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Tyler Hansbrough des Indian Pacers tente un panier face aux Miami Heat lors d'une finale de Conférence Est à Indianapolis, aux Etats-Unis, le 28 mai 2013
Indiana a entretenu le suspense en finale de Conférence Est de la NBA en infligeant une deuxième défaite (99-92) au Heat de Miami, qui doit encore remporter deux victoires face aux Pacers pour espérer défendre son titre en finale face aux Spurs de San Antonio.
Le bilan est équilibré au terme des quatre premiers matches de cette finale de Conférence Est: deux victoires partout, dont une sur le parquet de l'adversaire. Les Pacers, qui atteignent ce stade de la compétition pour la première fois depuis 2004, ont d'ores été déjà réussi à contraindre Miami à deux matches supplémentaires, jeudi en Floride et samedi dans l'Indiana.
L'outsider de la Conférence Est s'est bien ressaisi de la gifle (114-96) reçue dimanche à Miami avec rien moins de 70 points inscrits par le Heat lors des deux premiers quarts-temps.
Avec 23 points et 12 rebonds du centre Roy Hibbert, les Pacers ont égalisé mardi au terme d'une quatrième confrontation serrée, marquée par de multiples rebondissements au tableau d'affichage et quelques décisions d'arbitrage contestées.
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Le joueur des Miami Heat LeBron James
quitte le terrain lors d'une finale de Conférence Est à Indianapolis, aux Etats-Unis, le 28 mai 2013
Côté Miami, LeBron James a maintenu son rendement en inscrivant 24 points mais a été contraint de sortir à moins d'une minute du terme, impitoyablement sanctionné d'une sixième faute.
Si Mario Chalmers (20 pts) et Dwyane Wade (16 pts) ont suivi le rythme de LeBron James , le Heat a en revanche globalement souffert de l'agressivité retrouvée des Pacers en défense, à l'image d'un Chris Bosch (7 pts) moins prolifique et touché à une cheville.
"Les gars ont relevé le défi. Notre défense a retrouvé son niveau. On a mal joué (dimanche) et on a su faire les ajustements", s'est réjoui l'entraîneur des Pacers, Frank Vogel.
Autre satisfaction pour Indiana, Lance Stephenson (20 pts) et George Hill (19 pts) ont su pallier l'inefficacité de Paul George, qui s'est contenté de 12 points.
"On s'enorgueillit de bien finir nos matches et là, nous n'avons pas su le faire", a de son côté regretté l'entraîneur du Heat, Erik Spoelstra, qui aurait préféré avoir le luxe de pouvoir gérer ses forces avant une éventuelle explication au sommet avec les Spurs de Tony Parker , de retour en finale pour la première fois depuis 2007.
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