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Ailier
Position avant d'un joueur dont la zone principale de jeu se situe en bordure de la zone de jeu de la patinoire.
On attribue cette mention aux deux derniers joueurs à manipuler la rondelle avant le marqueur.
Ce joueur mène l'attaque, essaie de prendre la zone offensive et de marquer un but ou passe la rondelle à un ailier libre ou à un centre.
Lorsqu'une pénalité s'impose à une équipe, on permet à l'équipe adverse d'avoir plus de joueurs sur la patinoire. Une équipe compte alors plus de joueurs sur la patinoire.
Banc sur lequel s'assoie un joueur et où il passe la durée de la pénalité qu'on lui a imposée.
Mûrs et fenêtres de plastique dur qui entourent la patinoire et qui servent à garder la rondelle et les joueurs sur le terrain de jeu.
Joueur qui mène le trio d'attaquants et dispute les mises au jeu.
Changement de joueurs sans arrêt de jeu.
Faute ou pénalité qu'impose l'arbitre lorsqu'un joueur élance son bâton dans l'intention de frapper un adversaire. Un contact n'est pas nécessaire, seule l'action du mouvement de cinglage constitue une pénalité.
Faute ou pénalité qu'impose l'arbitre lorsqu'un joueur met un adversaire en échec en utilisant ses bras ou épaules au lieu de son corps.
Deux joueurs d'une équipe dont la tâche principale est de protéger leur filet et d'empêcher l'adversaire de marquer un but. On les appelle aussi « ligne défensive » ou « paire défensive ».
Action intentionnelle qui consiste à lancer la rondelle au-delà de la ligne de but, à l'extrémité de la patinoire. Le joueur doit lancer la rondelle à partir de la zone défensive du centre de la patinoire et la rondelle doit franchir la ligne de but avant qu'un joueur de l'équipe adverse n'ait une chance raisonnable d'en prendre possession.
Faire sortir la rondelle de sa zone défensive.
Situation dans laquelle un joueur se trouve seul avec la rondelle devant le gardien de but adverse.
Technique qu'utilisent les joueurs pour tenter de reprendre possession de la rondelle. Cela consiste à mettre son adversaire en échec de façon agressive lorsque ce dernier a le contrôle de la rondelle dans la zone neutre ou dans la zone défensive.
Demi-cercle de 6 pieds situé directement devant le but. Le gardien doit être en mesure de faire des jeux et des arrêts dans cette zone sans qu'un autre joueur interfère.
Mise en échec où un défenseur utilise la lame du bâton de hockey pour pousser la rondelle afin de la dégager du bâton d'un adversaire.
Il est interdit que les attaquants entrent dans la zone défensive adverse avant la rondelle. S'ils le font, cela entraîne un hors-jeu. La position des patins des joueurs détermine le hors-jeu. Après un coup de sifflet, on effectue une mise au jeu à l'endroit où la faute a été commise.
Lorsqu'une équipe compte moins de joueurs sur la patinoire que l'équipe adverse en raison du nombre de joueurs qui sont au banc des pénalités.
Pendant un jeu de puissance, il s'agit du joueur qui réduit les occasions où l'adversaire peut marquer un but. Voir avantage numérique.
Lancer au but ou tir frappé qu'effectue un joueur immédiatement après avoir reçu une passe, et ce sans arrêter la rondelle ni tenter de la contrôler avec son bâton.
Lignes de deux pieds de largeur qui marquent les limites des zones de jeu. L'aire de jeu entre la ligne bleue et la bande derrière le gardien de but se nomme « la zone défensive » pour l'équipe qui défend ce but. Il s'agit de la « la zone offensive » pour l'équipe qui essaie de marquer un but. On se sert de la ligne bleue pour déterminer un hors-jeu.
Ligne du centre qui divise la patinoire en deux moitiés.
Au début de chaque période et après tout arrêt de jeu, on effectue une mise au jeu. Le jeu reprend lorsque l'arbitre dépose la rondelle entre deux adversaires, soit dans l'un des cinq cercles de mise au jeu ou à l'une des quatre lignes bleues sur la patinoire. Les autres joueurs se positionnent autour des joueurs qui se disputent la mise au jeu.
Tactique qu'utilise un joueur pour éloigner physiquement un adversaire de la rondelle ou du jeu. On ne permet la mise en échec que si le joueur mis en échec a la rondelle ou est la dernière personne à l'avoir touchée. Le joueur qui fait la mise en échec ne peut utiliser que les hanches ou l'épaule et l'impact doit se faire entre les genoux et le cou de l'adversaire.
Faute ou pénalité qu'impose l'arbitre lorsqu'un joueur tente de ralentir un adversaire qui n'est pas en possession de la rondelle.
Sanction que l'on impose à un joueur pour des infractions aux règlements.
Une pénalité qu'impose un arbitre lorsqu'un joueur effectue plus que deux enjambées en vue de mettre son adversaire en échec de façon intentionnelle.
Faute ou pénalité qu'impose l'arbitre lorsqu'un joueur utilise la lame ou le manche de son bâton pour ralentir un adversaire.
Faute ou pénalité qu'impose l'arbitre lorsqu'un joueur utilise un bras, un pied, une jambe ou un bâton pour faire tomber un adversaire.
Faute ou pénalité qu'impose l'arbitre lorsqu'un joueur utilise ses mains pour agripper un adversaire ou son bâton.
Faute ou pénalité qu'impose l'arbitre lorsqu'un joueur utilise son bâton et frappe un adversaire au-dessus de la taille.
Faute ou pénalité qu'impose l'arbitre lorsqu'un joueur frappe un adversaire avec son bâton de hockey et les bras allongés.
Les trois segments de 20 minutes qui constituent un match de hockey. Entre les périodes, il y a un entracte de 15 minutes.
Faute ou pénalité qu'impose l'arbitre lorsqu'un joueur pique un adversaire avec le bout de la lame du bâton.
Faute ou pénalité qu'impose l'arbitre lorsqu'un joueur commet une mise en échec en utilisant une force excessive pour plaquer son adversaire contre la bande. Cela peut entraîner une pénalité de deux, quatre ou cinq minutes selon la gravité de la faute.
Comme dernier recours et souvent vers la fin du match, une équipe qui subit une défaite de un ou deux buts peut retirer son gardien afin de le remplacer par un joueur.
Un objet circulaire fait de caoutchouc vulcanisé que l'on utilise pour jouer au hockey et qui a un diamètre de trois pouces et une épaisseur de un pouce. On congèle les rondelles, afin de réduire le rebond du caoutchouc.
Position qu'utilise un gardien pour couvrir la partie inférieure du filet et la surface de l'enceinte du but. Le gardien se laisse tomber les genoux et forme un triangle avec ses jambières, lequel ressemble à la lettre « V ».
Véhicule qui nettoie et lisse la surface de la glace avant et après un match, de même qu'entre les périodes.
Lancer accordé à une équipe lorsque l'équipe adverse commet une faute qui a empêché un but.
Tir au but très précis qui consiste à donner un petit coup du poignet dans la direction où le joueur souhaite lancer la rondelle.
Le plus rapide des tirs de hockey qui peut atteindre des vitesses de plus de 160 kilomètres à l'heure. Un joueur effectue un élan arrière avec son bâton, au-dessus de la taille, avant de frapper la rondelle avec un tir dur, rapide et tranchant.
Trois buts marqués par un joueur au cours d'une seule partie. D'origine, un tour du chapeau consiste à marquer trois buts consécutifs sans qu'aucun autre joueur n'ait marqué.
Surface de jeu située au centre de la patinoire entre les deux lignes bleues.
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