Pétanque et boules - Règlement et historique
Pétanque
Historique
Il faut remonter très loin dans le temps pour découvrir la présence du jeu de boules. Il n’en est pas, en tout cas, qui puisse attester, preuves à l’appui, d’une ancienneté comparable à la sienne.
Grâce aux recherches faites par les archéologues, on trouve trace de ce jeu en Égypte à l’époque des Pharaons. Puis il apparaît en Grèce après la conquête de l’Égypte par Alexandre le Grand. Les Grecs pratiquèrent alors le lancement des “sphéristiques”. L’engouement pour cet exercice fut tel que des emplacements leur furent réservés dans les palestres - les premiers boulodromes ! - afin qu’ils puissent donner libre cours à leur activité favorite. Il y a tout lieu de penser que se sont les légions romaines qui, lors de la conquête de la Gaule, l’ont introduit dans le Midi de la France. Il n’est cependant pas possible de trouver trace de ce jeu à cette période et au cours des années qui lui ont fait suite. Il faut attendre le XIIe siècle pour qu’il en soit à nouveau question dans les chroniques de cette époque non seulement en France, mais en Allemagne, en Angleterre, en Espagne et bien évidemment en Italie. A la fin du XIXe siècle et au début du XXe, c’est en Provence, que les boules avec le “jeu provençal” ont connu une vogue qui ira crescendo au fil des ans.
Alors que le jeu provençal est pratiqué dans le Midi de la France depuis plus d’un siècle, il n’en est pas de même pour la pétanque qui a pris naissance beaucoup plus tard. Elle a été jouée pour la première fois en 1907 à La Ciotat. L’expansion de ces deux disciplines sportives a incité d’audacieux et valeureux à créer en 1945 la Fédération Française de Pétanque et Jeu Provençal (F.F.P.J.P.).
Les championnats du monde sont organisés depuis 1959 pour les hommes et depuis 1988 pour les femmes.
C’est Ernest Pitiot, membre du cercle Béraud et fondateur de la ligue Languedoc-Roussillon, qui modifia les règles de base en 1907 au cours d’une partie disputée à La Ciotat permettant ainsi à son grand ami Jules Lenoir, atteint de rhumatismes, de continuer à jouer le jeu de boules. Désormais on joue pieds joints et immobiles dans un cercle et sur une distance plus courte. Le premier concours officiel eut lieu en 1910 à La Ciotat. Le terme ‘pétanque’ vient du mot provençal ‘Ped Tanco’ ou ‘pieds tanqués’ ou ancrés sur le sol. Contrairement, le jeu provençal permet de prendre de l’élan.
La Fédération internationale de pétanque fut créée en 1958 avec à l’origine sept fédérations nationales (Belgique, Espagne, France, Italie, Maroc, Monaco et Tunisie) et compte 75 pays membres.
La pétanque tire son nom d’une déformation de l’expression provençale “Pestanques”, qui signifie “pieds joints”.
Minimes : moins de 11 ans
Cadets : 12, 13, 14 ans
Juniors : 15, 16, 17 ans
Seniors : au-dessus de 17 ans
Il existe 12 Championnats de France et 2 Trophées Nationaux :
Pétanque :
Triplettes Seniors
Triplettes Juniors
Triplettes Cadets
Triplettes Minimes
Doublettes Seniors
Tête-à-Tête Seniors
Doublettes Féminines
Triplettes Corporatifs
Mixte (un homme et une femme)
Vétérans.
Jeu Provençal :
Triplettes Seniors
Doublettes Seniors.
La pétanque est un sport qui oppose :
- 3 joueurs à 3 joueurs (triplettes)
Elle peut aussi mettre face à face :
- 2 joueurs à 2 joueurs (doublettes)
- 1 joueur à 1 joueur (tête-à-tête)
En triplettes chaque joueur dispose de deux boules.
En doublettes et tête-à-tête, chaque joueur dispose de trois boules.
Toute autre formule est interdite.
La pétanque se joue avec des boules agréées par la Fédération ou par la F.I.P.J.P. et répondant aux caractéristiques suivantes :
- Être en métal
- Avoir un diamètre compris entre 7,05 cm (minimum) et 8 cm (maximum).
- Avoir un poids compris entre 650 grammes (minimum) et 800 grammes (maximum).
- N'être ni plombées ni sablées.
La pétanque se pratique sur tous les terrains. Cependant, par décision du Comité d'Organisation ou de l'Arbitre, les équipes peuvent être tenues de se rencontrer sur un terrain délimité. Dans cette éventualité, ce dernier doit avoir, pour les Championnats Nationaux et les Compétitions Internationales, les dimensions minimales suivantes : 4 mètres de largeur sur 15 mètres de longueur.
Pour les autres concours, les Fédérations pourront accorder ou permettre à leurs démembrements locaux d'accorder les dérogations relatives à ces minima, sans que ceux-ci soient inférieurs à 12 m x 3 m.
Les parties se jouent en 13 points, avec possibilité de faire disputer celles des poules et des cadrages en 11 points.
Le départ ne peut mesurer moins de 35 cm ni plus de 50 cm de diamètre. Il doit être tracé à plus d'un mètre de tout obstacle ou de la limite d'un terrain interdit et, dans les compétitions en terrain libre, à au moins 2 mètres d'un autre cercle de lancer utilisé.
Pour que le but lancé par un joueur soit valable, il faut :
1°) Que la distance le séparant du bord le plus rapproché du cercle de lancement soit :
- 4 mètres minimums et 8 mètres maximum pour les Minimes,
- 5 mètres minimums et 9 mètres maximum pour les Cadets,
- 6 mètres minimums et 10 mètres maximum pour les Juniors et les Seniors.
2°) Que le cercle de lancement soit à un mètre minimum de tout obstacle et de la limite d'un terrain interdit.
3°) Que le but soit à un mètre minimum de tout obstacle et de la limite la plus proche d'un terrain interdit.
A la mène suivante, le but est lancé à partir d'un cercle tracé autour du point où il se trouvait à la mène précédente, sauf dans les cas suivants :
Si le but lancé est arrêté par l'arbitre, un joueur, un spectateur, un animal ou tout objet mobile, il n'est pas valable et doit être relancé sans que ce jet compte pour les 3 auxquels l'équipe ou le joueur a droit.
Le but est nul dans les six cas suivants :
1°) Quand, après avoir été lancé, le but ne se trouve pas dans les limites prévues à l'article “distance”.
2°) Quand, au cours d'une mène, le but est déplacé en terrain interdit même s'il revient en terrain autorisé. Le but à cheval sur la limite d'un terrain autorisé est bon. Il n'est nul qu'après avoir dépassé entièrement la limite du terrain autorisé ou la ligne de perte, c'est à dire lorsqu'il se situe entièrement au-delà de l'aplomb de cette limite. Est considéré comme terrain interdit la flaque d'eau sur laquelle le but flotte librement.
3°) Quand, se trouvant en terrain autorisé, le but déplacé n'est pas visible du cercle, dans les conditions prévues par l'article “distance”. Toutefois le but masqué par une boule n'est pas nul. L'arbitre est autorisé à enlever momentanément une boule pour constater si le but est visible.
4°) Quand le but est déplacé à plus de 20 mètres ou à moins de 3 mètres du cercle de lancer.
5°) Quand le but, déplacé, est introuvable, le temps de recherche étant limité à cinq minutes.
6°) Quand un terrain interdit se trouve entre le but et le cercle de lancer.
Il est formellement interdit aux joueurs de supprimer, déplacer ou écraser un obstacle quelconque se trouvant sur le terrain de jeu.
Visibilité et déplacement du but
Si, au cours d'une mène, le but est inopinément masqué par une feuille d'arbre ou un morceau de papier, ces objets sont enlevés.
Si le but arrêté vient ensuite à se déplacer en raison du vent ou de l'inclinaison du terrain, par exemple, il est remis à sa place primitive, à condition qu'il ait été marqué.
Si, au cours d'une mène, le but est déplacé sur un autre terrain de jeu, limité ou non, le but est bon, sous réserve des dispositions de l'article “nullité du but”.
Si, au cours d'une mène, le but est nul 3 cas se présentent :
- Il reste des boules à jouer dans chaque équipe : la mène est nulle.
- Il reste des boules à une seule équipe : cette équipe marque autant de points qu'elle détient de boules à jouer.
- Les deux équipes n'ont plus de boules en mains : la mène est nulle.
1°) Si le but frappé est arrêté par un spectateur ou par l'arbitre, il conserve sa position.
2°) Si le but frappé est arrêté par un joueur, l'adversaire de celui qui l'a arrêté a le choix entre :
- laisser le but à sa nouvelle place,
- remettre le but à sa place primitive,
- placer le but dans le prolongement d'une ligne allant de sa place primitive à l'endroit où il se trouve, mais uniquement en terrain de jeu autorisé, et de façon que la mène puisse se poursuivre.
Si, après avoir été frappé, le but passe dans sa course en terrain interdit pour revenir finalement en terrain de jeu, il y a lieu d'appliquer les dispositions de l'article “jeu après nullité du but”.
Lorsque, au cours d'une mène, le but a été déplacé hors du terrain désigné, il est relancé, à la mène suivante, du point où il se trouvait lorsqu'il a été déplacé sous réserve que : (article “distance”)
- le cercle puisse être tracé à 1 mètre de tout obstacle et de la limite d'un terrain interdit.
- le lancer du but puisse se faire à toutes distances réglementaires.
Il se joue par équipes de 3 joueurs avec des boules ferrées à petits clous ayant un poids maximum de 900 grammes (les boules en métal sont permises). On doit lancer le but sur une distance comprise entre 15 et 22 mètres.
Pour pointer, on doit faire un pas et trois pas lorsqu’on tire.
D’où nous vient le sport de boules ? C’est un problème qu’on ne peut résoudre sans remonter loin dans le temps. Depuis toujours, semble-t-il, les hommes ont pris plaisir à faire rouler sur le sol un objet de forme sphérique. Le lancer est aussi un des gestes les plus naturels à l’homme, un de ces gestes primitifs directement dérivés de l’art de la guerre. Puis, le mouvement s’est affiné, les règles sont devenues plus complexes. A la force du lancer vint s’ajouter l’adresse. Pierre, bronze, bois composèrent, sous une forme généralement arrondie, les premiers engins que s’amusèrent à projeter les hommes de Cata-Huyuc que les paysans du Moyen Age ou les bons bourgeois du XIXe siècle. Les Grecs, qui pratiquaient le lancer de poids comme le rapporte Homère dans l’Iliade, n’ont sans doute jamais joué aux boules. Le Sphaera qu’on leur attribue existait bien. Les meilleurs auteurs en témoignent. Il ne s’agissait pas d’une boule mais d’une balle et on pouvait répertorier même plusieurs sortes de balles : la petite, la moyenne, la grosse, la très grosse et la creuse.
Aucun indice précis ne nous permet de croire que les Romains ont connu les boules, avec des règles se rapprochant peu ou prou des nôtres.. Comment dans ces conditions, le jeu de boules s’est-il répandu en France ? Personne ne peut le préciser vraiment. Ce que l’on sait de façon sûre, c’est qu’on a joué aux boules pendant toute la seconde moitié du Moyen Age. Les historiens reconnaissent que “les jeux de boules, de palets, de quilles étaient au nombre des passe-temps offerts aux gens de l’époque” et “le bouloire”, comme on disait alors, était un jeu très populaire, trop au gré de certains rois qui l’interdisaient périodiquement. Initialement jeu paysan et populaire, les boules devinrent aux XVIIIe siècle un jeu aristocratique qu’on pratiquait sur un parterre de gazon. Mais, la nuit du 4 août abolit les privilèges et le jeu de boules retrouva la faveur populaire qui ne l’a pas abandonné depuis. Solidement implanté dans le bassin méditerranéen, il a gagné l’Europe de l’Ouest (Belgique, Luxembourg, Suisse), et s’est même répandu en Afrique (Sénégal) ; On le trouve avec des règles différentes en Amérique du Sud (Argentine, Brésil, Chili, Paraguay, Uruguay, etc.). Avec des règles et des boules différentes dans tous les pays de langue anglais. Le premier règlement du sport boules, en France, date de 1894. Il a été établi lors du premier grand tournoi organisé sur le cours du Midi (actuel cours de Verdun) par le “Lyon Républicain”.Les premiers championnats de France ont eu lieu en 1924 à Lyon. La France comptait à l’époque 16 300 licenciés.
La Confédération Mondiale des sports de boules (CMSB) réunit les fédérations internationales de pétanque, de boules lyonnaises et de raffa-volo. Fondée en 1985, elle compte 75 pays membres.
Principe
Envoyer une ou plusieurs boules le plus près du but.
Le cadre
La partie se déroule sur un emplacement appelé cadre, dont les dimensions sont les suivantes :
Longueur maximum : 27,50 m,
Longueur minimum : 24,50 m,
Largeur maximum : 4 m,
Largeur minimum : 2,50 m.
1. Validité des lignes
Les lignes plus ou moins droites ou réglementaires, mais tracées, sont valables.
2.Reconstitution des lignes effacées
Si les lignes ne sont plus visibles, le tracé initial sera reconstitué.
1. Caractéristiques des boules
Diamètre minimum : 90 mm (pupilles 88 mm),
Diamètre maximum : 110 mm,
Poids maximum : 1,300 kg,
Dureté minimum : 35 kg, système Rockwell,
Dureté maximum : 90 kg, système Rockwell.
2. Peuvent être employées :
Les boules métalliques (avec ou sans remplissage) ;
Les boules en matière synthétique.
3. Boules interdites
Les boules de métal cimenté, les boules en bois, les boules cloutées ou plombées sont interdites.
Le but, d’un diamètre de 35 à 37 mm, est en bois, non ferré, non coloré ou uniformément coloré en blanc, non gravé et non plombé.
1. Caractéristiques de la baguette.
La baguette doit avoir exactement 50 cm, un diamètre pouvant varier de 4 à 6 mm et une pointe courbée à l’équerre de 50 mm de haut. Chaque équipe doit en posséder une. Celles-ci seront comparées en début de partie.
2. Usage de la baguette
Les lignes, les raies et les marques doivent être tracées exclusivement avec la baguette. La baguette sert à mesurer les points et à évaluer les distances.
3. Contrôle des mesures
Toutefois, une équipe aura toujours le droit de contrôler une mesure avec un mètre.
On joue un contre un (tête-à-tête), à trois ou quatre boules par joueur; deux contre deux (doublettes), à deux ou trois boules par joueur; trois contre trois (triplettes) ou quatre contre quatre (quadrettes), à deux boules par joueur.
Les programmes et les affiches des compétitions devront mentionner le nombre des points à faire. Ce nombre ne devra pas être inférieur à 9 ni supérieur à 18.
Chaque équipe doit marquer ses boules par deux traits à 90°. Pour retrouver l’emplacement des boules, prolonger les marques jusqu’à leur intersection.
Le but est marqué par l’équipe qui l’a lancé ou placé et, s’il y a déplacement, par l’équipe qui tient.
Si une boule est dérangée fortuitement ou sans cause apparente, l’équipe à laquelle elle appartient la remet en place.
Dans le cas du but dérangé, c’est l’équipe qui tient qui le remet en place.
Il est interdit aux joueurs en action de jeu de mettre le ou les pieds sur les lignes du rectangle de 7,50 m ou hors de ces lignes.
Il est cependant toléré au tireur en action de tir de mettre le pied sur la ligne “pied de jeu”.
Où doivent se tenir les joueurs ?
1. En toutes circonstances, les joueurs se tiendront debout au-delà de la ligne “pied de jeu” du rectangle de 7 m où se trouve le but.
2. Entrée dans le rectangle de 7 m boules en main.
Il est interdit aux joueurs d’entrer boules en main dans le rectangle de 7 m où se trouve le but. Les boules seront annulées.
3. Éloignement du cadre.
Les joueurs ne peuvent s’éloigner du cadre sans autorisation de l’arbitre. Après avertissement, l’arbitre sanctionnera.
C’est aussi perdu si son pourtour extrême dépasse le bord extérieur de la ligne “pied de jeu”.
Le lancement est valable lorsque le but reste dans le rectangle de 5 m opposé à celui d’où il a été lancé.
Si le premier jet n’est pas régulier, l’équipe qui lance le but a le droit d’effectuer un second essai, sauf si une quelconque irrégularité a été signalée par l’arbitre. Après deux essais infructueux, l’adversaire le place dans le rectangle de 5 m à son gré, mais à 0,50 m minimum de toutes les lignes de ce rectangle.
S’il le place mal, il est invité à opérer la rectification, qui doit être demandée avant le jet de la première boule.
S’il est arrêté ou dévié par un adversaire, il est concédé un jeu supplémentaire. Par contre, si c’est un partenaire de la même équipe qui fait la faute, elle perd le droit au second lancement.
1. Perte et annulation du but pendant le jeu.
Si le but se perd ou est annulé (coup régulier ou accepté) lorsqu’il reste des boules dans les deux camps, on rejoue dans le même sens de jeu. Le nouveau jet appartient à l’équipe qui l’avait précédemment lancé.
Si le but se perd ou est annulé (coup régulier ou accepté) lorsqu’il ne reste des boules que dans un seul camp, ce camp marque autant de points qu’il lui reste de boules non jouées.
Le but dérangé par l’eau ou par le vent avec effacement des marques est annulé.
2. Perte et annulation du but à la dernière boule.
Si le but est annulé ou perdu lors du jet de la dernière boule, on rejoue dans l’autre sens. Le nouveau jet appartient à l’équipe qui l’avait précédemment lancé.
Le joueur qui veut tirer doit désigner nettement l’objet annoncé. Cet objet, toujours unique, ne pourra jamais être une boule de son camp. L’annonce de ce joueur est seule valable.
Une raie sera tracée par les adversaires à 0,50 m en avant de l’objet annoncé. Le trait, en forme d’arc, aura une longueur de 15 à 20 centimètres.
Dans le cas où une ou plusieurs boules gêneraient pour ces tracés, il sera permis de les enlever momentanément. Toute raie non contestée avant le tir est valable pour l’examen du point de chute.
Un tir est régulier lorsque les trois conditions suivantes sont simultanément remplies :
- le point de chute n’est pas à plus de 0,50 m de l’objet annoncé,
- le point de chute n’est pas à plus de 0,50 m de l’objet frappé en premier,
- l’objet frappé en premier n’est pas à plus de 0,50 m de l’objet annoncé.
Cette distance est mesurée sur le pourtour extrême de l’objet en cause.
Le tir est également régulier lorsque la boule frappe directement, sans toucher le sol, un objet situé au maximum à 0,50 m de l’objet annoncé.
Toutes les conséquences d’un tir régulier sont obligatoirement acceptées par les deux équipes.
Tir irrégulier : objet frappé sans toucher le sol
Record du monde battu par un français ! En 2000, Xavier Majorel établit un nouveau record du monde de tir de précision à 30 pts sur un total possible de 37 pts. Ce record fut égalisé en 2001 par un autre Français, Eric Seigle. En mars 2003, XavierMajorel porte le record du monde de précision à 34 pts.
Sébastien Grail a amélioré son record du monde du tir progressif à 50/52 en septembre 2003 (avant 48/51).
Copyright Sportquick/Promedi
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