Règlement et historique

 

Surf


 

Le’ He e’nalu…….veut dire en hawaiien : glisser sur la vague et se fondre avec elle.

Historique

Vers 400 ans avant J.-C., les pêcheurs de Polynésie rivalisaient afin de ne pas chavirer en passant les hautes vagues après une journée de travail. On retrouve aussi le surf dans les chants hawaïens du XVe siècle.

Le surf “nouvelle vague” est né en Océanie et s’est développé au début du siècle en Australie (plage de Bondi) et aux USA par un certain George Freeth (Californie pour les petites vagues et l’île de Hawaï pour des vagues jusqu’à 9 mètres). Le premier club, l’Outrigger Canoë Club, fondé à Waikiki sur l’île de Hawaï en 1907, est à l’origine de l’essor mondial du surf, sport de compétition et de loisirs. Le triple champion olympique de natation, Duke Kahanamoku, the ‘Duke’,  fut l’un des premiers instigateurs du surf dans le monde au début de ce siècle. Les premiers championnats de surf ont eu lieu à Hawaii dans les années 1920 (Pacific Coast Surfing Championship à Corona del Mar).

Dès 1936, certains attribuent des tentatives, presque toujours infructueuses à des pionniers biarrots comme George Hennebute, Henri Hiriart ou les frères Villalonga. En 1952, le Dacquois Jacky Rott assiste lors des actualités de l’époque à la projection d’un document consacré à la pratique du surf sur les plages de Waikiki. De retour chez lui, il fabrique la première planche de surf française digne de ce nom. Dépourvue de dérive, terriblement lourd, il n’arrivera pourtant jamais à la domestiquer.

La première véritable compétition de surf remonte aux alentours de 1954 : la Makaha International Surfing Championship, qui s'est tenue sur le spot mythique du north-west shore d'Oahu, Makaha. Des surfeurs en provenance de Californie, d'Australie et du Pérou s’affrontèrent et proclamèrent ensuite le premier grand champion de cette époque, George Downing.

La première apparition du surf en Europe eut lieu en Angleterre en 1931 introduit par un certain Pepino Staffieri qui surfait sur les rivages de Newquay en Cornwall.

En 1959, le premier surf club français, le Waikiki Surf Club est fondé par le millionnaire péruvien Carlos Dogny. Le surf se structure. Les frères De Rosnay créent le très chic surf club de France. Jo Moraïz ouvre le premier surf shop et fonde le Biarritz Surf Club. En 1964, la Fédération Française de Surfing voit le jour, sous la présidence de Guy Petit. George Hennebute, lassé de nager à tout bout de champ pour récupérer sa planche invente bien avant tout le monde le “leash”. Dissuadé par les sarcasmes de ses camarades, il n’osera pas déposer le brevet de cette géniale invention. Le surf gagne les Landes et la côte girondine avec deux pôles incontournables, Hossegor, grâce essentiellement à Jean-Louis Bianco. A l’aube des années 70, des surfeurs étrangers comme Nat Young, Wayne Lynch, Mike Tabelling,, Gerry Lopez, Jeff Hackman, Bruce Valluzi, Mike Diffenderfer, attirés par la qualité des Beach-break d’Hossegor, la sublime gauche de la Barre, la majesté de la droite de Guéthary vont donner un coup de fouet décisif au surf français.

En 1977, avec le boum du skate-board, la Fédération Française devient la Fédération Française de Surf et Skate. Reconnue pour la qualité de ses vagues, la France va tout naturellement attirer de grosses marques de surfwear (Quiksilver à Saint-Jean-de-Luz, Rip Curl à Hossegor) et inciter des surfeurs de renom à s’installer sur ses côtes comme Gary Elkerton à Lacanau Océan ou Tom Curren à Anglet.

En 1994, la Fédération Française se sépare du skateboard et prend désormais l’appellation de Fédération Française de Surf Riding. On dénombre 200 000 adeptes du surf en France.

 

 

L'ISA (International Surfing Association) fut fondée en 1964 à Hawaii et compte actuellement 69 pays membres. Elle organise chaque année depuis 1964 (à Sydney en Australie) des championnats du monde réservés aux amateurs dans plusieurs catégories. Le championnat du monde junior existe depuis 1980 (première édition à Biarritz).

 

L’un des pères du surf  français est Joël de Rosnay, docteur es sciences,  frère d’Arnaud (disparu en planche à voile en mer de Chine). Premier champion de France de la discipline (en 1965), c’est également un spécialiste de la planche à voile (champion national de longboard en 1988) et de Hobie Cat.

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Les planches

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A l’origine, les planches étaient en bois dur et pesaient autour de 72 kg. Le surf est devenu un sport populaire grâce au développement de planches plus légères (allant jusqu’à 11 kg). Depuis 1960, les fabricants utilisent des matériaux plus légers (le polystyrène et la fibre de verre). Les planches deviennent ainsi plus facile à manœuvrer.

Les disciplines et techniques

Le longboard ou Malibu, l’origine du surf

Une grande planche dont la longueur minimum autorisée en compétition est de 9 pieds (274,5 cm).
Conçue sur le spot californien de Malibu au début des années 1950, cette planche large, lourde, plate présentant un avant arrondi permet de suivre la vague mais autorise surtout les déplacements et la prise de poses plus ou moins théâtrales effectuées sur le nez de la planche regroupées dans l'appellation générique de ‘nose riding’. Le longboard est la planche idéale pour débuter le surf à cause se son stabilité sur l'eau. Le premier champion du monde fut l’Australien Nat Young, sacré en 1983.

Le bodyboard ou “biscotte”

C’est une planche courte d'environ 5 pieds de long (152, 5 cm), dont une partie du revêtement extérieur est souple (mousse polyéthylène). Mise au point par le Californien Tom Morey en 1971, elle est le plus souvent utilisée en position allongée (prone), le Bodyboardeur s’aide d'une paire de palmes courtes pour exacerber la précocité des départs. En glissant sur des vagues, il effectue des manœuvres acrobatiques. Le “leash” (cordon attaché à la cheville) relie la planche et les palmes. Parmi les positions de glisse : le “prone” (allongée), “drop knee” (à genou avec un pied sur la planche) ou le “stand up” (position debout).

 

Conçu par le français Georges Hennebutte vers 1968, le “leash” est le fil élastique qui lie le surfeur à sa planche. Attaché à la cheville du surfeur et relié à l’extrémité de la planche, il permet donc au surfeur de ne pas la perdre. Les Américains l’ont commercialisé dans les années 70 et ont ainsi aidé à l’expansion du surf dans le monde.

Le kneeboard

Spécialité proche du shortboard, le kneeboard se pratique à genoux sur une planche légèrement plus courte, mais plus large. C'est une discipline intermédiaire entre le surf et le bodyboard puisque le pratiquant s'aide de palmes pour faciliter les départs mais reste à genoux durant toute la durée de ses prestations. Les manœuvres effectuées en kneeboard sont les mêmes qu'en surf.

Le skimboard

Né aux Etats-Unis dans les années 1930, le skimboard consiste à surfer une vague en se lançant de la plage. Utilisant une planche très courte, fine et dépourvue de dérive, le skimboardeur utilise pour se lancer la fine pellicule d'eau laissée par la vague qui se retire de la plage pour aller percuter la vague suivante en réalisant des figures très similaires à celles du surf.

Le bodysurf

Le body-surf consiste à surfer la vague directement avec son corps. L'apparition du bodysurf est antérieure à celle du surf. C'est une discipline exigeante qui met en exergue le respect fondamental de la nature et la confrontation directe avec l'océan.

Le shortboard

Plus léger et plus court, c'est la planche utilisée au niveau international. La planche est longue de 1,80 m de long et large de 46 cm.

Le “Big Waves World Championships”, une épreuve sur des grosses vagues entre 9 et 18 mètres, se déroule avec des planches “shortboard”.

 

Le surf tandem

Né en 1920 sur la plage de Waikiki à Hawaii lorsque les surfeurs emmenaient les touristes sur leurs planches pour un tour dans les vagues, le surf sur tandem consiste à effectuer des figures artistiques de ‘portés’.

Le kitesurf ou kiteboard ou flysurf

 Surfer sur une planche (issue du surf avec des full-straps ou planche de wakeboard), tractée par un cerf-volant ou par des mini-parachutes (vitesse de vent entre 7 et 40 nœuds). Cette nouvelle forme de glisse a été conçue par deux frères français, Dominique et Bruno Legaigoux, au début des années 90. Le cerf-volant (moins encombrant que la voile) remplace la voile et tracte ainsi la planche. En sautant des vagues, les surfeurs peuvent atteindre plus de hauteur qu’en utilisant la voile. Le kitesurf est géré par la Fédération française de vol libre.

- Parmi les adeptes du kitesurf : une légende du surf, Robby Naish, ainsi que le pionnier Pete Cabrinha d'Hawaii et Flash Austin, champion du monde. Très spectaculaire, le kite-surf pourra devenir olympique dès 2016 aux Jeux de Rio au détriment de la planche à voile.

 

Un phénomène ! L’Espagnole Gisela Pulido (14-1-94) est devenue en 2004 à l’âge de 10 ans, championne du monde de kitesurf sur le circuit KWPT toutes catégories confondues (juniors et seniors !).

Critères de notationet Échelle de notes :

- 0-2 : un mauvais surf : montrera un mauvais contrôle et une ou deux figures de base.

- 2,1-4 : un surf médiocre : avec un contrôle moyen et deux figures de base moyennement exécutées.

– 4,1-6 : un surf moyen : le surfer a un bon contrôle et exécute une figure importante ou radicale.

– 6,1-8 : une bonne vague : montre un bon contrôle durant une succession de figures de base et au moins deux figures radicales.

– 8,1-10 : une excellente vague : avec un contrôle parfait pendant l'exécution d'une série de figures radicales.

Dans l’histoire du surf , la note parfaite de 10 ne fut attribuée que deux fois, en 2005 à Kelly Slater lors du Billabong Pro Tahiti en surfant deux vagues chacune notée 10 sur 10 (le précédent record de 19,93 fut également réalisé par lui) et en 2006 lors du Pipeline Masters d’Hawaii par Andy Irons.

Les mouvements

Le départ : take off

Il doit se faire au “ peak “ à l'endroit où la vague est la plus creuse. L'énergie de celle-ci est alors maximale. C'est le moment où le surfer se lève sur sa planche pour descendre la vague. Le take off est une manœuvre capitale. Il doit permettre au surfer d'atteindre la plus grande vitesse possible. Le late take off, départ retardé, donne une plus grande vitesse car le surfer attend que la vague soit la plus creuse possible pour la descendre. Quand il est volontaire, le late take off est très bien noté en compétition.

 

Le virage en bas : bottom turn

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C'est la clé d'une vague bien surfée. Le bottom turn transforme la vitesse de la descente en une relance (accélération) qui doit permettre au surfer de remonter en haut de vague afin d'enchaîner les manœuvres suivantes. L'enchaînement take off - bottom turn est la manœuvre de base du surf. Il conditionne la bonne poursuite des enchaînements sur les vagues.

Le roller

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Le surfer remonte vers le haut de la vague. Il doit faire pivoter sa planche afin de redescendre la vague : c'est le roller. Pour être le plus radical et le plus spectaculaire possible, la remontée doit être verticale et le surfer doit pouvoir faire sortir pratiquement toute sa planche hors de l'eau. C'est une figure spectaculaire qui nécessite beaucoup de vitesse et de “ timing “ dans son exécution.

Le cut-back

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C'est un enchaînement de 2 virages qui permet de revenir en arrière vers le creux de la vague afin de rattraper toute l'énergie de celle-ci et de pouvoir se relancer. C'est une figure de base du surf. Un bon cut-back ne doit pas être saccadé dans son exécution. Il nécessite une bonne vitesse.

Le tube

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C'est le moment où la lèvre de la vague recouvre le surfer. Le tube est la manœuvre qui s'accorde le plus avec l'esprit du surf (harmonie du surfer et de la vague). Elle nécessite une perfection totale dans le placement, la vitesse, le contrôle de la trajectoire. C'est une manœuvre très difficile et très spectaculaire.

 

 

Parmi les plus grandes vagues du monde : “Jaws” d’une hauteur de huit à quinze mètres à Hawaï. Egalement très prisé, le redoutable tube de Teahupoo à Tahiti, une référence du circuit professionnel ! D’autres vagues légendaires : Banzai Pipeline, Waimea Bay d’Oahu  et Back Door à Hawaï, Tavarua aux Fidji, G-land en Indonésie, Bells Beach et Kirra Point en Australie, El Buey en Chili, Todos Santos en Basse Californie, Mavericks et Huntington en Californie, Lafiténia à Saint-Jean-de-Luz.

 

 

Les meilleurs spots français :

Audierne (Finistère) – Lacanau (Gironde) – Seignosse (Landes) – Biarritz (Pyrénées-Atlantique) – Guidel Plage (Morbihan) – Saint-Gilles-Croix-de-Vie (Vendée) – Villefranche (Alpes-Maritime) – Marseille (plage de la Verrerie) – Bastia (plage de Farinole) – Saint—Gilles-les-Bains sur l’Ile de la Réunion – Sainte-Anne en Guadeloupe (plage du Helleux) et Tartane en Martinique.

 

Traqueur de vagues

Billabong XXL

Le Billabong XXL récompense depuis 2001 le meilleur surfeur de grosses vagues du monde. Les lauréats : 2001 : Mike Parsons – 2002 : Carlos Burle BRE – 2003 : Malik Joyeux FRA – 2004 : Pete Cabrinha – 2005 : Dan Moore – 2006 : Brad Gerlach. Depuis 2005, le Billabong XXL recompense également les surfeuses : première lauréate : Jamillah Star

Le Polynésien Malik Joyeux (1980-2005), spécialiste des grosses vagues, s’est noyé en décembre 2005 lors d’un accident de surf survenu sur le North Shore d’Oahu à Hawaii.

 

 

Record battu :

70 pieds ou 21,30 m : la vague géante qu’a surfé Pete Cabrinha en 2004 au fameux spot de Jaws. Le record précédent est détenu par le Brésilien Carlos Burle qui avait surfé une vague de 68 pieds en Californie en 2002.

 

Le 360°

C'est un tour complet par pivotement de la planche. C'est une manœuvre difficile qui, selon l'endroit de la vague où il est placé (section), dénote une grande sûreté et technicité du surfer.

La boucle

C'est à la fois un roller et un cut-back. Le surfer remonte en haut de vague et redescend vers le creux de la vague. On ne doit pas le confondre avec un 360°. C'est une manœuvre très spectaculaire et très difficile à exécuter. Elle est très rare en compétition.

L'aerial

Le surfer vient buter sur la crête de la vague et décolle au-dessus de celle-ci. Le surfer doit alors contrôler sa planche pour la faire pivoter et effectuer son “atterrissage” sur la vague. C'est une figure très à la mode depuis 2 ans et très difficile à exécuter dans sa totalité.

Savez-vous que le surfer se trouvant à l'inside du point de déferlement (le plus au pic) de la vague possède le droit de priorité absolu et ce durant tout le temps qu'il surfe cette vague. Tout autre surfer démarrant sur cette vague se rendra coupable d'interférence et devra être pénalisé.

 

Lexique

Back Wash : vague de retour, qui repart vers le large après avoir frappé le bord.

Barrel : qualifie une vague particulièrement creuse, une vague qui tube.

Beach-break : vagues qui déferlent sur des fonds de sable.

Big wave rider : individu qui goutte particulièrement le surf des très grosses vagues.

Bottom curves : dessous ou particularités que peut revêtir le dessous d'une planche.

Bottom turn : virage exécuté en bas de vague.

Boucle : virage à 360° exécuté sans dérapage sur le haut de la vague.

Channel : couloir permettant de se rendre au large en évitant les vagues.

Curl : partie de la vague qui jouxte en permanence le point de déferlement de celle-ci.

Cut-back : virage qui ramène le surfeur vers le point de déferlement de la vague pour y reprendre vitesse et énergie.

Droite : pour un surfer c'est une vague qui déroule vers la droite quand il regarde vers le bord. Pour un spectateur c'est exactement l'inverse.

Floateur : figure fonctionnelle qui consiste à passer une section de la vague en surfant sur le dos de celle-ci.

Foil : c'est la répartition longitudinale des épaisseurs de la planche, lorsqu'on regarde celle-ci de profil.

Front Side : surfer face à la vague

Glassy : conditions données par une absence totale de vent. Les vagues sont lisses, l'océan comme un miroir.

Goofy-foot : se dit d'un surfer qui a le pied gauche à l'arrière de sa planche. Il sera front side sur les gauches.

Gun : planche extrême, très longue, destinée au surf de très grosses vagues.

Hang-five, hang-ten : figures traditionnelles de longboard (planche traditionnelle des années 60) consistant à surfer le plus possible sur l'avant de la planche.

Inside :

• partie de la vague qui reforme, qui recreuse à proximité du bord,

• se dit d'un surfer qui est situé le plus près du point initial de déferlement d'une vague.

Lèvre ou lip : c'est la partie de la vague qui est projetée vers l'avant lors de son déferlement.

Line up : c'est la zone où déferlent les vagues.

Loose : se dit d'une planche particulièrement maniable.

Offshore : vent béni, soufflant de terre, creusant et lissant la vague.

On shore : vent maudit, soufflant du large, détériorant la qualité des vagues, créant du clapot.

Outside : l'inverse de l'inside, qualifie les vagues qui déferlent au large.

Peak ou Pic : formation de vagues régulières, déferlant sur un fond stable, fixe, comme une baie ou une pointe rocheuse.

Reef : fonds rocheux ou coralliens.

Reef-break : vagues déferlant sur un fond rocheux ou corallien.

Re-entry : manœuvre percutante exécutée en haut de vague.

Shore-break : vague ou partie de vague brisant sur le rivage.

Skurf : se laisser tirer sur une planche par un bateau à moteur.

Snap back : assimilable à un cut back, exécuté de façon extrêmement brutale, sans dérapage.

Spin out : situation critique rencontrée lorsque le ou les dérives de la planche d'un surfeur en sont plus en contact avec l'eau.

Spot : lieu particulier où déferlent des vagues dignes d'intérêt.

Tube : cylindre liquide qui se rencontre aux abords du point de déferlement de vagues particulièrement creuses.

Tube ride : c'est la manœuvre reine du surf riding, qui consiste à rentrer et à ressortir de ce cylindre liquide.

Trois cent soixante (360°) : par des dérapages contrôlés et successifs, le surfeur fait exécuter à sa planche un tour complet.

Tricks : manœuvres novatrices mises au point par les jeunes générations. Leur intérêt à leur degré de difficulté est souvent difficile à apprécier (voir Tail slide).

Wax : paraffine parfumée dont le surfeur enduit le dessus de sa planche pour éviter de déraper.

Wings (ou flyers) : décrochements présents sur l'arrière de certaines planches, destinés à en augmenter la maniabilité.

Wipe out  : chute.

 

 

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