kupcewicz, Buncol, Lato - Boniek, Szarmach
FRA : Castaneda - Amoros, Mahut, Trésor (c), Janvion (Lopez 64e) - Girard, Larios, Tigana (Six 82e) - Couriol, Soler, Bellone
Statistiques
Dates : 13 juin au 11 juillet 1982
Nombre d'équipes : 24 - Nombre total de but : 146 - Moyenne de buts par match : 2,81 - Nombre de matches : 52 - Nombre de matches nul : 17 - Nombre de matches avec prolongation : 1 - Nombre de spectateurs : 1 856 277 - Moyenne de spectateurs par match : 35 698 - Affluence maximum : Belgique/Argentine 95 000 - Affluence minimum : Pérou/Cameroun 11 000 - Penalty : 8 - Buts contre son camp : 1
Mexique 1986
1986
La Coupe du Monde 1986 a lieu pour la deuxième fois au Mexique entre 24 équipes. Faute de moyens, la Colombie, qui était le premier choix, renonça à l’organisation de cette 13eme édition. Malgré des terribles tremblements de terre tuant 20 000 personnes, le pays aztèque devient donc le premier pays à accueillir deux Coupes du Monde ! Les grandes nations de foot se font éliminer comme le Brésil face à la France qui se fait ensuite sortir par la RFA en demi-finale. La nouvelle star du football mondial, le magistral Argentin Diego Maradona , mène son équipe en finale et à la victoire dans le mythique stade Aztèque, devant 115 000 spectateurs, contre la RFA. Quant à la France, les Bleus éliminent en huitième de finale la tenante du titre, l’Italie (2-0), ensuite le Brésil dans un match épique (1-1 aux prolongations, 4-3 aux tir aux buts) et sont ensuite une nouvelle fois battus comme en 1982 par les allemands. Elle termine néanmoins 3eme après avoir battu la Belgique dans la petite finale.
Finale
Le 29 juin 1986, Stade Aztèque, Mexico
Argentine bat RFA 3-2
Buts : Brown (23e, 56e), Burruchaga (88e) ; K.H. Rummenige (74e), Völler (82e)
114 600 spectateurs. Arbitre : M. Arppi Filho (BRA), assisté de MM. Fredriksson (SWE ) et Ulloa (CRC)
Argentine : Pumpido - Brown, Cuciuffo, Ruggeri, Olarticoechea - Giusti, Batista, Maradona (c), Enrique - Burruchaga (Trobbiani 89e), Valdano
RFA : Schumacher - Jakobs, Berthold, K.H. Förster, Briegel - Matthäus, Brehme, Magath (D. Hoeness 63e), Eder - K.H. Rummenigge (c), K. Allofs (Völler 46e)
Les champions du monde : Daniel Batista, Ricardo Bochini, Claudio Borghi, Jose Luis Brown, Jorge Burruchaga
, Nestor Clausen, Jose Luis Cuciuffo, Hector Enrique, Oscar Garre, Ricardo Giusti, Diego Maradona
, Julio Olarticoechea, Pedro Pasculli, Jose Ponce, Nery Pumpido, Oscar Ruggeri
, Carlos Tapia, Marcelo Trobbiani, Jorge Valdano
.
Non utilisés : Sergio Almiron, Luis Alberto Islas et Hector Zelada.
Entraîneur : Carlos Bilardo
NB : Juan Barbas, Julian Camino, Oscar Dertycia, Ubaldo Fillol
, Ricardo Careca, Alberto Marcico, Daniel Pasarella, Miguel Angel Russo et Enzo Trossero ont participé aux matches qualificatifs mais pas à la phase finale.
Match pour la 3eme place
Le 28 juin 1986, Estadio Cuauhtemoc, Puebla
France bat Belgique 4-2 a.p.
Buts : Ferreri (27e), Papin (43e), Genghini (104e), Amoros (111e pen.) ; Ceulemans (11e), Claesen (73e)
21 500 spectateurs. Arbitre : M. Courtney (ENG) assisté de MM. Silva (CHI) et Al-Sharif (SYR)
France : Rust - Bibard, Le Roux (Bossis 56e), Battiston (c), Amoros - Tigana (Tusseau 84e), Genghini, Vercruysse, Ferreri - Papin, Bellone
Belgique : Pfaff - Gerets, Grun, Demol, Renquin (F. van der Elst 64e) - Vervoort, Scifo (L. van der Elst 46e), Mommens - Ceulemans (c), Claesen, Veyt
Statistiques
Dates : 31 mai au 29 juin 1986.
Nombre d'équipes : 24 - Nombre total de buts : 132 - Moyenne de buts par match : 2,54 - Nombre de matches : 52 - Matches nul : 14 - Matches avec prolongation : 5 - Nombre de spectateurs : 2 407 431 - Moyenne de spectateurs par match : 46 297 -Affluence maximum : Mexique/Paraguay & Argentine/RFA 114 000 - Affluence minimum : Hongrie/Canada 13 800 - Penalty : 12 - Buts contre son camp : 1
Italie 1990
1990
Cette Coupe du Monde est caractérisée par un football peu passionnant, très défensif, se terminant la plupart du temps par des séances de tirs au but. Même la finale entre le champion du monde en titre, l’Argentine et la RFA ne suscita aucune émotion ! 112 équipes se disputent la phase éliminatoire. C’est le Cameroun et son vieux ‘lion’ Roger Milla
qui déchaîne les passions. Agé de 38 ans et 20 jours, il sort de sa retraite et devient, en marquant le but contre la Roumanie, le buteur le plus âgé de l’histoire de la Coupe du Monde. Leur chemin est stoppé net par les Anglais en quart de finale (2-3 alors qu’ils mènent 2-1 à dix minutes de la fin du match !).
L’Italien Salvatore Schillaci (surnommé Toto), joueur à la Juventus de Turin, mène l’Italie presque tout seul en demi-finale, inscrit à lui seul six buts terminant meilleur buteur du tournoi ! C’est l’Argentine qui remporte le match aux tirs au but et se retrouve une nouvelle fois en finale, face à l’Allemagne, qui compte dans ses rangs des joueurs remarquables comme Matthaus, Brehme, Völler, Klinsmann, Hässler et Köhler. C’est la Mannschaft de Beckenbauer qui remporte son troisième titre mondial rejoignant ainsi le club très fermé des triples vainqueurs de la Coupe du Monde.
Finale
Le 8 juillet 1990, Stadio Olimpico, Roma
RFA bat Argentine 1-0
But : Brehme (85e pen.)
73 603 spectateurs. Arbitre : M. Codesal (MEX) assisté de MM. Listkiewicz (POL) et Perez (COL)
Allemagne : Illgner - Augenthaler, Berthold (Reuter 75e), Kohler, Buchwald - Brehme, Hässler, Matthäus (c), Littbarski - Klinsmann, Völler
Argentine : Goycoechea - Simon, Serrizuela, Ruggeri (Monzon 46e), Troglio - Sensini, Burruchaga (Calderon 54e), Basualdo, Lorenzo - Dezotti, Maradona (c)
Les champions du monde : Klaus Augenthaler
, Uwe Bein, Thomas Berthold
, Andreas Brehme
, Guido Buchwald
, Thomas Hässler, Bodo Illgner
, Jürgen Klinsmann, Jürgen Kohler, Pierre Littbarski
, Lothar Matthäus ( capitaine ), Andreas Möller, Hans Pflügler, Stefan Reuter, Karl-Heinz Riedle
, Olaf Thon, Rudi Völler.
Non utilisés: Raimond Aumann, Günter Hermann, Andreas Köpke et Paul Steiner
Entraîneur : Franz Beckenbauer
NB : Hans Dorfner, Dieter Eckstein, Holger Fach, Armin Görtz, Frank Mill, Alois Reinhardt et Wolfgang Rolff ont participé aux matches qualificatifs mais pas à la phase finale.
Match pour la 3e place
Le 7 juin 1990, Stadio San Nicola, Bari
Italie bat Angleterre 2-1
Buts R. Baggio (70e), Schillaci (85e pen.) ; Platt (80e)
51 426 spectateurs. Arbitre : M. Quiniou (FRA) assisté de MM. Hansal (ARG) et Röthlisberger (SUI)
Italie : Zenga - Bergomi (c), Ferrara, F. Baresi, Maldini - de Agostini (Berti 68e), Vierchowod, Giannini (Ferri 90e), Ancelotti - R. Baggio, Schillaci
Angleterre : Shilton (c) - Stevens, Walker, Wright (Waddle 73e), Dorigo - Parker, Steven, McMahon (Webb 73e), Platt - Lineker, Beardsley
Statistiques
Dates : 8 juin au 8 juillet 1990
Nombre d'équipes : 24 - Nombre total de buts : 115 - Moyenne de buts par match : 2,21 - Nombre de matches : 52 - Matches nul : 12 - Matches avec prolongation : 8 - Nombre de spectateurs : 2 517 348 - Moyenne de spectateurs par match : 48 411 - Affluence maximum : RFA/Yougoslavie 74 765 - Affluence minimum : Yougoslavie/Emirats Arabes 27 833 - Penalty : 13 - Buts contre son camp : 0
Etats-Unis 1994
1994
C’est dans le pays du basket, du baseball et du football américain, que la 15eme édition de la Coupe du Monde de "soccer" a lieu. 147 pays participent aux éliminatoires incluant l’Afrique du Sud, exclue pendant de nombreuses années. Parmi les grands absents, le champion d’Europe en titre, le Danemark, le Portugal, l’Angleterre et la France. Le Camerounais Roger Milla
confirme son titre de buteur le plus âgé en marquant un but à 42 ans et 1 mois !
Le grand scandale vient de la star argentine Diego Maradona
, contrôlé positif et ensuite exclu de la compétition. Une autre tragédie survient quand le défenseur Andres Escobar est assassiné peu après son retour en Colombie parce qu’il avait inscrit un but contre son camp contre les Etats-Unis.
La finale se dispute entre deux triples champions du monde, l’Italie et le Brésil. Pour la première fois de l’histoire de la Coupe du Monde, on a recours aux tirs au but pour désigner le vainqueur. C’est finalement le Brésil avec Dunga, Bebeto, Mazinho et Romario, qui devient pour la quatrième fois de champion du monde !
Finale
le 17 juillet 1994, Rose Bowl, Pasadena
Brésil bat Italie 0-0 a.p. (3-2 aux t.a.b)
94 194 spectateurs. Arbitre : M. Puhl (HON) assisté de MM. Zarate (PAR) et Fanaei (IRN)
Tirs au but :
Brésil : réussi par Romario, Branco, Dunga ; manqué par Marcio Santos
Italie : réussi par Albertini, Evani ; manqué par F. Baresi, Massaro, R. Baggio
Brésil : Taffarel - Jorginho (Cafu 22e), Aldair, Marcio Santos, Branco - Mazinho, Mauro Silva, Dunga (c), Zinho (Viola 106e) - Bebeto, Romario
Italie : Pagliuca - Mussi (Apolloni 34e), F. Baresi (c), Maldini, Benarrivo - Berti, D. Baggio (Evani 95e), Albertini, Donadoni - R. Baggio, Massaro
Les champions du monde : Aldair - Nascimento dos Santos, Bebeto - Jose Roberto Gama de Oliveira, Branco - Claudio Ibrahim Vaz Leal, Cafu - Marcos Evangelista de Moraes, Dunga - Carlos Caetano Bledorn Verri ( capitaine ), Jorginho - Jorge Jose de Amorim Campos, Leonardo Nascimento de Araujo, Marcio Roberto dos Santos, Mauro da Silva Gomes, Mazinho - Lomar do Nascimento, Muller - Luiz Antonio Correa da Costa, Paulo Sergio Silvestre Nascimento, Rai Souza Vieira de Oliveira, Ricardo Roberto Barreto da Rocha, Romario de Souza Faria, Claudio Taffarel
, Viola - Paulo Sergio Rosa, Zinho - Crizam Cesar de Oliveira Jr.
Non utilisés : Gilmar Luiz Rinaldi, Ronaldao - Ronaldao - Rodrigues de Jesus, Ronaldo - Luiz Nazario de Lima et Zetti - Annelino Donizetti Ouagliato.
Entraîneur : Carlos Alberto Parreira
NB : Antonio Carlos, Careca, Elivelton, Evair, Luiz Henrique, Palhinha, Ricardo Gomes, Valber et Valdeir ont participé aux matches qualificatifs mais pas à la phase finale.
Match pour la 3e place
Le 16 juillet 1994, Rose Bowl, Pasadena
Suède bat Bulgarie 4-0
Buts : Brolin (8e), Mild (30e), Larsson (37e), K. Andersson (39e)
91 500 spectateurs. Arbitre : M. Bujsaim (UAE) assisté de MM. Thaibi (ARG) et Rharib (MAR)
Suède : Ravelli - Nilsson (c), P. Andersson, Björklund, Kamark - Schwarz, Mild, Ingesson, Brolin - Larsson (Limpar 79e), K. Andersson
Bulgarie : Mihailov (c) (Nikolov 46e) - Yankov, Kiriakov, Houbtchev, Ivanov (Kremenljev 42e) - Balakov, Letchkov, Sirakov (Yordanov 46e), Tzvetanov - Kostadinov, Stoichkov
Statistiques
Dates : 12 juin au 17 juillet 1994
Nombre d'équipes : 24 - Nombre total de buts : 14 - Moyenne de buts par match : 2,71 - Nombre de matches : 52 - Matches nul : 11 - Matches avec prolongation : 4 - Nombre de spectateurs : 3 587 538 - Moyenne de spectateurs par match : 68 991 - Affluence maximum : Brésil/Italie 94 194 - Affluence minimum : Nigeria/Bulgarie 44 132 - Penalty : 15 - Buts contre son camp : 1
France 1998
1998
La 16ème Coupe du Monde de la FIFA, la dernière du 20e siècle, est un immense succès. 32 équipes y participent , réparties en 8 groupes avec 64 matches joués dans toute la France. Le match d’ouverture et la finale sont disputés dans le magnifique Stade de France.
Le Brésil, futur finaliste, a battu le Chili, le Danemark et les Pays-Bas. Quant aux Bleus, ils ont parcouru le premier tour dans un sans-faute. Puis ils rencontrent le Paraguay de Chilavert et doivent leur salut au premier but en or de l'histoire de la Coupe du Monde, marqué par le défenseur Laurent Blanc
à la 113e minute !
Et c’est le jour de gloire des Français, le 12 juillet : la finale contre le Brésil. Un premier but est marqué à la 27e minute par Zinédine Zidane suivi par un deuxième pendant les arrêts de jeu de la première mi-temps. A la 68e minute, réduite à dix joueurs ( Marcel Desailly
a été expulsé), Emmanuel Petit
signe le troisième but.
Toute la population de France est en exaltation, les Champs Elysées sont envahis par plus d’un million de personnes pour fêter ce premier titre de champion du monde.
Bon à savoir :
France 98 a été regardée par quelque 37 milliards de téléspectateurs (audience cumulée), dont environ 1,3 milliards pour la seule finale. Cette édition fut un immense succès, les 64 matches ont été suivis par plus de 2,7 millions de spectateurs !
Finale
Le 12 juillet 1998, Stade de France, Saint-Denis
France bat Brésil 3-0
Buts : Zidane (27e, 45e), Petit (90e)
75 000 spectateurs. Arbitre : M. Belquola (MAR) assisté de MM. Warren (ENG) et Salie (RSA)
France : Barthez - Thuram, Desailly, Leboeuf, Lizarazu - Karembeu (Boghossian 56e), Deschamps (c), Zidane, Petit, Djorkaeff (Vieira 74e) - Guivarc'h (Dugarry 66e)
Brésil : Taffarel - Cafu, Junior Baiano, Aldair, Roberto Carlos - Cesar Sampaio (Edmundo 57e), Leonardo (Denilson 46e), Dunga (c), Rivaldo - Ronaldo, Bebeto
Les champions du monde : Fabien Barthez
, Laurent Blanc
, Alain Boghossian
, Vincent Candela
, Marcel Desailly
, Didier Deschamps
( capitaine ), Bernard Diomède, Youri Djorkaeff
, Christophe Dugarry
, Stephane Guivarc’h, Thierry Henry
, Christian Karembeu
, Franck Leboeuf, Bixente Lizarazu
, Emmanuel Petit
, Robert Pires, Lilian Thuram
, David Trezeguet
, Patrick Vieira
, Zinédine Zidane.
Non utilisés : Lionel Charbonnier
et Bernard Lama
Entraîneur : Aimé Jacquet
Match pour la 3eme place
Le 11 juillet 1998, Parc des Princes, Paris
Croatie bat Pays-Bas 2-1
Buts : Prosinecki (13e), Suker (35e) ; Zenden (21e)
45 500 spectateurs. Arbitre : M. Gonzalez (PAR) assisté de MM. Zammit (MLT) et Fred (VAN)
Croatie : Ladic - Bilic, Soldo, Stimac, Stanic - Boban (c) (Vlaovic 77e), Jarni, Prosinecki (Tudor 85e), Asanovic - Jurcic, Suker
Pays-Bas : Van der Sar - Stam, Numan, F. de Boer (c) - Davids, Jonk, Cocu (Overmars 46e), Seedorf - Kluivert, Bergkamp (van Hooijdonk 57e), Zenden
Statistiques
Dates : 10 juin au 12 juillet 1998
Nombre d'équipes : 32 - Nombre de buts : 171 - Moyenne de buts par match : 2,67 - Nombre de matches : 64 - Matches nul : 19 - Matches avec prolongation : 4 - Nombre de spectateurs : 2 785 100 - Moyenne de spectateurs par match : 43 517 - Affluence maximum : Brésil/Ecosse, Italie/Autriche & France/Arabie Saoudite : 80 000 - Affluence minimum : Paraguay/Bulgarie 27 650 - Penalty : 16 - Buts contre son camp : 4
Japon et Corée 2002
2002
Pour la première fois, une Coupe du Monde est organisée par deux pays, le Japon et la Corée du Sud. La première grande surprise vient du tenant de titre, la France qui s’est fait éliminée dès le premier tour par le Sénégal, le chouchou du public, et cela sans avoir marqué le moindre but ! Quant à la deuxième surprise, elle vient de la Corée du Sud qui bat l’Italie (2-1) en huitièmes de finale puis l’Espagne en quart de finale. Battu en demi-finale par l’Allemagne, le peuple coréen montra à chaque fois son enthousiasme en envahissant les rues par une véritable marée rouge. La Turquie fut l’une des grandes révélations de cette Coupe du Monde. Passant au second tour après avoir battu le Costa Rica, elle élimina ensuite le Japon et le Sénégal et s’inclina face au Brésil dans un match très serré. Elle terminera troisième au dépens de la Corée du Sud. En finale, deux puissances du football mondial se retrouvent, l’Allemagne et le Brésil. Grâce à un déboulé de Kleberson et une magnifique feinte de Rivaldo, la grande star Ronaldo marque deux buts. Le Brésil remporte ainsi son cinquième titre de champion du monde !
Finale
Le 30 juin 2002, International Stadium, Yokohama
Brésil bat Allemagne 2-0
Buts : Ronaldo (67e, 79e)
69 029 spectateurs. Arbitre : M. Collina (ITA) assisté de MM. Lindberg (SUE) et Sharp (ANG)
Brésil : Marcos - Cafu (c), Lucio, Roque Junior, Edmilson, Roberto Carlos - Gilberto Silva, Kleberson, Rivaldo, Ronaldo (Denilson 90e), Ronaldinho (Juninho Paulista 85e)
Allemagne : Kahn (c) - Linke, Ramelow, Metzelder - Hamann, Jeremies (Asamoah 77e), Bode (Ziege 84e), Schneider, Frings - Neuville, Klose (Bierhoff 74e)
Les champions du monde : Anderson Polga, Juliano Belleti, Cafu (capitaine), Denilson, Edilson, Edmilson, Gilberto Silva, Juninho Paulista, Junior, Kaka, Jose Kleberson, Lucio, Luizao, Marcos, Ricardinho, Rivaldo, Roberto Carlos, Ronaldinho, Ronaldo, Vampeta.
Non utilisés : Dida et Rogerio Ceni
Entraîneur : Luiz Felipe Scolari
NB : Emerson Leao, Jose Candido Candinho et Wanderley Luxemburgo ont été entraîneurs pendant les matches qualificatifs mais pas pendant la phase finale.
- Adriano, Aldair, Alex, Marcos Asuncao, Athirson, Batista, Cesar Sampaio, Cleber, Djalminha, Francisco Donizete, Edmundo, Emerson, Elias, Evanilson, Flavio Conceicao, Franca, Guilherme, Juninho, Romario, Savio, Silvinho, Zago, Ze Roberto ont participé aux matches qualificatifs mais pas à la phase finale.
Match pour la 3eme place
Le 29 juin 2002, Daegu Stadium, Daegu
Turquie bat Corée du Sud 3-2
Buts : Sukur (1e), Ilhan (13e, 32e) ; E-Y Lee (9e), Song (90e+3)
63 483 spectateur. Arbitre : M. Mane (KOW) assisté de MM. Al Traifi (ARS) et Vergara (CAN)
Turquie : Rustu - Bulent, Fatih, Alpay - Ozalan, Tugay, Basturk (Tayfur 86e), Ergun, Emre (Unsal 41e), Davala (Okan 76e) - Ilhan, Sukur (c)
Corée du Sud : W-J Lee - M-S Lee, M-B Hong (c) (T-Y Kim 46e), S-C Yoo - Y-Pyo Lee, E-Y Lee (Cha 65e), Ahn, J-S Park, Song - Seol (Choi 79e), C-S Lee
Statistiques
Dates : 31 mai au 30 juin 2002
Nombre d'équipes : 32 - Nombre de buts : 161 - Moyenne de buts par match : 2,52 - Nombre de matches : 64 -
Matches nul : 16 - Matches avec prolongation : 5 - Nombre de spectateurs : 2 705 197 - Moyenne de spectateurs par match : 42 269 - Affluence maximum : Brésil/Allemagne 69 029 - Affluence minimum : Espagne/Paraguay 24 000 -
Penalty : 13 - Buts contre son camp : 3
Allemagne 2006
2006
La coupe du monde de football de 2006 est la dix-huitième édition de la Coupe du Monde de football et s'est déroulée du 9 juin au 9 juillet 2006 en Allemagne, qui a été choisie en juin 2000 comme organisateur .
De décembre 2003 à novembre 2005, les sélections nationales de 198 pays participent à une phase de qualification, dans le but de désigner les 31 équipes pouvant prendre part au tournoi final en compagnie de l'Allemagne, qualifiée d'office en tant que pays organisateur.
Le 9 juillet 2006, Olympiastadion, Berlin
Italie bat France 1-1 a.p. (5-3 aux t.a.b.)
Buts : Materazzi (19e) ; Zidane (7e pen.)
69 000 spectateurs. Arbitre : M. Elizondo (ARG)
Tirs au but :
Italie : réussi par Pirlo, Materazzi, De Rossi, Del Piero et Grosso
France : réussi par Wiltord, Abidal et Sagnol pour la France ; manqué par Trezeguet
Italie : Buffon - Zambrotta, Cannavaro (c), Materazzi, Grosso - Camoranesi (Del Piero 86e), Gattuso, Pirlo - Perrotta (Iaquinta 61e), Totti (De Rossi 61e), Toni
France : Barthez - Sagnol, Gallas, Thuram, Abidal - Vieira (Diarra 56e), Makelele - Ribéry (Trezeguet 100e), Zidane (c), Malouda - Henry (Wiltord (107e)
Les champions du monde : Marco Amelia, Simon Barone, Andrea Barzagli
, Gianluigi Buffon
, Lauro German Camoranesi, Fabio Cannavaro
, Daniele De Rossi, Alessandro Del Piero
, Gennaro Gattuso
, Alberto Gilardino
, Fabio Grosso
, Vincenzo Iaquinta, Filippo Inzaghi
, Marco Materazzi
, Alessandro Nesta
, Massima Oddo, Simone Perrotta, Angelo Peruzzi
, Andrea Pirlo
, Luca Toni
, Francesco Totti
, Cristian Zaccardo, Gianluca Zambrotta
Non utilisés : Amelia (g), Peruzzi (g), Barzagli, Oddo, Zaccardo, Barone, Gilardino, F. Inzaghi
Entraîneur : Marcello Lippi
Match pour la 3eme place
Le 8 juillet 2006, Gottlieb Daimler stadion à Stuttgart
Allemagne bat Portugal 3-1
Buts : Schweinsteiger (56e et 78e), Petit (60ecsc) : Nuno Gomes (88e)
52 000 spectateur. Arbitre : M. Kamikawa JPN
Allemagne : Kahn (c) – Nowotny – Metzelder, Lahm, Jansen – Frings, Kehl, Schneider, Schweinsteiger (Hitzlsperger 79e)– Podolski (Hanke 71e), Klose (Neuville 65e)
Portugal : Ricardo – Ricardo Costa, Fernando Meira, Paulo Ferreira, Nuno Valente (Nuno Gomes 69e)– Costinha (Petit 46e), Deco, Maniche – C. Ronaldo, Simao, Pauleta (c) (Figo 77e)
Statistiques
Dates : 9 juin au 9 juillet 2006
Nombre d'équipes : 32 - Nombre de buts : 117 - Moyenne de buts par match : 2,30 - Nombre de matches : 64 -
Matches nul : 9 - Matches avec prolongation : 5 - Nombre de spectateurs : 3 353 531 - Moyenne de spectateurs par match : 52 399 - Affluence maximum : Argentine/Allemagne 72 000 - Affluence minimum : Pays-Bas – Serbie Montenégro 37 216 - Penalty : 13 - Buts contre son camp : 4
Premier titre mondial pour l'Espagne dans une finale inédite en Coupe du monde. La Furia Roja a été couronnée deux ans après avoir remporté le championnat d'Europe. Les Pays-Bas échouent une nouvelle fois en finale d’un Mondial après leurs deux échecs en 1974 et 1978.
Du 11 juin au 11 juillet 2010.
Villes d'accueil : Bloemfontein, Durban, Johannesburg, Le Cap, Nelspruit, Polokwane, Port Elizabeth, Pretoria et Rustenburg
Equipes qualifiées : Afrique du Sud, Algérie, Allemagne, Angleterre, Argentine, Australie, Brésil, Cameroun, Chili, Corée du Nord, Corée du Sud, Côte d'Ivoire, Danemark, Espagne, Etats-Unis, France, Ghana, Grèce, Honduras, Italie, Japon, Mexique, Nigeria, Nouvelle-Zélande, Paraguay, Pays-Bas, Portugal, Serbie, Slovaquie, Slovénie, Suisse, Uruguay.
Phase de groupes
Les deux premiers de chaque groupe sont qualifiés pour les Huitièmes de finale. En cas d'égalité, les équipes sont départagées à la différence de but générale.
Match pour la 3eme place
Le 10 juillet à Port Elizabeth
Allemagne bat Uruguay 3-2
Buts : Müller (19e), Jansen (56e), Khedira (82e) ; Cavani (28e), Forlan (51e)
36 254 spectateurs. Arbitre : M. Archundia (MEX)
Allemagne : Butt - Boateng, Friedrich, Mertesacker, Aogo - Müller, Khedira, Schweinsteiger, Ozil (Tasci 90e), Jansen (Kroos 81e) - Cacau (Kiessling 74e)
Uruguay : Muslera - Fucile, Lugano, Godin, Caceres - M. Pereira, Perez (Gargano 77e), Arevalo, Cavani (Abreu 88e)- Forlan, Suarez
Finale
Le 10 juillet à Johannesburg
Espagne bat Pays-Bas 1-0 a.p.
But : Iniesta (116e)
84 490 spectateurs. Arbitre : M. Webb (ANG)
Espagne : Casillas - Ramos, Pique, Puyol, Capdevila - Busquets, Xabi Alonso
(Fabregas 87e), Xavi - Pedro (Navas 60e), Villa (Torres 106e), Iniesta
Pays-Bas : Stekelenburg - Van der Wiel, Heitinga, Mathijsen, Van Bronckhorst (Braafheid 105e) - Robben, Van Bommel, Sneijder, De Jong (Van der Vaart 99e), Kuyt (Elia 71e) - Van Persie
L'effectif de l'Espagne
Gardiens
Iker Casillas
(7 matches)
Jose Reina
Victor Valdes
Défenseurs
Raul Albiol
Alvaro Arbeloa
(1 match)
Joan Capdevila
(7 matches)
Carlos Marchena
(3 matches)
Gerard Pique
(7 matches)
Carles Puyol
(7 matches - 1 but)
Sergio Ramos
(7 matches)
Milieux de terrain
Xabi Alonso
(7 matches)
Sergio Busquets
(7 matches)
Cesc Fabregas
(4 matches)
Andres Iniesta
(6 matches - 2 buts)
Javi Martinez
(1 match)
Jesus Navas
(3 matches)
David Silva
(2 matches)
Xavi (7 matches)
Attaquants
Fernando Llorente
(1 match)
Juan Manuel Mata (1 match)
Pedro (5 matches)
Fernando Torres
(7 matches)
David Villa
(7 matches - 5 buts)
Entraineur
Vicente Del Bosque
NB : Bojan, Diego Capel, Santiago Cazorla, Daniel Güiza, Andoni Iraola, Juanito, Nacho Monreal, Alvaro Negredo, Albert Riera, Marcos Senna ont participé aux matches qualificatifs mais pas à la phase finale.
L'effectif des Pays-Bas
Gardiens
Sander Boschker
Maarten Stekelenburg
Michel Vorm
Défenseurs
Khalid Boulahrouz
Edson Braafheid
Johnny Heitinga
Joris Mathijsen
Andre Ooijer
Giovanni Van Bronckhorst
Gregory Van der Wiel
Milieux de terrain
Ibrahim Afellay
Nigel De Jong
Demy de Zeeuw
Stijn Schaars
Wesley Sneijder
Mark Van Bommel
Rafael Van der Vaart
Demy de Zeeuw
Attaquants
Ryan Babel
Eljero Elia
Klaas-Jan Huntelaar
Dirk Kuyt
Arjen Robben
Robin Van Persie
Entraineur
Bert Van Marwijk
L'effectif de l'Allemagne
Gardiens
Hans-Jörg Butt
Manuel Neuer
Tim Wiese
Défenseurs
Dennis Aogo
Holger Badstuber
Jerome Boateng
Arne Friedrich
Marcell Jansen
Philipp Lahm
Per Mertesacker
Serdar Tasci
Milieux de terrain
Sami Khedira
Toni Kroos
Marko Marin
Thomas Müller
Bastian Schweinsteiger
Piotr Trochowski
Mesut Özil
Attaquants
Jeronimo Cacau
Mario Gomez
Stefan Kiessling
Miroslav Klose
Lukas Podolski
Entraineur
Joachim Löw
Ballon d’Or : Diego Forlan
(Uruguay)
Ballon d'argent : Wesley Sneijder
(Pays-Bas)
Ballon de bronze : David Villa
(Espagne)
Soulier d'Or : Thomas Müller (Allemagne) 5 buts (3 passes décisives)
Soulier d'argent : David Villa
(Espagne) 5 buts (1 passe décisive et 635 minutes jouées)
Soulier de bronze : Wesley Sneijder
(Pays-Bas) 5 buts (1 passe décisive et 652 Minutes jouées)
Gant d'or : Iker Casillas
(Espagne)
Meilleur jeune joueur : Thomas Müller (Allemagne)
Statistiques
Dates : 11 juin au 11 juillet 2010
Nombre d'équipes : 32 - Nombre de buts : 145 - Moyenne de buts par match : 2,27 - Nombre de matches : 64 - Matches nul : 16 - Matches avec prolongation : 4 - Nombre de spectateurs : 3 125 491 - Moyenne de spectateurs par match : 48 835 - Affluence maximum : Afrique du Sud/Mexique et Espagne/Pays-Bas 84 490 - Affluence minimum : Nouvelle-Zélande/Slovaquie 23 871 - Penalty : 9 - Buts contre son camp : 2
Quatrième titre mondial pour l'Allemagne qui bat, comme en 1990, l'Argentine en finale. Le Brésil, pays hôte, ne termine qu'à une décevante quatrième place.
Du 12 juin au 13 juillet 2014.
Villes d'accueil : Belo Horizonte, Brasilia, Cuiaba, Curitiba, Fortaleza, Manaus, Natal, Porto Alegre, Recife, Rio De Janeiro, Salvador de Bahia et Sao Paulo.
Equipes qualifiées : Algérie, Allemagne, Angleterre, Argentine, Australie, Belgique, Bosnie-Herzégovine, Brésil, Cameroun, Chili, Colombie, Corée du Sud, Costa Rica, Côte d'Ivoire, Croatie, Equateur, Espagne, Etats-Unis, France, Ghana, Grèce, Honduras, Iran, Italie, Japon, Mexique, Nigeria, Pays-Bas, Portugal, Russie, Suisse, Uruguay.
Phase de groupes
Les deux premiers de chaque groupe sont qualifiés pour les Huitièmes de finale. En cas d'égalité, les équipes sont départagées à la différence de but générale.
Match pour la 3eme place
Le 12 juillet à Brasilia
Pays-Bas bat Brésil 3-0
Buts : Van Persie (3e pen.), Blind (17e), Wijnaldum (90e+1)
68 034 spectateurs. Arbitre : M. Haimoudi (ALG)
Pays-Bas : Cillessen (Vorm 90e+3) - De Vrij, Vlaar, Martins Indi - Clasie (Veltman 90e), Wijnaldum, De Guzman, Blind (Janmaat 70e) - Kuyt, Van Persie, Robben
Brésil : Julio Cesar - Maicon, Thiago Silva, David Luiz, Maxwell - Ramires (Hulk 73e), Luiz Gustavo (Fernandinho 46e), Paulinho (Hernanes 57e), Oscar - Willian, Jo
Finale
Le 13 juillet à Rio de Janeiro
Allemagne bat Argentine 1-0 a.p.
But : Götze (113e)
74 378 spectateurs. Arbitre : M. Rizzoli (ITA)
Allemagne : Neuer - Lahm, Boateng, Hummels, Höwedes - Kramer (Schürrle 31e), Kroos, Schweinsteiger - Müller, Klose (Götze 88e), Ozil (Mertesacker 120e)
Argentine : Romero - Zabaleta, Demichelis, Garay, Rojo - Biglia, Mascherano, Perez (Gago 86e) - Higuain (Palacio 78e), Messi, Lavezzi (Agüero 46e)
L'effectif de l'Allemagne
Gardiens
Manuel Neuer
(7 matches)
Roman Weidenfeller
Ron-Robert Zieler
Défenseurs
Jerome Boateng (7 matches)
Erik Durm
Matthias Ginter
Kevin Grosskreutz
Benedikt Hoewedes (7 matches)
Mats Hummels (6 matches - 2 buts)
Philipp Lahm
(7 matches)
Per Mertesacker (6 matches)
Shkodran Mustafi (3 matches)
Milieux de terrain
Julian Draxler (1 match)
Sami Khedira
(5 matches - 1 but)
Christoph Kramer (3 matches)
Toni Kroos
(7 matches - 2 buts)
Mesut Ozil
(7 matches - 1 but)
Bastian Schweinsteiger
(6 matches)
Attaquants
Mario Götze (6 matches - 2 buts)
Miroslav Klose
(5 matches - 2 buts)
Thomas Müller (7 matches - 5 buts)
Lukas Podolski
(2 matches)
André Schürrle (6 matches - 3 buts)
Entraineur
Joachim Löw
NB : Holger Badstuber, Sven Bender, Ilkay Gündogan, Marcell Jansen, Max Kruse, Marco Reus, Sidney Sam, Marcel Schmelzer ont participé aux matches qualificatifs mais pas à la phase finale.
L'effectif de l'Argentine
Gardiens
Mariano Andujar
Agustin Orion
Sergio Romero
Défenseurs
Jose Maria Basanta
Hugo Campagnaro
Martin Demichelis
Federico Fernandez
Ezequiel Garay
Marcos Rojo
Pablo Zabaleta
Milieux de terrain
Ricardo Alvarez
Lucas Biglia
Augusto Fernandez
Fernando Gago
Javier Mascherano
Enzo Perez
Maxi Rodriguez
Attaquants
Sergio Agüero
Angel Di Maria
Gonzalo Higuain
Ezequiel Lavezzi
Lionel Messi
Rodrigo Palacio
Entraineur
Alejandro Sabella
L'effectif des Pays-Bas
Gardiens
Jasper Cillessen
Tim Krul
Michel Vorm
Défenseurs
Daley Blind
Stefan De Vrij
Daryl Janmaat
Terence Kongolo
Bruno Martins Indi
Joël Veltman
Paul Verhaegh
Ron Vlaar
Milieux de terrain
Jordy Clasie
Jonathan De Guzman
Nigel De Jong
Leroy Fer
Wesley Sneijder
Georginio Wijnaldum
Attaquants
Memphis Depay
Klaas-Jan Huntelaar
Dirk Kuyt
Jeremain Lens
Arjen Robben
Robin Van Persie
Entraineur
Louis Van Gaal
NB : Bojan, Diego Capel, Santiago Cazorla, Daniel Güiza, Andoni Iraola, Juanito, Nacho Monreal, Alvaro Negredo, Albert Riera, Marcos Senna ont participé aux matches qualificatifs mais pas à la phase finale.
Ballon d’Or : Lionel Messi
(Argentine)
Ballon d'argent : Thomas Müller (Allemagne)
Ballon de bronze : Arjen Robben
(Pays-Bas)
Soulier d'Or : James Rodriguez (Colombie) 6 buts
Soulier d'argent : Thomas Müller (Allemagne) 5 buts (3 passes décisives)
Soulier de bronze : Neymar (Brésil) 4 buts (1 passe décisive en 457 minutes jouées)
Gant d'or : Manuel Neuer
(Allemagne)
Meilleur jeune joueur : Paul Pogba
(France)
Statistiques
Dates : 12 juin au 13 juillet 2014
Nombre d'équipes : 32 - Nombre de buts : 171 - Moyenne de buts par match : 2,67 - Nombre de matches : 64 - Matches nul : 13 - Matches avec prolongation : 8 - Nombre de spectateurs : 3 429 888 - Moyenne de spectateurs par match : 53 592 - Affluence maximum : Argentine/Bosnie-Herzégovine et Allemagne/Argentine 74 738 - Affluence minimum : Russie/Corée du Sud 37 603 - Penalty : 12 - Buts contre son camp : 5
Vingt ans après son premier sacre en 1998, l'équipe de France décroche sa deuxième étoile de championne du monde en dominant la Croatie lors d'une folle finale (4-2). La Russie, pays hôte, est éliminé en quart de finale.
Du 12 juin au 13 juillet 2018.
Villes d'accueil : Ekaterinbourg, Kaliningrad, Kazan, Moscou, Nijni Novogorod, Rostov-sur-le-Don, Saint-Petersbourg, Samara, Saransk, Sotchi et Volgograd.
Equipes qualifiées : Allemagne, Angleterre, Arabie Saoudite, Argentine, Australie, Belgique, Brésil, Colombie, Corée du Sud, Costa Rica, Croatie, Danemark, Egypte, Espagne, France, Iran, Islande, Japon, Maroc, Mexique, Nigeria, Panama, Pologne, Portugal, Pérou, Russie, Sénégal, Serbie, Suède, Suisse, Tunisie et Uruguay.
Phase de groupes
Les deux premiers de chaque groupe sont qualifiés pour les Huitièmes de finale. En cas d'égalité, les équipes sont départagées à la différence de but générale puis si besoin, au Nombre de cartons jaunes ou rouges..
Match pour la 3eme place
Le 14 juillet 2018 à Saint-Petersbourg
Belgique bat Angleterre 2-0
Buts : Meunier (4e), E. Hazard (82e)
64 406 spectateurs. Arbitre : M. Faghani (IRN)
Belgique : Courtois - Alderweireld, Kompany, Vertonghen - Meunier, De Bruyne, Witsel, Tielemans (Dembélé 78e), Chadli (Vermaelen 39e) - Lukaku (Mertens 60e), E. Hazard
Angleterre : Pickford - Jones, Maguire, Stones - Trippier, Loftus-Cheek (Alli 84e), Dier, Delph, Rose (Lingard 46e) - Kane, Sterling (Rashford 46e)
Finale
Le 15 juillet 2018 à Moscou (Stade Loujniki)
France bat Croatie 4-2
Buts : Mandzukic (19e csc), Griezmann (38e pen.), Pogba (59e), Mbappé (65e) ; Perisic (28e), Mandzukic (69e)
78 011 spectateurs. Arbitre : M. Pitana (ARG)
France : Lloris - Pavard, Varane, Umtiti, Hernandez - Mbappé, Pogba, Griezmann, Kanté (N'Zonzi 55e), Matuidi (Tolisso 73e) - Giroud (Fekir 81e)
Croatie : Subasic - Vrsaljko, Lovren, Vida, Strinic (Pjaca 82e) - Rebic (Kramaric 71e), Rakitic, Brozovic, Modric, Perisic - Mandzukic
L'effectif de la France
Gardiens
Alphonse Aréola (0 match)
Hugo Lloris
(6 matches)
Steve Mandanda
(1 match)
Défenseurs
Lucas Hernandez (7 matches)
Presnel Kimpembe (1 match)
Benjamin Mendy (1 match)
Benjamin Pavard (6 matches - 1 but)
Adil Rami
(0 match)
Djibril Sidibé (1 match)
Samuel Umtiti
(6 matches - 1 but)
Raphaël Varane (7 matches- 1 but)
Milieux de terrain
Nabil Fekir (6 matches)
N'Golo Kanté (7 matches)
Thomas Lemar (1 match)
Blaise Matuidi
(5 matches)
Steven N'Zonzi (5 matches)
Paul Pogba
(6 matches - 1 but)
Corentin Tolisso (5 matches - 1 but)
Attaquants
Ousmane Dembélé (4 matches)
Olivier Giroud
(7 matches)
Antoine Griezmann
(7 matches - 4 buts)
Kylian Mbappé (4 matches - 4 buts)
Florian Thauvin (1 match)
Entraineur
Didier Deschamps
L'effectif de la Croatie
Gardiens
Lovre Kalinic
Dominik Livakovic
Danijel Subasic
Défenseurs
Duje Caleta-Car
Vedran Corluka
Tin Jedvaj
Dejan Lovren
Josip Pivaric
Ivan Strinic
Domagoj Vida
Sime Vrsaljko
Milieux de terrain
Milan Badelj
Filip Bradaric
Marcelo Brozovic
Mateo Kovacic
Luka Modric
Ivan Perisic
Ivan Rakitic
Attaquants
Nikola Kalinic
Andrej Kramaric
Mario Mandzukic
Marko Pjaca
Ante Rebic
Entraineur
Zlatko Dalic
L'effectif de la Belgique
Gardiens
Koen Casteels
Thibaut Courtois
Simon Mignolet
Défenseurs
Toby Alderweireld
Dedryck Boyata
Leander Dendoncker
Vincent Kompany
Thomas Vermaelen
Jan Vertonghen
Milieux de terrain
Nacer Chadli
Kevin De Bruyne
Mousa Dembélé
Marouane Fellaini
Yannick Ferreira-Carrasco
Thorgan Hazard
Thomas Meunier
Youri Tielemans
Axel Witsel
Attaquants
Michy Batshuayi
Eden Hazard
Adnan Januzaj
Romelu Lukaku
Dries Mertens
Entraineur
Roberto Martinez (ESP)
Ballon d’or : Luka Modric
(Croatie)
Ballon d'argent : Eden Hazard
(Belgique)
Ballon de bronze : Antoine Griezmann
(France)
Soulier d'Or : Harry Kane (Angleterre) 6 buts
Soulier d'argent : Antoine Griezmann
(France) 4 buts (2 passes décisives)
Soulier de bronze : Cristiano Ronaldo
(Portugal) et Romelu Lukaku (Belgique) 4 buts (1 passe décisive)
Gant d'or : Thibaut Courtois (Belgique)
Meilleur jeune joueur : Kylian Mbappé (France)
Statistiques
Dates : 14 juin au 15 juillet 2018
Nombre d'équipes : 32 - Nombre de buts : 169 - Moyenne de buts par match : 2,64 - Nombre de matches : 64 - Matches nul : 13 - Matches avec prolongation : 5 - Nombre de spectateurs : 3 031 768 - Moyenne de spectateurs par match : 47 371 - Affluence maximum : Russie/Arabie Saoudite, Portugal /Maroc, Danemark/France, Allemagne/Mexique, Espagne/Russie, Croatie/Angleterre et France/Croatie 78 011 - Affluence minimum : Egypte/Uruguay 27 015 - Penalty : 22 - Buts contre son camp : 12
QATAR 2022
La 22eme Coupe du Monde s'est déroulée au Qatar du 20 novembre au 18 décembre 2022 entre 32 équipes issues des qualifications (210 pays engagées). Les 64 matches (48 au premier tour et 16 dans la phase à élimination directe) ont eu lieu dans 8 stades : 6 stades nouveaux et 2 stades renovés. Elle a été remportée par l'Argentine qui s'est imposé en finale contre la France aux tirs au but (3-3 après prolongation). L'Albiceleste gagne ainsi sa troisième Coupe du monde après 1978 et 1986.
Cette édition a créée beaucoup de polimiques : dépourvu d'infrastructures sportives adaptées, l'État qatari a engagé de grands travaux de construction qui ont soulevés de fortes critiques. Plus de 37 ouvriers étrangers ont trouvé la mort sur les chantiers selon les sources gouvernementales, un chiffre que de nombreuses organisations et journalistes estiment très sous-évalué avec un nombre allant jusqu'à 6 500 morts.
Avec 172 buts marqués, cette édition a été la plus prolifique de l'histoire. Malgré la polémique de la mort sur les chantiers de ce Mondial, la compétition a été une grande réussite sur le plan d'organisation sans avoir subi des agressions ou violences pour le public.
Les villes : Lusail - Doha - Al-Khor - Al-Rayyan - Al-Wakrah
Les 32 équipes qualifiées
Allemagne, Angleterre, Arabie Saoudite, Argentine, Australie, Belgique, Brésil, Caméroun, Canada, Corée du Sud, Costa Rica, Croatie, Danemark, Equateur, Espagne, Etats-Unis, France, Ghana, Iran, Japon, Maroc, mexique, Pays-Bas, Pays de Galles, Pologne, Portugal, Qatar, Sénégal, Serbie, Suisse, Tunisie, Uruguay.
Match pour la 3eme place
17 décembre (Khalifa International Stadium ; 44 137 spectateurs) : Croatie - Maroc 2-1
Josko Gvardiol (7e), Mislav Orsic (42e) ; Achraf Dari (9e)
- Croatie : Dominik Livakovic, Josip Stanisec, Ivan Perisic, Josko Gvardiol, Josip Sutalo, Lovro Majer, Mateo Kovacic, Luka Modric
, Mislav Orsic, Andrej Kramaric, Marko Livaja.
- Maroc : Yassine Bounou, Achraf Hakimi, Jawad El Yamiq, Achraf Dari, Yahya Attiat-Allah, Sofyan Amrabat, Abdelhamid Sabiri, Bilal El Khannouss, Hakim Ziyech, Sofiane Boufal, Youssef En Nesyri.
Finale
18 décembre (Lusail Stadium ; 88 966 spectateurs) : Argentine - France 3-3 a.p. (4-2 aux t.a.b.)
Arbitre : Szymon Marciniak POL
Lionel Messi (23e pen., 109e), Angel Di Maria (36e) ; Kylian Mbappé (80e pen., 82e, 118e pen.)
Argentine :
pénaltys réussis : Lionel Messi
, Paulo Dybala, Leandro Paredes, Gonzalo Montiel.
France :
pénaltys réussis : Kylian Mbappé, Randall Kolo Muani ; pénaltys manqués : Kingsley Coman, Aurélien Tchouaméni
- Argentine : Dalian Martinez, Nicolas Tagliafico (Paulo Dybala 120e + 1), Cristian Romero, Nicolas Otamendi, Nahuel Molina (Gonzalo Montiel 91e), Rodriga De Paul (Leandro Paredes 102e), Alexis MacAllister (German Pezzella 116e) , Enzo Fernandez, Julien Alvarez ( Lautaro Martinez 103e), Lionel Messi
, Angel Di Maria (Marcos Acuña 64e).
- France : Hugo Lloris
, Raphaël Varane (Ibrahima Konaté 113e), Jules Koundé (Axel Disasi 120e + 1), Dayot Upamecano, Théo Fernandez (Eduardo Camavinga 71e), Antoine Griezmann
(Kingsley Coman 71e), Aurélien Tchouameni, Adrien Rabiot (Youssouf Fofona 96e), Olivier Giroud
, Kylian Mbappé, Ousmane Dembelé (Randal Kolo Muani 41e).
L'équipe de l'Argentine
Gardiens de but
Franco Armani
Geronimo Rulli
Emiliano Martinez
Défenseurs
Juan Foyth
Nicolas Tagliafico
Gonzalo Montiel
German Pezzella
Marcus Acuña
Cristian Romero
Nicolas Otamendi
Lisandro Martinez
Nahuel Molina
Milieux de terrain
Leandro Paredes
Rodrigo De Paul
Exequiel Gomez
Guido Rodriguez
Alexis MacAllister
Enzo Fernandez
Attaquants
Julian Alvarez
Lionel Messi
(C)
Angel Di Maria
Nicolas Gonzalez
Joaquin Correa
Paulo Dybala
Lautaro Martinez
Entraîneur
Lionel Scaloni
L'Equipe de France
Gardiens de but
Hugo Lloris
(C)
Steve Mandanda
Alphonse Areola
Défenseurs
Benjamin Pavard
Axel Disasi
Raphaël Varane
Jules Koundé
William Saliba
Dayot Upamecano
Lucas Hernandez
Théo Hernandez
Ibrahima Konaté
Milieux de terrain
Mattéo Guendouzi
Aurélien Tchouaméni
Youssouf Fofana
Adrien Rabiot
Jordan Veretout
Eduardo Camavinga
Attaquants
Antoine Griezmann
Olivier Giroud
Kylian Mbappé
Ousmane Dembélé
Randal Kolo Muani
Kingsley Coman
Marcus Thuram
Karim Benzema
*
Entraineur
Didier Deschamps
*blessé à la cuisse, Karim Benzema a déclaré forfait pour l'ensemble de la compétition.
L'équipe de la Croatie
Gardiens de but
Dominik Livakovic
Ivo Grbic
Ivica Ivusic
Défenseurs
Josip Stanisic
Borna Barisic
Martin Erlic
Dejan Lovren
Borna Sosa
Josko Gvardiol
Domagoj Vida
Josip Juranovic
Josip Sutalo
Milieux de terrain
Lovro Majer
Mateo Kovacic
Luka Modric
(C)
Marcelo Brozovic
Nikola Vlasic
Mario Pasalic
Luka Sucic
Kristijan Jakic
Attaquants
Ivan Perisic
Andrej Kramaric
Marko Livaja
Bruno Petkovic
Ante Budiir
Mislav Orsic.
Entraîneur
Zlatko Dalic
Ballon d’Or : Lionel Messi
(Argentine)
Ballon d'argent : Kylian Mbappé (France)
Ballon de bronze : Luka Modric
(Croatie)
Soulier d'Or : Kylian Mbappé (France) 8 buts (2 passes décisives) ; auteur d'un triplé rarissime en finale.
Soulier d'argent : Lionel Messi
(Argentne) 7 buts (3 passes décisives)
Soulier de bronze : Olivier Giroud
(France) 4 buts
Gant d'or : Emiliano Martinez (Argentine)
Meilleur jeune joueur : Enzo Fernandez (Argentine)
Statistiques
Dates : 20 novembre au 18 décembre 2022
Nombre d'équipes : 32 - Nombre de buts : 172 - Moyenne de buts par match : 2,69 - Nombre de matches : 64 - Matches nul : 10 - Matches avec prolongation : 5 - Nombre de spectateurs : 3 404 252 - Moyenne : 96,6% - Affluence maximum : Argentine/Arabie Saoudite, Brésil/Serbie, Argentine Mexique, Portugal/Uruguay, Caméroun/Brésil, Pays-Bas/Argentine - Argentine/Croatie - Argentine/France - Affluence minimum : Suisse/Caméroun 39 089 - Penalty : 23 - Buts contre son camp : 2
Prochain rendez-vous : juin et juillet 2026 au Canada, Etats-Unis et Mexique.
Palmarès de l’équipe de France en Coupe du MondePremier match disputé : France-Mexique 4-1 en 1930
161 joueurs français ont disputé au moins un match de phase finale de Coupe du Monde.
342 joueurs français ont joué au moins un match de Coupe du Monde soit en éliminatoires soit en phase finale.
de 1934 à 2002 : 3 878 matches de qualifications ont été joués et 10 990 buts ont été marqués.
66 matches, 34 victoires, 13 nuls, 19 défaites, 120 buts marqués, 79 buts encaissés….voici le bilan des Bleus en phase finale entre 1930 et 2018.
Le 100eme but de la France en phase finale de Coupe du Monde a été marqué par Olivier Giroud en 2014 contre la Suisse.
En treize participations, la France fut en…..
1930 : éliminée au 1er tour - 1934 : éliminée en 1/8 de finale - 1938 : éliminée en ¼ de finale - 1954 : éliminée au 1er tour - 1958 : troisième - 1966 : éliminée au 1er tour - 1978 : éliminée au 1er tour - 1982 : quatrième - 1986 : troisième - 1998 : vainqueur - 2002 : éliminée au 1er tour - 2006 : finaliste - 2010 : éliminée au 1er tour - 2014 : éliminée en ¼ de finale - 2018 : vainqueur - 2022 : finaliste.
Juillet 1930 en Uruguay
Phase finale
13/07/30 - France/Mexique 4-1
15/07/30 - Argentine/France 1-0
19/07/30 - Chili/France 1-0
France éliminée.
Mai/juin 1934 en Italie
Phase finale
Huitième de finale :
27/05/34 - Autriche/France 3-2 (a.p.)
Juin 1938 en France
Phase finale
Huitième de finale :
05/06/38 - France/Belgique 3-1
Quart de finale :
12/06/38 - Italie/France 3-1
Juin/juillet 1950 au Brésil
Groupe éliminatoire :
09/10/49 - Yougoslavie/France 1-1
30/10/49 - France/Yougoslavie 1-1
11/12/49 - Yougoslavie/France 3-2 (a.p.)
France repêchée, mais forfait.
Juin/juillet 1954 en Suisse
Groupe éliminatoire :
20/09/53 - Luxembourg/France 1-6
04/10/53 - Eire/France 3-5
25/11/53 - France/Eire 1-0
17/12/53 - France/Luxembourg 8-0
Phase finale
16/06/54 - Yougoslavie/France 1-0
19/06/54 - France/Mexique 3-2
France éliminée.
Juin 1958 en Suède
Groupe éliminatoire :
11/11/56 - Belgique/France 6-3
02/06/57 - France/Islande 8-0
01/09/57 - Islande/France 1-5
27/10/57 - Belgique/France 0-0
Phase finale
08/06/58 - France/Paraguay 7-3
11/06/58 - Yougoslavie/France 3-2
15/06/58 - France/Ecosse 2-1
France qualifiée.
Quart de finale :
19/06/58 - France/Irlande du Nord 4-0
Demi-finale :
24/06/58 - Brésil/France 5-2
Match pour la 3eme place :
28/06/58 - France/Allemagne 6-3
Mai/juin 1962 au Chili
Groupe éliminatoire :
25/09/60 - France/Finlande 2-1
11/12/60 - France/Bulgarie 3-0
28/09/61 - France/Finlande 5-1
12/11/61 - Bulgarie/France 1-0
16/12/61 - Bulgarie/France 1-0
France éliminée.
Juin 1966 en Angleterre
Groupe éliminatoire :
04/10/64 - Luxembourg/France 0-2
11/11/64 - France/Norvège 1-0
18/04/65 - Yougoslavie/France 1-0
15/09/65 - Norvège/France 0-1
09/10/65 - France/Yougoslavie 1-0
06/11/65 - France/Luxembourg 4-1
France qualifiée.
Phase finale
13/07/66 - France/Mexique 1-1
15/07/66 - Uruguay/France 2-1
20/07/66 - Angleterre/France 2-0
France éliminée.
Juin 1970 au Mexique
Groupe éliminatoire :
06/11/68 - Norvège/France 1-0
10/09/69 - France/Norvège 3-1
15/10/69 - Suède/France 2-0
01/11/69 - France/Suède 3-0
France éliminée.
Juin/juillet 1974 en RFA
Groupe éliminatoire :
13/10/72 - France/URSS 1-0
15/11/72 - Eire/France 2-1
19/05/73 - France/Eire 1-1
26/05/73 - URSS/France 2-0
France éliminée.
Juin 1978 en Argentine
Groupe éliminatoire :
09/10/76 - Bulgarie/France 2-2
17/11/76 - France/Eire 2-0
30/03/77 - Eire/France 1-0
16/11/77 - France/Bulgarie 3-1
France qualifiée.
Phase finale
02/06/78 - Italie/France 2-1
06/06/78 - Argentine/France 2-1
10/06/78 - France/Hongrie 3-1
France éliminée.
Juin/juillet 1982 en Espagne
Groupe éliminatoire :
11/10/1980 - Chypre/France 7-0
28/10/1980 - France/Eire 2-0
25/03/1981 - Hollande/France 1-0
29/04/1981 - France/Belgique 3-2
09/09/1981 - Belgique/France 2-0
14/10/1981 - Eire/France 3-2
18/11/1981 - France/Hollande 2-0
05/12/1981 - France/Chypre 4-0
France qualifiée.
Phase finale
16/06/82 - Angleterre/France 3-1
21/06/82 - France/Koweït 4-1
24/06/82 - France/Tchécoslovaquie 1-1
France qualifiée.
Deuxième tour
28/06/82 - France/Autriche 1-0
04/07/82 - France/Irlande du Nord 4-1
France qualifiée.
Demi-finale :
08/07/82 - Allemagne/France 3-3 (5-4 aux t.a.b.)
Match pour la 3eme place :
10/07/82 - Pologne/France 3-2
Juin 1986 au Mexique
Groupe éliminatoire :
13/10/84 - France/Luxembourg 4-0
21/11/84 - France/Bulgarie 1-0
08/12/84 - France/RDA 2-0
03/04/85 - Yougoslavie/France 1-1
02/05/85 - Bulgarie/France 2-0
11/09/85 - RDA/France 2-0
30/10/85 - France/Luxembourg 6-0
16/11/85 - France/Yougoslavie 2-0
France qualifiée.
Phase finale
01/06/86 - France/Canada 1-0
06/06/86 - France/URSS 1-1
10/06/86 - France/Hongrie 3-0
France qualifiée.
Huitième de finale :
17/06/86 - France/Italie 2-0
Quart de finale :
21/06/86 - France/Brésil 1-1 (4-3 aux t.a.b.)
Demi-finale :
25/06/86 - RFA/France 2-0
Match pour la 3e place :
28/06/86 - France/Belgique 4-2
Juillet 1990 en Italie
Groupe éliminatoire :
28/09/88 - France/Norvège 1-0
22/10/88 - Chypre/France 1-1
19/11/88 - Yougoslavie/France 3-2
08/03/89 - Ecosse/France 2-0
29/04/89 - France/Yougoslavie 0-0
05/09/89 - Norvège/France 1-1
11/10/89 - France/Ecosse 3-0
France éliminée
Juillet 1994 aux USA
Groupe éliminatoire
09/09/92 - Bulgarie/France 2-0
14/10/92 - France/Autriche 2-0
04/11/92 - France/Finlande 2-1
17/02/93 - Israël/France 0-4
27/03/93 - Autriche/France 0-1
28/04/93 - France/Suède 2-1
22/08/93 - Suède/France 1-1
08/09/93 - Finlande/France 0-2
13/10/93 - France/Israël 2-3
17/11/93 - France/Bulgarie 1-2
France éliminée
Juillet 1998 en France
Phase finale
Premier tour :
12/06/98 - France/Afrique du Sud 3-0
18/06/98 - France/Arabie Saoudite 4-0
24/06/98 - France/Danemark 2-1
France qualifiée.
Huitième de finale :
28/06/98 - France/Paraguay 1-0 (but en or )
Quart de finale :
03/07/98 - France/Italie 0-0 (4-3 aux t.a.b.)
Demi-finale :
08/07/98 - France/Croatie 2-1
Finale :
12/07/98 - France/Brésil 3-0
Juin 2002 au Japon et en Corée du Sud
Phase finale
Premier tour :
31/05/02 - France/Sénégal 0-1
06/06/02 - France/Uruguay 0-0
11/06/02 - France/Danemark 0-2
France éliminée.
Juin/Juillet 2006 en Allemagne
Groupe éliminatoire :
04/09/04 - France/Israël 0-0
08/09/04 - France/Iles Féroé 2-0
10/10/04 - France/Eire 0-0
13/10/04 - France/Chypre 2-0
26/03/05 - France/Suisse 0-0
29/03/05 - France/Israël 1-1
03/09/05 - France/Iles Féroé 3-0
07/09/05 - France/Eire 1-0
08/10/05 - France/Suisse 1-1
12/10/05 - France/Chypre 4-0
France qualifiée.
Phase finale
Premier tour :
13/06/06 - France/Suisse 0-0
18/06/06 - France/Corée du Sud 1-1
23/06/06 - France/Togo 2-0
France qualifiée.
Huitième de finale :
27/06/06 - France/Espagne 3-1
Quart de finale :
01/07/06 - France/Brésil 1-0
Demi-finale :
05/07/06 - France/Portugal 1-0
Finale :
09/07/06 - France/Italie 1-1 (5-3 aux t.a.b.)
Juin 2010 en Afrique du Sud
Groupe éliminatoire
06/09/08 - Autriche/France 3-1
10/09/08 - France/Serbie 2-1
11/10/08 - Roumanie/France 2-2
28/03/09 - Lituanie/France 0-1
01/04/09 - France/ Lituanie 1-0
12/08/09 - Iles Féroé/France 0-1
05/09/09 - France/Roumanie 1-1
09/09/09 - Serbie/France 1-1
10/10/09 - France/Iles Féroé 5-0
14/10/09 - France/Autriche 3-1
France qualifiée pour les barrages.
Barrages
14/11/09 - Eire/France 0-1
18/11/09 - France/Eire 1-1 a.p.
Phase finale
Premier tour :
11/06/10 - France/Uruguay 0-0
17/06/10 - Mexique/France 2-0
22/06/10 - Afrique du Sud/France 2-1
France éliminée.
Juin et Juillet 2014 au Brésil
Groupe éliminatoire
07/09/12 - Finlande/France 0-1
11/09/12 - France/Biélorussie 3-1
16/10/12 - Espagne/France 1-1
22/03/13 - France/Géorgie 3-1
26/03/13 - France/Espagne 0-1
06/09/13 - Géorgie/France 0-0
10/09/13 - Biélorussie/France 2-4
15/10/13 - France/Finlande 3-0
France qualifiée pour les barrages.
Barrages
15/11/13 - Ukraine/France 2-0
19/11/13 - France/Ukraine 3-0
France qualifiée.
Phase finale
Premier tour :
15/06/14 - France/Honduras 3-0
20/06/14 - France/Suisse 5-2
25/06/14 - France/Equateur 0-0
France qualifiée.
Huitième de finale :
30/06/14 - France/Nigeria 2-0
Quart de finale :
04/07/14 - France/Allemagne 0-1
France éliminée.
Juin et Juillet 2018 en Russie
Groupe éliminatoire
06/09/16 - Biélorussie/France 0-0
07/10/16 - France/Bulgarie 4-1
10/10/16 - Pays-Bas/France 0-1
11/11/16 - France/Suède 2-1
25/03/17 - Luxembourg/France 1-3
09/06/17 - Suède/France 2-1
31/08/17 - France/Pays-Bas 4-0
03/09/17 - France/Luxembourg 0-0
07/10/17 - Bulgarie/France 0-1
10/10/17 - France/Biélorussie 2-1
France qualifiée.
Phase finale
Premier tour :
16/06/18 - France/Australie 2-1
21/06/18 - France/Pérou 1-0
26/06/18 - France/Danemark 0-0
France qualifiée.
Huitième de finale :
30/06/18 - France/Argentine 4-3
Quart de finale :
06/07/18 - France/Uruguay 2-0
Demi-finale :
10/07/18 - France/Belgique 1-0
Finale :
15/07/18 - France/Croatie 4-2
Novembre/décembre au Qatar en 2022
Groupe éliminatoire
24/03/21 - France/Ukraine 1-1
28/03/21 - Kazakhstan/France 0-2
31/03/21 - Bosnie-Herzégovine/France 0-1
01/09/21 - France/Bosnie-Herzégovine 1-1
04/09/21 - Ukraine/France 1-1
07/09/21 - France/Finlande 2-0
13/11/21 - France/Kazakhstan 8-0
16/11/21 - Finlande/France 0-2
France qualifiée.
Phase finale
Premier tour :
22/11/22 - France/Australie 4-1
26/11/22 - France/Danemark 2-1
30/11/22 - France/Tunisie 0-1
France qualifiée.
Huitième de finale :
04/12/22 - France/Pologne 3-1
Quart de finale :
10/12/22 - France/Angleterre 2-1
Demi-finale :
14/12/22 - France/Maroc 2-0
Finale :
18/12/22 - France/Argentine 3-3 (2-4 (t.a.b.)
Les vingt deux champions du monde français de 1998
• Fabien Barthez
, né le 28-6-71 (Monaco), gardien (7 matches joués, 684 minutes).
• Laurent Blanc
, né le 19-11-65 (Marseille), défenseur central (5 matches joués, 488 minutes).
• Alain Boghossian
, né le 27-10-70 (Sampdoria Gênes), milieu (5 matches joués, 209 minutes).
• Vincent Candela
, né le 24-10-73 (AS Rome), arrière latéral (1 match joué, 90 minutes).
• Lionnel Charbonnier, né le 25-10-66 (Auxerre), gardien (aucun match joué).
• Marcel Desailly
, né le 7-9-68 (Milan AC), défenseur central (7 matches joués, 662 minutes).
• Didier Deschamps
, né le 15-10-68 (Juventus Turin), milieu (6 matches joués, 594 minutes).
• Bernard Diomède, né le 23-1-74 (Auxerre), attaquant (3 matches joués, 225 minutes).
• Youri Djorkaeff
, né le 9-3-68 (Inter Milan), milieu offensif (7 matches joués, 589 minutes).
• Christophe Dugarry
, né le 17-3-72 (Marseille), attaquant (3 matches joués, 117 minutes).
• Stéphane Guivarc’h, né le 6-9-70 (Auxerre), attaquant (6 matches joués, 269 minutes).
• Thierry Henry
, né le 17-8-77 (Monaco), attaquant (6 matches joués, 366 minutes).
• Christian Karembeu
, né le 3-12-70 (Real Madrid), milieu défensif (4 matches joués, 242 minutes).
• Bernard Lama
, né le 7-4-63 (West Ham), gardien (aucun match).
• Frank Leboeuf
, né le 22-1-68 (Chelsea), défenseur central (3 matches joués, 196 minutes).
• Bixente Lizarazu
, né le 9-12-69 (Bayern Munich), arrière latéral (6 matches joués).
• Emmanuel Petit
, né le 22-9-70 (Arsenal), milieu défensif (6 matches joués, 508 minutes).
• Rober Pires, né le 29-1-73 (Metz puis Marseille), attaquant (3 matches joués, 133 minutes).
• Lilian Thuram
, né le 1-1-72 (Parme), arrière latéral défenseur (6 matches joués, 594 minutes).
• David Trezeguet
, né le 15-10-77 (Monaco), attaquant (6 matches joués, 342 minutes).
• Patrick Vieira
, né le 23-6-76 (Arsenal), milieu défensif (2 matches joués, 104 minutes).
• Zinédine Zidane, né le 23-6-72 (Juventus Turin), milieu offensif (5 matches joués, 460 minutes).
Dirigés par :
• Aimé Jacquet, né le 27-11-41. 5 fois champion de France et triple vainqueur de la Coupe avec St.Etienne entre 1964 et 1970. En tant qu’entraîneur : champion du monde en 1998, 3 fois champion de France et double vainqueur de la Coupe avec Bordeaux entre 1984 et 1987.
Les vingt-trois champions du monde français de 2018
• Alphonse Aréola, né le 27-2-93 (Paris Saint-Germain), gardien (aucun match)
• Ousmane Dembélé, né le 15-5-97 (FC Barcelone), attaquant (4 matches joués, 166 minutes)
• Nabil Fekir, né le 18-7-93 (Lyon), milieu offensif (6 matches joués, 68 minutes)
• Olivier Giroud
, né le 30-9-86 (Chelsea), attaquant (7 matches joués, 546 minutes)
• Antoine Griezmann
, né le 21-3-91 (Atletico Madrid), attaquant (7 matches joués, 571 minutes)
• Lucas Hernandez, né le 14-2-96 (Atletico Madrid), défenseur (7 matches joués, 590 minutes)
• N'Golo Kanté, né le 29-3-91 (Chelsea), milieu défensif (7 matches joués, 595 minutes)
• Presnel Kimpembe, né le 13-8-95 (Paris Saint-Germain), défenseur (1 match joué, 90 minutes)
• Thomas Lemar, né le 12-11-95 (Monaco), milieu offensif (1 match joué, 90 minutes)
• Hugo Lloris
, né le 26-12-86 (Tottenham Hotspur), gardien (6 matches joués, 540 minutes)
• Steve Mandanda
, né le 28-3-85 (Marseille) gardien (1 match joué, 90 minutes)
• Blaise Matuidi
, né le 9-4-87 (Juventus Turin), milieu offensif (5 matches joués, 336 minutes)
• Kylian Mbappé, né le 20-12-98 (Paris Saint-Germain), attaquant (6 matches joués, 532 minutes)
• Benjamin Mendy, né le 17-7-94 (Manchester City), défenseur (1 match joué, 40 minutes)
• Steven N'Zonzi, né le 15-12-88 (FC Séville), milieu défensif (5 matches joués, 141 minutes)
• Benjamin Pavard, né le 28-3-96 (Stuttgart), défenseur (6 matches joués, 540 minutes)
• Paul Pogba
, né le 15-3-93 (Manchester United), milieu défensif (6 matches joués, 539 minutes)
• Adil Rami
, né le 27-12-85 (Marseille), défenseur (aucun match)
• Djibril Sidibé, né le 29-7-92 (Monaco), défenseur (1 match joué, 90 minutes)
• Florian Thauvin, né le 26-1-93 (Marseille), attaquant (1 match joué, 2 minutes)
• Corentin Tolisso, né le 3-8-94 (Bayern Munich), milieu offensif (5 matches joués, 194 minutes)
• Samuel Umtiti
, né le 14-11-93 (FC Barcelone), défenseur (6 matches joués, 540 minutes)
• Raphaël Varane, né le 25-4-93 (Real Madrid), défenseur (7 matches joués, 630 minutes).
Dirigés par :
• Didier Deschamps
, né le 15-10-68. Vainqueur de la Coupe du Monde en 1998 et champion d'Europe en 2000. Champion de France en 1990 et 1992 et vainqueur de la Coupe d'Europe des champions en 1993 avec Marseille. Champion d'Italie en 1995, 1997 et 1998, vainqueur de la Ligue des Champions, de la Coupe Intercontinentale, de la Super Coupe d'Europe en 1996, de la Coupe d'Italie en 1995, de la Supercoupe d'Italie en 1995 et 1997 (finaliste de la Ligue des Champions en 1997 et 1998, de la Coupe de l'UEFA en 1995) avec la Juventus Turin. Vainqueur de la Coupe d'Angleterre avec Chelsea en 2000. Finaliste de la Ligue des champions avec le FC Valence en 2001. 103 sélections (dont 54 capitanats, ancien record français ; 4 buts) comme milieu entre 1989 et 2000. Comme entraîneur : vainqueur de la Coupe de la Ligue en 2003 et finaliste de la Ligue des Champions en 2004 avec Monaco, champion de France en 2010, vainqueur de la coupe de la Ligue en 2010, 2011 et 2012 , et du Trophée des Champions en 2010 et 2011. Sélectionneur depuis juillet 2012, il la remporté la Coupe du Monde en 2018 (finaliste en 2022) et fut finaliste de l'Euro en 2016.
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